ב״ה
Discussion
sur la polygamie et la polyandrie
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Ce
qui suit provient d'une longue discussion que j'ai eu ce Shabboth
avec deux connaissances. Certaines informations ont été modifiées
pour la bonne compréhension et clarté des sujets en question.
Tout
a commencé lorsque H., une de mes connaissances, a fait remarquer
que la polygamie pouvait être une réponse à certains problèmes
actuels, et a ajouté sur un air humoristique que le problème avec
la polygamie était que « seules » quatre épouses
maximum étaient autorisées et qu'il faudrait plus.
J'ai
donc profité de l'occasion pour clarifier ceci : La
Halokhoh n'impose pas de limites aux Israélites qui ont les moyens
d'assumer plusieurs épouses. C'est ainsi que Rébbi Tarfôn ז״ל,
qui était un Sage de l'ère de la Mishnoh, et qui était un Kôhén
très riche, a épousé 800 femmes qui avaient perdu leurs maris à
la suite d'une grave famine. En les épousant, elles devenaient, en
tant qu'épouses d'un Kôhén, éligibles pour consommer avec lui les
dîmes revenant à un Kôhén et sa famille, ce qui les sauva de la
famine.1
Par contre, un roi est limité par la Halokhoh à 18 épouses
maximum.2
Bien
que pour l'Israélite qui n'est pas roi la Halokhoh ne prévoit pas
de limites, nos Sages ont conseillé
de ne pas en avoir plus de quatre de façon à pouvoir être
équitable entre tous les femmes!3
Si un homme a dix femmes et qu'il doit passer chaque nuit avec une
femme différente, une femme ne passera la nuit avec son mari que
tous les 10 jours, ce qui est trop peu, trop long et peut être
frustrant pour la femme, sans oublier le fait que la période de
menstruation diminue son accessibilité. Par conséquent, nos Sages
ont recommandé
de ne pas avoir plus de quatre femmes. Ce n'est pas une loi, mais une
recommandation si on ne veut pas frustrer une de ses épouses, ce qui
serait alors la transgression de satisfaire les besoins sexuels de sa
femme (la Miswoh de ´Ônoh) et un motif valable de divorce pour
l'épouse.
Me
sachant proche de la communauté Satmar, H. me demanda si ma position
sur la polygamie était mon opinion personnelle ou la position
officielle de la Hassidouth
Satmar. Je lui ai donc répondu ceci : Je ne m'exprime jamais au
nom de qui que ce soit ! Les `Ashkanazim interdisent la
polygamie, les Safaradhim, les Mizrahim
et les Témonim la permettent. Le décret de Rabbénou Gérshôm זצ״ל
n'a
jamais été accepté par d'autres Juifs que les `Ashkanazim. Ce
qu'HaShem ית׳
a
clairement permis dans la Tôroh, personne ne peut l'abolir.
Deuxièmement, c'était un décret temporaire qui expirait en l'an
5000 (1240 du calendrier grégorien). De ce fait, cela fait 775 ans
qu'il n'est plus en vigueur ! Troisièmement, ce décret était
limité géographiquement et n'incluait que les Juifs d'Allemagne,
ainsi que ceux qui vivaient dans la partie de la France sous contrôle
germanique. Il ne concernait donc pas tous les Juifs `Ashkanazim à
la base, et c'est pourquoi les autres `Ashkanazim qui n'étaient pas
de pays sous contrôle germanique continuèrent à pratiquer la
polygamie. Et enfin, ce décret ne liait pas les `Ashkanazim en tant
que tels, mais ne s'appliquait que s'il se trouvait dans un pays sous
influence germanique. C'est pourquoi les Juifs de l'Empire Germanique
qui désiraient continuer à être polygames allaient s'installer
en-dehors de l'influence germain.
L'Église
de l'Empire Germanique avait passé un décret de mort pour tout Juif
étant polygame, d'où le décret de Rabbénou Gérshôm afin
d'épargner la vie de ces Juifs ! Contrairement à ce
qu'affirment certains aujourd'hui, ce décret n'avait rien à voir
avec la prétendue immoralité de la pratique, mais fut promulgué
simplement pour sauver des vies. Mais comme il ne pouvait abolir une
permission de la Tôroh, Rabbénou Gérshôm a pris soin de limiter
ce décret dans le temps et l'espace. Il prévoit en outre même dans
ce décret des cas d'exception où le décret ne s'applique pas, car
complètement l'interdire aurait été une transgression de retirer
des lois à la Tôroh. Par conséquent l'interdit n'était pas
absolu. Le décret stipule clairement que dans des cas où la femme
ne peut assumer ses devoirs conjugaux avec son mari il peut se
prendre une autre épouse. De même, si elle est incapable de lui
faire des enfants (au bout de dix ans de mariage), mais qu'il ne veut
pas divorcer, il peut se prendre une deuxième épouse.
Personne
n'est tenu à ce décret, qui n'a plus aucun sens et est même
périmé ! Et toutes les explications données par ceux qui s'y
tiennent encore aujourd'hui ne sont que de l'apologétique. En outre,
le discours moralisateur qui transpire dans les arguments des
opposants à la polygamie juive fait des anciens hommes polygames de
la Tôroh des immoraux ne vivant pas selon l'idéal de Dieu. Ça n'a
aucun sens.
Comme
je l'ai dit, les Safaradhim, les Mizrahim et les Témonim
n'ont jamais accepté ce décret, tout comme des `Ashkanazim d'autres
pays non germaniques continuaient à pratiquer la polygamie en dépit
du décret, puisqu'ils n'étaient pas concernés par lui. Il est faux
de prétendre qu'il est universel. Les `Ashkanazim qui s'opposent à
la polygamie ou prétendent que ce décret est encore d'application
ne représentent pas tous les Juifs !
Sur
ce, H. m'a répondu que tout cela faisait réfléchir et qu'il
semblait qu'on ne nous servait qu'une seule version. Il était
satisfait de toutes ces explications. C'est à ce moment que F., qui
jusque là avait gardé le silence, a décidé de rejoindre la
discussion et s'est exprimé de la manière suivante : « Est-ce
que l'idéal n'est pas de faire comme HaShem à la création ?
Dieu a créé un homme avec UNE femme à ses côtés. Si l'homme
avait besoin de plusieurs femmes à ses côtés, Il l'aurait fait
ainsi. De plus il est écrit : ''C'est pourquoi, l'homme
quittera son père et sa mère, s'attachera à SA femme'' et non pas
à SES femmes. Il est bien question d'une seule femme. Autres
choses : pourquoi une femme qui n'est pas satisfaite des
relations sexuelles avec son mari, ou que son mari est satisfait avec
une relation par semaine et pas son épouse, ne pourrait avoir
plusieurs maris ? Pourquoi ce serait bon dans un sens et pas
dans l'autre ? ».
Concernant
sa première question (si HaShem a créé l'homme avec une seule
femme, ce qui est donc l'idéal de Dieu, pourquoi être polygame et
aller ainsi à l'encontre de l'idéal Divin), je lui ai répondu avec
une série de questions, donc les principales étaient celles-ci :
- Pourquoi ne sommes-nous pas tous végétariens et végétaliens puisqu'à la création il était clair que l'être humain ne fut pas autorisé à consommer de la viande, mais des plantes et des légumes ?
- Pourquoi ne vivons-nous pas tous nus comme les nudistes, puisqu'il est clair qu'à l'origine HaShem nous a créés pour vivre tout nu ?
- Pourquoi avant le Don de la Tôroh un homme avait le droit d'épouser en même temps une femme et la sœur de celle-ci, mais que depuis que la Tôroh fut donnée cela fut interdit ? Ne pourrions-nous pas faire comme avant ?
- Pourquoi avant le Don de la Tôroh un homme pouvait très bien épouser sa tante (´Amrom et Yôkhavadh ע״ה, les parents de Môshah Rabbénou ע״ה, étaient neveu et tante), mais que ce fut par la suite interdit avec le Don de la Tôroh ? Sans compter que puisque HaShem ne créa que deux humains au commencement, cela signifie que la race humaine s'est multipliée par des incestes. Selon cette logique de la façon dont les choses étaient au commencement, ne devrions-nous donc pas nous marier ou avoir des rapports avec nos sœurs, nos mères ou nos tantes ?
Je
lui ai alors expliqué que la situation à la création ou ce qui
prévalait avant le Don de la Tôroh était une chose, et que a
réalité après la faute de `Odhom et Hawwoh ע״ה
et
les lois à observer depuis le Don de la Tôroh en étaient une
autre, et qu'on ne pouvait faire comme si ces nouvelles réalités
n'existaient pas. Donc, parler de comment c'était à l'origine n'est
pas un argument pour prouver que la polygamie est mauvaise ou
interdite, puisque HaShem l'a cautionné depuis lors, comme le fait
de manger de la viande, etc. Nous devons vivre selon la réalité
post-chute de l'homme et selon ce qui nous a été donné depuis le
Don de la Tôroh et non pas comme c'était avant la chute ! Cela
n'a aucune sens ! Je lui ai fait remarquer que dans la logique
de son « argument », il devrait alors encourager les
scientifiques fous qui tentent de trouver un moyen de nous faire
vivre éternellement ! Si pour lui on doit faire les choses
comme c'était avant la chute ou comme c'était au moment de la
création, et que l'homme, au moment de la création, était censé
vivre éternellement, pourquoi s'opposer à ces recherches
scientifiques ? Tout simplement parce que l'idéal de Dieu était
peut-être qu'on vive éternellement, mais depuis la chute ce n'est
pas le cas et on doit accepter que l'homme doit mourir un jour !
Donc, pareil avec la polygamie. Le fait que l'homme fut créé à
l'origine avec une femme n'est pas un argument recevable pour
s'opposer à la polygamie, car depuis lors HaShem a permis la
polygamie, qui est la réalité avec laquelle nous devons vivre !
Je
lui ai alors précisé que personne n'avait dit que la polygamie
était permise à n'importe qui et sans conditions. C'est pour cela
que la majorité des Juifs ont été monogames, soit parce qu'ils ne
voulaient pas plus d'une femme (ce qui est leur droit, puisque la
polygamie n'est qu'une permission et non une obligation), soit parce
qu'ils n'entraient pas dans les conditions pour avoir plus d'une
femme. Il est donc tout autant stupide de faire croire que la
polygamie était ou est une norme pratiquée par tous ou la majorité
des Juifs que d'interdire une chose qu'HaShem Lui-même a permise. Si
c'était si mauvais, Il n'aurait pas eu peur de dire noir sur blanc
que c'était interdit !
Je
lui ai alors demandé s'il oserait faire la morale aux Patriarches
ע״ה,
à Dowidh Hammalakh ע״ה
et
tous les éminents personnages du TaNa''Kh qui étaient polygames ?
Je lui ai rappelé que lorsque Dowidh Hammalakh, qui avait pourtant
déjà 6 femmes, a commis l'adultère avec l'épouse d'un autre,
pourquoi HaShem, s'Il considérait que la polygamie était si mal,
a-t-Il dit à Dowidh Hammalakh par l'intermédiaire du prophète
Nothon ע״ה
les
paroles suivantes4 :
ואתנה
לך את-בית
אדניך,
ואת-נשי
אדניך בחיקך,
ואתנה
לך,
את-בית
ישראל ויהודה;
ואם-מעט--ואספה
לך,
כהנה
וכהנה.
מדוע
בזית את-דבר
יהוה,
לעשות
הרע בעינו (בעיני),
את
אוריה החתי הכית בחרב,
ואת-אשתו
לקחת לך לאשה « Je
t'ai donné la maison de ton maître, J'ai mis dans tes bras les
femmes de ton maître, Je t'ai établi chef de la maison d'Israël et
de Juda; et si c'était trop peu, Je t'en aurais encore ajouté tant
et plus. Pourquoi donc as-tu méprisé la parole de `Adhônoy et fait
ce qu'il lui déplaît? Tu as fait périr par le glaive `Ouriyoh le
Héthéen et pris sa femme pour épouse ».
Je lui ai donc fait remarquer qu'il affirmait qu'à la création on
parlait d'UNE FEMME, mais pourtant ici HaShem dit qu'Il a mis dans
les bras de Dowidh Hammalakh LES FEMMES (pluriel) de So`oul Hammalakh
ע״ה
à
la mort de ce dernier ! Et Il ajoute que si tout cela ne lui
suffisait pas, Il lui aurait accordé davantage de richesses, de
pouvoir et DE FEMMES ! En effet, en tant que roi, il avait droit
à dix-huit épouses maximum, et n'en avait « que »
six!Je lui ai alors demandé s'il allait contester et faire la morale
à HaShem et Lui dire que c'est tordu d'être polygame.
Je
lui ai cité un autre passage comme preuve qu'HaShem ne voit pas la
polygamie d'une manière négative contrairement à lui. Le prophète
Yasha´yohou ע״ה
donne
une prophétie de la fin des temps dans laquelle il dit5 :
והחזיקו
שבע נשים באיש אחד,
ביום
ההוא לאמר,
לחמנו
נאכל,
ושמלתנו
נלבש:
רק,
יקרא
שמך עלינו--אסף,
חרפתנו
« En
ce jour, sept femmes s'attacheront à un seul homme et lui diront:
"Nous voulons subvenir nous-mêmes à notre nourriture et
pourvoir à nos vêtements, donne-nous seulement ton nom, mets fin à
notre déshonneur." ».
Bizarre comme prophétie pour un Dieu qui voit d'un mauvais œil la
polygamie, n'est-ce pas ?
J'ai
poursuivi en lui rappelant que le même prophète Yasha yohou a écrit
que les pensées d'HaShem n'étaient pas les nôtres et que Ses voies
n'étaient pas les nôtres. Ce n'est pas parce qu'on pense mal d'une
chose qu'il faut faire croire qu'HaShem a la même pensée !
Sinon c'est de l'humanisme !
Il
a exprimé le fait qu'il avait parfaitement compris tout cela et
l'acceptait. Je suis alors passé à sa seconde remarque (celle
concernant le fait qu'il faudrait permettre la polyandrie si la
polygamie était permise, car il n'y aurait aucune raison de
permettre à un homme d'avoir plusieurs épouses, tout en interdisant
à une femme d'avoir plusieurs maris). J'ai commencé par lui poser
la question suivante : Si
une femme porte une jupe ou une robe, pourquoi nous, en tant
qu'hommes, ne pouvons-nous pas en faire de même, ou aussi nous
maquiller comme le font les femmes ? Pourquoi cette
discrimination homme-femme ? Ne serait-il pas mieux que nous
fassions tout pareil ? Pourquoi est-il permis à un homme d'être
rabbin mais pas à une femme de l'être (à moins d'aller chez les
Libéraux, où on prône l'égalitarisme) ? Je lui ai alors fait
remarquer qu'il n'y avait aucune logique à permettre quelque chose à
un sexe simplement parce qu'elle était permise à l'autre sexe.
Puis, j'ai répondu plus concrètement à sa question de la façon
suivante :
Un
homme ayant plusieurs épouses, on sait que tous les enfants sont les
siens. Mais si une femme a quatre maris et a des rapports avec chacun
d'eux, par exemple un par soir, comment sait-on qui est le père des
enfants ? Je lui ai fait remarquer l'importance qu'accorde la
Tôroh sur le fait de connaître sa lignée, et lui ai donné
l'exemple suivant : si Miryom est mariée avec Yôséf, de la
tribu de Yahoudhoh qui en plus est un descendant de Dowidh Hammalakh,
mais qu'elle est aussi mariée en même temps avec Shim´ôn, disons
de la tribu de Binyomin, comment sait-on que son fils, que l'on va
appeler Léwi, est de l'un ou l'autre ? Comment sait-on s'il a
droit ou pas au trône de Dowidh ou pas, ou s'il a droit ou pas à la
part des Benjaminites ?
L'héritage
matériel, financier et territorial se transmet par le père, ainsi
que l'affiliation tribale. La polyandrie pose des problèmes parce
qu'on ne peut jamais être certain de qui est le père, même si on
saura à coup sûr qui est la mère. Or, avec la polygamie,
l'identité des deux parents est toujours connue (j'écarte la
possibilité de l'adultère, puisque même dans les relations
monogames, l'identité des enfants est toujours connue à coup sûr,
sauf cas d'adultère caché. Donc, en règle générale, dans les
relations polygames et monogames, l'identité des parents est
toujours quasiment certaines).
Je
lui ai alors dit qu'à moins qu'il soit Libéral ou féministe, il
est censé savoir que c'est l'homme qui est le chef de maison et pas
la femme. Dans un cas de polyandrie, c'est la femme qui occuperait du
coup cette place. La femme est créée pour être la « receveuse »
(le vagin, qui est intérieur, est justement dessiné pour indiquer
cela, sans compter que la femme porte l'œuf), tandis qu'un homme est
créé pour être le « donneur » (son pénis, qui est un
organe extérieur, est justement dessiné pour indiquer cela, sans
compter que l'homme donne le sperme). Et cela est d'autant plus vrai
dans le mariage, et l'homme a donc l'obligation de donner et d'être
celui qui s'occupe de sa ou ses épouses. Une femme ayant deux maris
donnerait l'impression d'être dans une situation d'une « receveuse »
en position dominante qui décide qui peut « donner » et
à qui elle veut « se donner », ce qui serait une
distorsion des règles, comparable à l'interdiction pour une femme
de porter des vêtements d'hommes et vice-versa.
Je
lui ai en plus e cela que s'il estimait que le fait que la société
a changé rend ces règles caduques, je ne pouvais rien faire si ce
n'est rappeler que la Tôroh reste éternelle et que ses idéaux et
enseignements restent d’application pour toujours, que ce n'est pas
à la Tôroh de s'adapter à la société mais à la société de
s'incliner devant la Tôroh, la seule religion Divine.
Enfin,
la polyandrie, à l'inverse de la polygamie, est clairement définie
comme un adultère. En effet, il est écrit6 :
ואל-אשת,
עמיתך--לא-תתן
שכבתך,
לזרע:
לטמאה-בה
« Ne
t'unis point avec l'épouse de ton prochain, tu te souillerais avec
elle ».
Or, si une femme est mariée à deux hommes, les deux commettent
l'adultère en ayant des rapports avec elle, puisqu’elle est par
rapport à chacun de ses maris la femme de son prochain ! Et
cela est répété dans Wayyiqro`
20:10,
où on lit ceci : ואיש,
אשר
ינאף את-אשת
איש,
אשר
ינאף,
את-אשת
רעהו--מות-יומת
הנאף,
והנאפת
« Si
un homme commet un adultère avec la femme d'un autre homme, avec la
femme de son prochain, l'homme et la femme adultères doivent être
mis à mort ».
Or, le fait que la Tôroh ne dise jamais cela de l'homme qui a
plusieurs épouses démontre très clairement que la polygamie n'est
pas de l'adultère, tandis que la polyandrie l'est !
Il
a là encore exprimé son approbation et c'est ainsi qu'a pris fin
notre très long échange.
1Tôsafto`,
Kathoubbôth 5:1
2Talmoudh,
Sanhédhrin 21b
3Yavomôth
44b
42
Shamou`él 12:8-9
5Yasha´yohou
4:1
6Wayyiqro`
18:20