dimanche 12 avril 2020

Introduction aux Shava´ Miswôth Bané Nôah


בס״ד

Introduction aux Shava´ Miswôth Bané Nôah


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Au commencement, Hashshém ית׳ a établi un ensemble de règles, avec `odhom et Hawwoh ע״ה dans le Gan ´édhan, afin de garantir la justice sur terre. Ces règles furent données à `odhom Hori`shôn, et à travers lui à tous les humains. Du temps de Nôah ע״ה, Hashshém ajouta une règle supplémentaire. Ces règles incombaient (et incombent encore) à tous les humains, sans distinction de race ou de couleur. Elles sont au nombre de sept, et sont ce qu'on appelle שבע מצוות בני נח « Shava´ Miswôth Bané Nôah – Les Sept Commandements des Enfants de Nôah ».

Le Talmoudh délimite les lois de Nôah :1

Nos Rabbins ont enseigné : sept préceptes furent ordonnés aux fils de Nôah : les lois sociales2, s'abstenir du blasphème, de l’idolâtrie, de l'immoralité sexuelle, de l'effusion de sang, du vol, et de la consommation de la chair arrachée d'un animal vivant.

Ces sept lois stipulent donc que :

  1. le meurtre est interdit ;
  2. le vol est interdit ;
  3. les relations sexuelles immorales sont interdites ;
  4. consommer la chair d'un animal vivant est interdit ;
  5. l’idolâtrie est interdite ;
  6. maudire le Nom de Hashshém est interdit ;
  7. l'humanité a reçu l'ordre d'établir des tribunaux de justice et de faire appliquer la justice.

Un Gôy qui accepte ces sept lois et les met méticuleusement en pratique est appelé גר תושב « Gér Tôshov », terme qui signifie littéralement « un étranger résident ».3 Il est un étranger ayant droit de résidence en Terre d'Israël au milieu des Juifs, étant donné qu'il respecte l'alliance de lois que Hashshém a faite avec toute l'humanité. Son obéissance à ces sept lois, qui forment les principes élémentaires d'une humanité civilisée lui permet d'être un citoyen « étranger » qui peut jouir de tous les droits et privilèges de la loi sociale israélite.

Un Gôy qui accepte ces sept lois et les met méticuleusement en pratique aura une part dans le ´ôlom Habbo` (le Monde-à-Venir), pourvu qu'il les accepte et les met en pratique parce que Hashshém l'a ordonné dans Sa Tôroh ! Mais si son observance est basée sur la raison, il n'est pas un Gér Tôshov. Il n'est pas suffisant d'y obéir parce qu'elles sont rationnelles ou logiques. Il faut le faire avec la pleine conscience que c'est parce que Hashshém l'a ordonné !

C'est une obligation qui incombe à chaque israélite d'enseigner aux Gôyim à mettre en pratique les lois noahides ! Le Rambo''m ז״ל tranche explicitement la Halokhoh suivante :4

Môshah Rabbénou n'a confié la Tôroh et les Miswôth qu'à Yisro`él, ainsi qu'il est dit5 : « c'est l'héritage de l'assemblée de Ya´aqôv », et à tout celui qui désire se convertir parmi les autres peuples, ainsi qu'il est dit6 : « Comme vous, ainsi {sera} le converti ». Toutefois, celui qui ne l'a pas désiré, ils ne le forcent pas à accepter la Tôroh et les Miswôth. Et de même, Môshah Rabbénou ordonna, par la bouche de la Puissance, de contraindre tous les habitants du monde à accepter toutes les Miswôth que s'est vu ordonner Nôah. Et tout celui qui n'accepte pas sera exécuté ! Et celui qui les accepte est celui qui est appelé « Gér Tôshov » en tout lieu. Et il a besoin d'accepter sur lui {ces Miswôth} en présence de trois Havérim7. Et tout celui qui accepte sur lui de se faire circoncire et douze mois sont passés sur lui et il n'a pas été circoncis, voici, celui-ci est comme une sorte faisant partie des peuples.
מֹשֶׁה רַבֵּנוּ לֹא הִנְחִיל הַתּוֹרָה וְהַמִּצְווֹת אֵלָא לְיִשְׂרָאֵל, שֶׁנֶּאֱמָר "מוֹרָשָׁה, קְהִלַּת יַעֲקֹב", וּלְכָל הָרוֹצֶה לְהִתְגַּיַּר מִשְּׁאָר הָאֻמּוֹת, שֶׁנֶּאֱמָר "כָּכֶם כַּגֵּר". אֲבָל מִי שֶׁלֹּא רָצָה, אֵין כּוֹפִין אוֹתוֹ לְקַבַּל תּוֹרָה וּמִצְווֹת. וְכֵן צִוָּה מֹשֶׁה רַבֵּנוּ מִפִּי הַגְּבוּרָה, לָכֹף אֶת כָּל בָּאֵי הָעוֹלָם לְקַבַּל כָּל מִצְווֹת שֶׁנִּצְטַוָּה נוֹחַ, וְכָל מִי שֶׁלֹּא קִבַּל, יֵהָרֵג. וְהַמְּקַבֵּל אוֹתָם--הוּא הַנִּקְרָא גֵּר תּוֹשָׁב בְּכָל מָקוֹם, וְצָרִיךְ לְקַבַּל עָלָיו בִּפְנֵי שְׁלוֹשָׁה חֲבֵרִים. וְכָל הַמְּקַבֵּל עָלָיו לָמוּל, וְעָבְרוּ עָלָיו שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ וְלֹא מָל--הֲרֵי זֶה כְּמִין שֶׁבָּאֻמּוֹת.

Chaque israélite a donc une obligation religieuse remontant à Môshah Rabbénou ע״ה d'enseigner ces lois noahides à toute l'humanité. Or, peu de Juifs aujourd'hui accomplissent leur devoir d'instruction et expansion des lois noahides dans le monde. Et la conséquence fâcheuse de cela est que l’idolâtrie et l'insoumission à Hashshém perdurent, alors que l'humanité entière est appelée à reconnaître Hashshém et à Le servir. En tant que Juifs, nous avons été appelés à être une lumière pour les Gôyim afin de leur montrer la voie menant à Hashshém. Nous ne pouvons pas nous plaindre des mauvaises mœurs des Gôyim qui nous entourent, et du fait que l'islam et le christianisme prospèrent, alors que dans le même temps nous refusons notre mission de contraindre les nations du monde à accepter les lois noahides.

Il est faux de penser que puisque les Bané Yisro`él ont reçu 613 Miswôth alors que les Bané Noah n'en ont reçu que 7 signifie que les israélites sont plus bénis ou ont une valeur spirituelle de 613 contre 7. En fait, les Sept Miswôth des Bané Noah sont des catégories de commandements, chacune étant subdivisée en d'innombrables autres lois et détails. Par conséquent, la disparité numérique ne reflète en rien la valeur spirituelle supposée de ces deux systèmes d'adoration du Créateur.

Les Sept Lois Noahides sont toutes formulées dans le sens de l'interdiction, à l'exception de l'obligation d'établir des lois sociales, des tribunaux et des sanctions pour s'assurer de l'application de la justice dans la société.

Il convient de noter que le Talmoudh mentionne le fait qu'en plus de ces Sept Lois Noahides, plusieurs Rabbonim imposaient aux Noahides de prendre sur eux d'autres interdictions :8

Ribbi Hanino` ban Gamli`él a dit : « Aussi le fait de ne pas consommer du sang extrait d'un animal vivant ». Ribbi Hidqo` ajoutait l'émasculation. Ribbi Shim´ôn ajoutait la sorcellerie. Ribbi Yôsé a dit : « Les Gôyim furent interdits [de s'adonner] à quoi que ce soit qui serait mentionné dans la Poroshoh sur la sorcellerie... »

En fait, ce ne sont pas des ajouts. Ce que le Talmoudh veut nous faire comprendre, c'est qu'il n'y a pas sept commandements à respecter, mais sept catégories, car chaque catégorie est composée de nombreuses lois et interdictions. Selon l'opinion communément acceptée, les sept catégories de commandements noahides se divisent en au moins soixante-six lois que les non-Juifs ont l'obligation de respecter. En plus de ces lois, les Noahides ont traditionnellement accepté sur eux l'accomplissement de Miswôth telles que l'honneur des parents ou encore celle de la Sadhoqoh.

En outre, puisque Nôah a reçu le commandement de remplir la terre, nous apprenons qu'il est du devoir moral de chaque individu de reproduire la race humaine en faisant autant d'enfants que possible.

Le Talmoudh9 nous donne également la sanction qu'encourent les Gérim Tôshovim qui transgresseraient l'une des lois noahides : la peine de mort. Et plus spécifiquement pour l'immoralité sexuelle, l'effusion de sang, le blasphème et l’idolâtrie.

Voici à présent la liste des 66 commandements reconnus qui entrent dans les sept catégories des lois noahides :

  1. Le meurtre
1) Se tuer et tuer les autres (pas de meurtre, ni assassinat ; pas de suicide ; pas d’infanticide ; et certains ajoutent même l’interdiction du Loshôn Hora´ dans la catégorie du meurtre)

  1. Le vol
2) Le vol
3) Le cambriolage
4) Le fait de repousser les bornes de son voisin ou d’un lieu
5) La triche
6) Refuser de rembourser un montant d’argent que l'on doit à autrui
7) Surestimer ou surtaxer un produit
8) La convoitise
9) Le désir néfaste (on peut l'inclure avec la convoitise)
10) Un laboureur10 devrait être autorisé (sous certaines conditions) à manger du fruit qui se trouve sur le lieu où il travaille
11) Interdiction pour le laboureur de manger de tels fruits si certaines conditions ne sont pas remplies
12) Interdiction pour le laboureur de ramener des fruits chez lui sans autorisation explicite ou implicite
13) Le kidnapping
14) L’usage de fausses unités de poids et de mesures
15) Interdiction de posséder chez soi de fausses balances avec de fausses unités de poids et de mesures11
16) Interdiction d’être inexacte dans l’emploi des poids et des mesures
17) Le voleur doit rendre l’objet volé ou dédommager sa victime

  1. Les relations interdites
18) Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec sa mère
19) Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec sa sœur
20) Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec la femme de son père
21) Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec la femme d’un autre homme
22) Interdiction pour un homme de copuler avec un animal
23) Interdiction pour une femme de s'accoupler avec un animal
24) Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec son père
25) Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec un être du même sexe
26) Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec la sœur de son père
27) Interdiction de s’engager dans un comportement qui pourrait mener à une union illicite (Le Shoulhon ´oroukh consacre aussi tout un chapitre à l'interdiction d’avoir des pensées d'immoralité sexuelle et au fait de décharger sa semence en vain. Dans cette catégorie, certains incluent les mariages blancs ou qui sont contractés par pur bénéfice12, qui constituent des unions illicites. On y ajoute aussi l’interdiction de castration ou le fait d’accoupler ensemble des animaux de races différentes).

  1. La chair d’une créature vivante
28) Ne pas manger un membre arraché d’un animal vivant

  1. L’idolâtrie
29) Ne pas même concevoir dans ses pensées l'existence d'un autre dieu que Hashshém
30) Interdiction de fabriquer une image taillée (et même de se la faire faire par quelqu’un d’autre)
31) Interdiction de fabriquer des idoles destinées à être utilisées par d’autres personnes
32) Ne pas fabriquer de statues de choses interdites (même si elles ont un but décoratif)
33) Interdiction de s’agenouiller devant une idole (et de ne pas offrir de sacrifice à ces idoles, de ne pas faire couler de libations pour ces idoles, de ne pas brûler de l’encens pour ces idoles, même si ce n’est pas la coutume d’agir ainsi à l’égard de telles idoles)
34) Interdiction de rendre un culte à une idole selon les coutumes en vigueur pour le service de cette idole
35) Interdiction de faire passer ses enfants par le feu (selon le service d’adoration à Môlakh)
36) Interdiction de pratiquer `ôv (enchantement, prédiction de l'avenir)
37) Interdiction de pratiquer Yidda´ôni (sorcellerie, divination, magie)
38) Interdiction de s’adonner à l’idolâtrie (en pensée, en fait, en parole ou en pratiquant une coutume qui pourrait nous amener à l’idolâtrie)

  1. Le blasphème
39) Reconnaître l’existence de Hashshém13
40) Craindre Hashshém
41) Prier Hashshém
42) Sanctifier le nom de Hashshém. C’est ce que l’on appelle faire un Qiddoush Hashshém
43) Interdiction de provoquer la désacralisation du nom de Hashshém. C’est ce que l’on appelle faire un Hilloul Hashshém
44) Étudier la Tôroh14
45) Il faut honorer les érudits de la Tôroh15, et reconnaître l'autorité des enseignants et se soumettre à eux
46) Interdiction de blasphémer par quelque moyen que ce soit (à cette liste, on ajoute le grave péché consistant à ne pas reconnaître l’unicité, la singularité de Hashshém ; de ne pas honorer son père et sa mère ; de pratiquer la sorcellerie, la magie, la nécromancie, les sorts, les enchantements et le fait d’être medium)

  1. La justice
47) Nommer des juges et des magistrats dans toutes les communautés, ou les consulter
48) Régler les litiges équitablement selon la loi mise en place
49) Vérifier en profondeur les témoignages des témoins (ne pas croire que sur parole)
50) Ne pas tolérer les manquements de la justice (il faut s’offusquer lorsque les cours ne rendent pas justice)
51) Interdiction pour le juge d’accepter un cadeau ou un pot-de-vin d’une partie quelconque
52) Interdiction pour le juge de ne montrer des marques d’honneur et de respect qu’à l’égard d’une des parties
53) Interdiction pour le juge de craindre les menaces d’une des parties
54) Interdiction pour le juge de favoriser ou d’avoir compassion du pauvre durant un procès
55) Interdiction pour le juge de discriminer un plaignant parce que celui-ci est connu pour être un pécheur (même les pécheurs ont droit à la justice)
56) Interdiction pour un juge (sauf en cas de manque de preuves) de ne pas prononcer une peine pour un meurtrier ou un coupable
57) Interdiction pour le juge de discriminer un étranger ou un orphelin
58) Interdiction pour un juge d’écouter une partie en l’absence de l’autre
59) Interdiction de nommer un juge qui manque de connaissance à l’égard de la Loi
60) Interdiction pour un tribunal de tuer un innocent
61) Interdiction d’incriminer quelqu’un sur base de preuves indirectes
62) Interdiction de punir un crime commis par coercition (sous la contrainte)
63) Le tribunal doit pratiquer la peine de mort
64) Interdiction de se faire justice soi-même en tuant un malfaiteur passible de la peine de mort (il n’y a pas consensus sur ce point)
65) Il est obligatoire d’aller témoigner dans un tribunal
66) Interdiction de faire un faux témoignage au sein d’un tribunal

Ce qui rajoute du crédit aux Lois Noahides est qu'elles sont compatibles avec les Dix Paroles, qui sont :

  1. La croyance de l'existence de Hashshém
  2. l'interdiction de l’idolâtrie
  3. l'interdiction d'employer le Nom de Hashshém en vain
  4. l'obligation du respect du Shabboth
  5. l'honneur dû aux parents
  6. l'interdiction du meurtre
  7. l'interdiction de l'adultère
  8. l'interdiction du vol
  9. l'interdiction de porter contre autrui un faux témoignage
  10. l'interdiction de convoiter ou de désirer ce qui appartient à autrui.

Dès le premier coup d’œil, les Dix Paroles incluent cinq des sept Lois Noahides. Deux de ces cinq lois sont quasiment formulées de la même manière que dans les Dix Paroles, alors que les trois autres sont des énonciations spécifiques d'une généralité. Ces cinq lois communes sont :

Lois Noahides
Dix Paroles
  • L'interdiction de l’idolâtrie
2ème parole
  • L'interdiction du blasphème
1ère et 3ème paroles
  • L'interdiction de l'immoralité sexuelle
7ème parole
  • L'interdiction du meurtre
6ème parole
  • L'interdiction du vol
8ème parole

Cela nous indique que les 4ème, 5ème, 9ème et 10ème paroles ne furent pas incluses dans les Sept Lois Noahides, au sens « littéral ». Mais une analyse plus minutieuse des Lois Noahides indiquent qu'il y a de bonnes raisons de croire qu'elles peuvent et doivent être incluses indirectement :

  • Désobéir à la 4ème parole peut à juste titre être considéré comme un blasphème et/ou de l’idolâtrie, et violerait donc une ou deux lois noahides.
  • Étant donné que l'honneur dû aux parents est un microcosme de l'honneur dû à Hashshém, y désobéir est une forme « mineure » de blasphème contre Hashshém, et va donc à l'encontre d'une loi de Nôah.
  • Désobéir à la 9ème parole va à l'encontre de l'obligation de la justice, et pourrait même être compté dans l'interdiction du blasphème, car cela cause un Hilloul Hashshém. C'est donc la transgression d'au moins une loi de Nôah.
  • Désobéir à la 10ème parole peut amener à la transgression de l'interdiction de l'immoralité sexuelle, du vol ou du meurtre. Cela peut donc causer la transgression potentielle de trois lois noahides, sans oublier celle de l’idolâtrie.

Une analyse plus poussée de la signification sous-jacente des Lois Noahides démontre donc qu'elles sont compatibles avec les Dix Paroles. On peut donc voir les Lois Noahides comme un système « simplifié » des Dix Paroles.

Il nous reste deux lois noahides, celle interdisant la consommation du membre arraché d'un animal vivant et celle enjoignant à établir un système de justice, qui ne sont pas incluses dans les Dix Paroles. Nous pourrions dire concernant cette dernière que la transgression de chacune des Dix Paroles entraîne des sanctions, tout comme la transgression de n'importe laquelle des lois noahides. Et qui dit sanction dit forcément système de justice. Si vous avez une idée de la façon de rattacher l'interdiction de consommer le membre arraché d'un animal vivant aux Dix Paroles, vos remarques seront les bienvenues !
1Sanhédhrin 56a
2C'est-à-dire, établir des tribunaux chargés d'exercer et de faire respecter la justice, ainsi que le fait de faire preuve de justice sociale.
3Talmoudh, ´avôdhoh Zoroh 64b ; Mishnéh Tôroh, Hilkôth Malokhim 8:13
4Mishnéh Tôroh, Hilkôth Malokhim 8:12-13
5Davorim 33:4
6Bamidhbor 15:15
7Trois Israélites connus pour leur Yir`ath Shomayim. Ils ne doivent pas nécessairement être des Rabbonim.
8Sanhédhrin 56a
9Ibid. 57a
10Synonyme de tout travailleur qui travaille généralement en-dehors de chez lui ou de sa ville.
11Si elles sont inutilisables ou qu'elles servent juste à décorer, il est permis de les avoir à la maison.
12Par exemple, les mariages blancs pour obtenir des papiers.
13Par conséquent, même un athée qui a de belles valeurs reste un blasphémateur.
14Ne pas l'étudier est considéré être une révolte ouverte contre la Parole Divine. C'est donc un blasphème.
15Les Talmidhé Hakhomim.