ב״ה
Les
Djihadistes ne font qu'imiter leur prophète
Deuxième
Partie
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Et
l'expédition de 'Umayr b. 'Addy al-Khatmî contre 'Asmâ', fille de
Marwân. Elle est de Banû 'Umayyah b. Zayd. Lorsque Abû 'Afâk fut
tué, elle devint hypocrite. 'Abd Allâh b. al-Hârith b. al-Fudayl,
sur l'autorité de son père qui a dit : "Elle était l'épouse
d'un homme de Banû Khatmah, appelé Yazid b. Zayd. Elle a dit en
insultant l'Islam :
Comme ils sont humiliés : les banû Mâlik, les Nabît, les 'Awf et les Banû al-Khazraj ! Vous avez obéi à un étranger d'une autre tribu qui n'est ni de Murâd, ni de Madhij. Espérez-vous encore quelque chose de bon de lui après qu'il ait tué vos chefs comme un affamé qui attend le potage du cuisinier ? N'y a-t-il pas quelqu'un qui a de la dignité et qui profiterait d'un moment d'inadvertance pour raisonner ceux qui attendent encore quelque chose de lui ?!
Alors Hassân b. Thâbit lui répondit par ces vers :
Banû Wâ'il, Banû Wâqif et al-Khatmah sont inférieurs aux Banû al-Khazraj.
Quand elle a appelé à la folie, malheur à elle par ses lamentations, et la mort viendra. Elle excita un jeune homme noble, généreux en son intérieur et en son extérieur et il l'a couverte de sang rouge dans la nuit et il n'a pas commis un péché.
Lorsque l'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui) en fut informé, il a dit : "Qui me vengerait de la fille de Marwân?" 'Umayr b. 'Addy al-Katmi a entendu cette parole de l'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui) et lui dit : "Ô Envoyé d'Allâh ! Je l'ai tuée?" L'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui) dit : "Tu as pris la défense de Dieu et de son Envoyé ; Ô 'Umayr." Celui-ci dit : "Ai-je à supporter quelque conséquence à ce sujet, ô Envoyé d'Allâh ?" Celui-ci lui répondit : "A son sujet même deux chèvres ne se donneraient pas des coups de corne !"
Comme ils sont humiliés : les banû Mâlik, les Nabît, les 'Awf et les Banû al-Khazraj ! Vous avez obéi à un étranger d'une autre tribu qui n'est ni de Murâd, ni de Madhij. Espérez-vous encore quelque chose de bon de lui après qu'il ait tué vos chefs comme un affamé qui attend le potage du cuisinier ? N'y a-t-il pas quelqu'un qui a de la dignité et qui profiterait d'un moment d'inadvertance pour raisonner ceux qui attendent encore quelque chose de lui ?!
Alors Hassân b. Thâbit lui répondit par ces vers :
Banû Wâ'il, Banû Wâqif et al-Khatmah sont inférieurs aux Banû al-Khazraj.
Quand elle a appelé à la folie, malheur à elle par ses lamentations, et la mort viendra. Elle excita un jeune homme noble, généreux en son intérieur et en son extérieur et il l'a couverte de sang rouge dans la nuit et il n'a pas commis un péché.
Lorsque l'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui) en fut informé, il a dit : "Qui me vengerait de la fille de Marwân?" 'Umayr b. 'Addy al-Katmi a entendu cette parole de l'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui) et lui dit : "Ô Envoyé d'Allâh ! Je l'ai tuée?" L'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui) dit : "Tu as pris la défense de Dieu et de son Envoyé ; Ô 'Umayr." Celui-ci dit : "Ai-je à supporter quelque conséquence à ce sujet, ô Envoyé d'Allâh ?" Celui-ci lui répondit : "A son sujet même deux chèvres ne se donneraient pas des coups de corne !"
'Umayr retourna à son peuple. Les Banû Khatmah parlaient abondamment du cas de Banû 'Asmâ, la fille de Marwân qui avait alors cinq fils qui étaient déjà des hommes. Lorsque 'Umayr b. 'Addy vint à eux d'après l'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui), il dit : "Ô Banû Khatmah ! J'ai tué la fille de Marwân ; faites-moi la guerre, vous tous et n'attendez pas."
Ce fut le premier jour où l'Islâm devint puissant dans la maison de Banû Khatmah. Auparavant, celui qui embrassait l'Islam, s'en cachait. Les premiers parmi les Banû Khatmah à se convertir à l'Islam furent : 'Umayr b. 'Addy - surnommé le lecteur et 'Abd Allâh b. 'Aws et Khuzaymah b. Thâbit. Le jour où la fille de Marwân fut tuée, des hommes de Banû Khatmah embrassèrent l'Islam après avoir vu sa puissance.
Ibn
Sa'd le rapporte de la façon suivante :
Puis
advint le raid d'Umayr ibn Adi ibn Kharashah al Khatmi contre Asma
bint Marwan, des Banu Umayyah ibn Zayd, quand il restait cinq nuits
au mois de ramadan, au début du dix-neuvième mois de l'Hégire de
l'apôtre d'Allah. Asma était la femme de Yazid ibn Zayd ibn Hisn al
Khatmi. Elle avait coutume de dénigrer l'islam, d'offenser le
prophète et de pousser les gens contre lui. Elle composait des
poèmes. Bien qu'aveugle, Umayr ibn Adi alla la trouver chez elle.
Ses enfants dormaient autour d'elle. Il y en avait même un qu'elle
allaitait. Il la transperça de son sabre au niveau de la poitrine.
Ensuite, il fit la prière du matin à Médine avec le
prophète.
L'apôtre d'Allah lui dit:
-As-tu assassiné la fille de Marwan?
Il dit:
-Oui. Dois-je faire autre chose?
Il dit:
-Non. Deux chèvres ne se cogneront pas pour elle.
C'est une formule qui fut entendue pour la première fois ; elle provenait de l'apôtre d'Allah.
L'apôtre d'Allah appelait Umayr "le voyant".
L'apôtre d'Allah lui dit:
-As-tu assassiné la fille de Marwan?
Il dit:
-Oui. Dois-je faire autre chose?
Il dit:
-Non. Deux chèvres ne se cogneront pas pour elle.
C'est une formule qui fut entendue pour la première fois ; elle provenait de l'apôtre d'Allah.
L'apôtre d'Allah appelait Umayr "le voyant".
Vous
pouvez voir ici
que ce récit est rapporté par de nombreux autres historiens de
l'islam, et voir comment, une fois encore, les Musulmans cherchent à
s'en sortir lorsqu'on leur cite cette histoire (toujours en disant
que le récit n'est pas authentique).
Résumons
la chose pour bien comprendre !
Mouhammad
fit tuer al Harith ibn Suwayd ibn Samit. Cela amena Abu Afak à
exprimer son désarroi et condamner cet assassinat. Il s'en suivit
que Mouhammad
le fit tuer. Asmaa bint Marwân s'en offensa et s'exprima ouvertement
contre cela. Elle encouragea les hommes de sa tribu à prendre des
mesures contre Mouhammad
et lorsque ce dernier l'apprit, il la fit également tuer.
À
première vue, cet ordre de faire tuer Asmaa pourrait sembler
justifié. Elle appelait les gens à tuer Mouhammad.
Il est donc compréhensible qu'il ait pu se sentir dérangé par
cela. Mais jetons un œil plus attentif aux événements et au
contexte de la relation entre Asmaa et sa tribu :
- Premièrement, Asmaa avait vu de quoi Mouhammad était capable. Elle avait été témoin de ses actes sanguinaires et avait vu l'assassin qu'il était. Il est donc normal qu'elle l'ait condamné et se soit exprimée contre lui.
- Deuxièmement, sa tribu n'était pas sous la domination de Mouhammad. Il est possible qu'elle avait un pacte de non agression avec Mouhammad tout comme il est possible qu'elle n'en avait pas. Mais peu importe, cette femme avait le droit de dire ce qu'elle pensait. Si un traité existait et qu'elle le transgressait en s'exprimant, Mouhammad aurait très bien pu simplement aller discuter avec les chefs de sa tribu, qui auraient alors pu lui ordonner de se taire.
- Ce qui est particulièrement intéressant est qu'après l'avoir fait tuer, Mouhammad déclara : « Deux chèvres ne se cogneront pas pour elle », ce qui signifie que personne ne se soucierait de sa mort ! Cette femme était donc insignifiante et il l'a quand même fait assassiner !
- Notez également que certains membres de sa tribu étaient déjà devenus Musulmans. À l’évidence, ces gens-là n'auraient pas prêté attention à son appel à tuer Mouhammad.
Si
personne ne se serait soucié de sa mort, personne ne se serait alors
soucié de ses paroles ! Les gens de sa tribu étaient également
au courant de ce que Mouhammad
fit à Abu Afak et ils s'en moquaient aussi ! Personne n'aurait
prêté attention à son appel à tuer Mouhammad
qui était le chef d'un groupe de gens puissants.
Ainsi,
Asmaa bint Marwân ne constituait aucune menace légitime contre
Mouhammad.
Elle ne lui faisait pas peur, elle n'était pas chef de sa tribu, et
ne jouissait que de très peu d'influence, voire d'aucune influence.
Malgré cela, ce fou de Mouhammad
l'a fait assassiner, là encore, de façon tout à fait préméditée.
Au
vue de l'insignifiance de cette femme, on pourrait se demander
pourquoi il ne l'a pas tuée lui-même. Mais cela a toujours été
plus facile pour Mouhammad
d'en donner l'ordre ! Là encore, l'exemple type du chef
mafieux, qui ne se salit jamais les mains, mais délègue le sale
boulot à ses sbires.
Et
ces gens sont tellement lâches que comme Abu Afak, Asmaa fut
assassinée la nuit par traîtrise. Il n'y a que des criminels pour
agir de la sorte !
Ce
qui est le plus tragique avec l'islam, c'est la facilité avec
laquelle ceux qui suivent cette religion usent de violence et
considèrent cela comme normal dans la volonté de Dieu. Umayr ibn
Adi ibn Kharashah al Khatmi est un parfait exemple de cela. Voilà un
homme Musulman, un ami de Mouhammad,
qui agit sur ordre de ce dernier et pénètre dans la maison d'une
femme sans défense. Il aperçoit cette femme avec son enfant, et la
tue. Par la suite, Mouhammad
déclare à cet homme « Tu as pris la défense de Dieu et de
son Envoyé ». Si « Allah » S'était senti menacé
par cette femme, Il aurait pu Se charger de lui régler son compte.
Dieu a-t-Il besoin que des voyous se faufilent la nuit et assassinent
une femme ?
Mais
quelle religion est l'islam ? Peu après qu'Umayr ibn Adi ibn
Kharashah al Khatmi eut assassiné Asmaa bint Marwân, il se rendit
chez la famille de cette dernière et se moqua d'eux ! Il leur
riait au visage en leur disant avoir tué leur mère et qu'il n'avait
aucun pouvoir de faire quoique ce soit contre lui ! Voici la
phrase en question : « elle avait alors cinq fils qui
étaient déjà des hommes. Lorsque 'Umayr b. 'Addy vint à eux
d'après l'Envoyé d'Allâh (paix et bénédictions sur lui), il dit
: "Ô Banû Khatmah ! J'ai tué la fille de Marwân ; faites-moi
la guerre, vous tous et n'attendez pas." ». La famille de
cette pauvre femme ne fit évidemment rien, en raison de la
« puissance de l'islam ». Voici la phrase : « Ce
fut le premier jour où l'Islâm devint puissant dans la maison de
Banû Khatmah. Auparavant, celui qui embrassait l'Islam, s'en
cachait. Les premiers parmi les Banû Khatmah à se convertir à
l'Islam furent : 'Umayr b. 'Addy - surnommé le lecteur et 'Abd Allâh
b. 'Aws et Khuzaymah b. Thâbit. Le jour où la fille de Marwân fut
tuée, des hommes de Banû Khatmah embrassèrent l'Islam après avoir
vu sa puissance ». La puissance de l'islam consiste donc à
aller tuer des femmes, des vieillards, puis contraindre les gens à se
convertir en raison de ces actes barbares ? La puissance
est-elle une preuve de raison ? Celui qui possède la plus
longue épée est la preuve qu'il vient d' « Allah » ?
Les seules personnes qui respectent ce genre de puissance et d'actes
sont les criminels. Et plus de 14 siècles plus tard, les Musulmans
n'ont toujours pas changé de tactique. Beaucoup de gens se sont
convertis à cette religion en raison de l'oppression qu'ils
subissaient (et j'en connais plein, dont certains ayant vécu dans
d'anciens quartiers où j'ai résidés).
Bien
sûr qu'il y a du bien et du mal dans toutes les religions. Mais ce
cas-ci est différent, car il s'agit là d'actes ayant été commis
par celui qui a fondé l'islam. Cette religion est basée sur les
paroles et actes de Mouhammad,
considérés par les Musulmans comme l'homme le plus parfait de la
planète.
Dans
les Hadiths de Abu Dawood, Livre 38, Hadith n°4348 (que vous pouvez
lire ici),
nous pouvons lire ceci :
Un
aveugle avait une esclave qui avait l'habitude d'injurier le prophète
et le dénigrer . Il lui demanda de cesser, mais elle ne cessa pas.
Il la réprimanda, mais elle n'abandonna pas son habitude. Une nuit,
elle commença à calomnier le prophète et l'injurier. Il prit donc
une dague, et lui transperça le ventre. Un enfant qui passait entre
ses jambes se barbouilla dans le sang qui s'y trouvait. Lorsque vint
le matin, le prophète fut informé de cela.
Il
rassembla les gens et dit : « J'adjure par Allah l'homme
qui a fait cela de se lever ! ». L'aveugle se leva, passa
à travers la foule, et il se présenta en tremblant.
Il
s'assit devant le prophète et dit : « Envoyé d'Allah. Je
suis son maître. Elle avait l'habitude de t'injurier et de te
déprécier. Je lui ai demandé de cesser, mais elle n'a pas cessé ;
je l'ai réprimandé, mais elle n'a pas abandonné son habitude. J'ai
deux fils semblables à des perles qui sont nés d'elle et elle était
ma compagne. La nuit dernière, elle se mit à t'injurier et à te
déprécier. J'ai donc pris une dague, l'ai placée contre son
ventre, et l'ai enfoncée et tuée ».
Sur
ce, le prophète dit : « Ô, soyez témoins ! Rien ne
doit être payé pour son sang ! »
Nous
voyons ici que Mouhammad
permit aux gens de tuer d'autres personnes pour le seul fait de
l'avoir insulté. Ici, il s'agit d'une esclave qui était utilisée
comme concubine par son maître Musulman. Elle a payé de sa vie pour
les critiques qu'elle émettait contre Mouhammad.
Cette femme était la mère de deux des enfants de son assassin, acte
qui obtint la satisfaction de Mouhammad.
Maintenant, vous comprenez pourquoi 14 siècles plus tard, un énorme
pourcentage de Musulmans sont prêts à tuer quiconque émettrait une
critique de leur religion et de leur prophète, qu'il vénère comme
une idole (et ils se prétendent monothéistes !)
Les
Musulmans ne supportent pas la contradiction, ni le fait qu'il puisse
exister des opinions autres que les leurs. D'ailleurs, beaucoup de
savants Musulmans déduisent du Hadith susmentionné que tout Juif ou
non Musulman qui injurie le prophète doit être tué.
Ibn
Ishaq rapporte qu'un autre Musulman, Amr
bin Umayyah al-Damri,
fut envoyé par Mouhammad
afin d'assassiner l'ennemi du prophète, Abu
Sufiyan ibn Harb.
Mais sa tentative d’assassinat échoua : Alors qu'il rentrait
chez lui, il croisa un berger borgne. En discutant, ils se rendirent
compte qu'ils étaient de la même tribu arabe. Mais avant d'aller se
coucher, le berger déclara qu'il ne deviendrait jamais Musulman. Amr
bin Umayyah attendit que le berger s'endorme pour le tuer. Ibn Ishaq
poursuit le récit :
Aussitôt
que le borgne s'endormit, je me leva et le tua de la manière la plus
horrible qui soit. Je mis l’extrémité de mon arc sur l’œil qui
fonctionnait encore et l’enfonça si fort qu'il ressortit à
l'arrière de sa nuque.
Amr
bin Umayyah retourna auprès de Mouhammad
et lui rapporta ce qui s'était passé. Mouhammad,
entendant son récit, se mit à le bénir !
Ce
fou bénit donc l'un de ses hommes qui tua un berger borgne tandis
qu'il dormait. Un autre exemple de quelqu'un qui ne voulait pas
devenir Musulman et fut assassiné au nom de l'islam, cette religion
si pacifique !
Un
autre récit concerne des Musulmans qui furent envoyés par Mouhammad
pour mener une campagne militaire contre la tribu des Banu
Fazara.
Los de la première campagne, les Musulmans avaient été vaincus par
les Banu Fazara. Le chef Musulman blessé avait juré de se venger.
Après s'être remis de ses blessures, il s'en allait attaquer à
nouveau les Banu Fazara. Une femme très âgée fut capturée. Voici
le récit de Ibn Ishaq :
et
Oum Qirfa Fatima fut faite prisonnière. C'était une femme très
âgée, l'épouse de Malik. Sa fille et Abdullah Massada furent
également emmenés. Zayd donna ordre à Qays de tuer Oum Qirfa, et
il la tua de façon cruelle.
Tabari
explique qu'il plaça une corde à ses deux jambes et à deux
chameaux, et il fit courir les bêtes jusqu'à ce que celle-ci se
sépare en deux. Le récit complet et les « réfutations »
Musulmanes peuvent être lus ici.
Ici,
les compagnons de Mouhammad
furent envoyés afin d'attaquer des ennemis. Ils firent des
prisonniers, puis se laissèrent aller à des actes de grande
brutalité et cruauté envers les captifs. Ces hommes étaient
tellement démunis de toute valeur humaine qu'ils firent séparer une
femme en deux par des chameaux ! 14 siècles plus tard, les
hommes de l’État Islamique et d'autres groupuscules djihadistes
font pire encore en termes de brutalité (ceux qui ont déjà
visionné les vidéos de Daesh comprendront de quoi je parle).
Ibn
Ishaq rapporte ceci :
Un
autre [qu'il fallait tuer] fut Abdullah
ibn Khatal...Il
était devenu Musulman, et l'apôtre l'envoya collecter la Zakat en
compagnie d'un des Ansâr.
Il avait avec lui un esclave affranchi qui le servait. (Il était
Musulman.) Lorsqu'ils s'arrêtèrent, il ordonna à ce dernier de
tuer un bouc et de le lui préparer pour son repas, puis alla dormir. Lorsqu'il
se réveilla, rien n'avait été préparé, c'est pourquoi il l'attaqua,
le tua, puis apostasia. Il
avait deux filles chanteuses, Fartara et son amie, qui avaient
l'habitude de chanter des chants satiriques sur l'apôtre. C'est
pourquoi il ordonna qu'elles soient tuées avec lui.
L'islam
prévoit une peine de mort pour tout Musulman qui apostasierait. Ce
fut le cas de Abdullah ibn Khatal, qui fut exécuté sur ordre de
Mouhammad.
Ce dernier ordonna également que deux jeunes files soient exécutées
avec lui pour avoir chanté des chants satiriques sur lui. Ces chants
avaient été chantés approximativement un an plus tôt. À présent
que Mouhammad
avait conquis la Mecque, il était venu le temps pour lui de faire
payer à ces deux jeunes filles. Elles n'étaient en aucun cas une
menace pour l'islam, ni pour le nouvel État islamique instauré par
Mouhammad.
Ce n'était que des jeunes filles. (Finalement, une seule fut tuée,
car l'autre parvint à s'enfuir. Au final, Mouhammad
lui pardonna.)
Et
la liste est encore longue. Vous pouvez d'ailleurs trouver ici
toute la liste des personnes qui furent tuées sous ordre de
Mouhammad
ou dont il approuva les assassinats.
Prétendre
que l'islam n'a rien de violent et que Mouhammad
était un ange est une pure déformation de la réalité. La vérité
est qu'il existe deux formes d'islam tout aussi légitimes l'une que
l'autre. Et les gens doivent savoir que ceux qui tuent, massacrent,
et violent au nom de l'islam le font sur des bases très concrètes
et solides de leur religion. L’État Islamique, Al Qaeda, etc.,
n'ont rien inventé. Ils ne font qu'appliquer les préceptes de leur
religion et imiter le modèle de leur prophète. Quant aux Musulmans
pacifiques, ils sont tout aussi faux et égarés que les Musulmans
violents car ils ne considèrent qu'une seule facette de leur
religion, celle qui leur plaît, et cachent (ou « ignorent »)
son autre facette, qui est pour le moins obscure, et font de la
gymnastique mentale pour nous convaincre que la version barbare de
l'islam n'existe pas ou n'est pas approuvée par leurs sources.
Ne
vous faîtes pas leurrer. Cette religion contient une horde de loups
aux aguets, qui n'attend que le bon moment pour bondir et nous
dévorer. Certains sont calmes, car peu nombreux et pas assez forts
militairement. Mais le jour où la roue tournera, ils montreront leur
visage et n'épargneront personne : Juifs, Chrétiens ou encore
Musulmans qui ne pensent pas comme eux. Et ils se sentent justifiés
car ils ne font qu'imiter leur imposteur de prophète, qui était
tout sauf un enfant de chœur !
L'islam
est un problème en lui-même en raison de cette double nature, qui
cause un équilibre précaire et rend facilement possible le
basculement dans la radicalité. Ces deux formes d'islam, qui
existent depuis l'origine, se sont toujours opposées. Lisez
l'histoire islamique et vous verrez que c'est une succession de
luttes internes pour imposer une version sur l'autre. C'est ainsi que
le Ramba''m et d'autres vécurent à certains moments sous des
régimes islamiques aux apparences bienveillants (néanmoins toujours
avec une petite tension), et à d'autres sous des régimes islamiques
qui maltraitaient les non musulmans, et chacun d'eux s'appuyait sur
des sources islamiques authentiques.
Ne
croyez donc pas que ceux qui commettent des horreurs au nom de
l'islam ne sont pas Musulmans. Ils ne font qu'appliquer une facette
de leur religion que n'appliquent pas les « modérés »
(un terme qui ne veut rien dire car ou bien on applique sa religion
comme il faut, selon tous ses préceptes, ou bien on l'applique de
façon légère, avec des concessions et compromis, ou bien encore on
l'applique avec extrémisme, accomplissant des choses non prescrites
par la religion. Ceux qu'on appelle « modérés » ne sont
pas des Musulmans qui appliquent leur religion comme il faut, mais
font plutôt des compromis avec ses préceptes pour notamment être
bien vus des autres ou se laisser aller à leurs passions sans
culpabilité).
De
plus, ne vous laissez pas avoir par l'argument de l'irrecevabilité
d'un récit en raison de la faiblesse présumée de sa chaîne de
transmission. C'est un argument inventé de toute pièce pour se
débarrasser d'un récit qui peut potentiellement nuire à l'image de
l'islam. En fait, les Musulmans emploient cet argument même contre
eux. Quand une communauté musulmane cite un certain Hadith soutenant
une opinion à laquelle elle adhère, lorsqu'une autre communauté
musulmane est dérangée par ce hadith elle use de l'argument selon
lequel ce récit est faible afin de discréditer ceux qui l'acceptent
comme viable. Rien de nouveau sous le soleil. Cela fait juste partie
de leurs nombreuses techniques pour brouiller les pistes. En outre,
quand bien même les récits rapportés par Ibn Ishaq seraient
faibles, de nombreuses hadiths considérées Sahih (authentiques), et
rapportées par Mouslim et Boukhari (qui sont des références
absolues dans le domaine du hadith chez les Musulmans sunnites), sont
bien pires que ceux que l'on a rapportés ici.