ב״ה
Les
lois relatives à la prière
Quatorzième
Partie
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Poursuivons
notre exposition des lois relatives à la prière.
Lois
relatives à la prière et à la bénédiction des Kôhanim –
Chapitre 6
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הִלְכּוֹת
תְּפִלָּה וּבִרְכַת כּוֹהֲנִים פֵּרֶק
ו׳
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- Peut-on passer derrière une synagogue au moment où une assemblée prie à l'intérieur ?
1.
Il est défendu pour
quelqu'un de passer derrière une synagogue au moment où la
communauté prie, à moins qu'il porte une charge ou que la
synagogue soit dotée de deux entrées à deux côtés
[différents], car celui qui le voit pourra présumer qu'il compte
entrer par l'autre entrée. De même, s'il y a dans la ville deux
synagogues, celui qui le voit pourra présumer qu'il se rend à la
synagogue à laquelle il est habitué. Si quelqu'un a les Tafillin
sur sa tête, il lui est permis de passer, même sans l'une de ces
[conditions], car les Tafillin indiquent qu'il est quelqu'un qui
recherche les Miswôth,
et qu'il ne fait pas partie de ceux qui s'abstiennent de la
prière.
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א אָסוּר
לוֹ לָאָדָם לַעֲבֹר אֲחוֹרֵי בֵּית
הַכְּנֶסֶת בְּשָׁעָה שֶׁהַצִּבּוּר
מִתְפַּלְּלִין,
אֵלָא
אִם כֵּן הָיָה נוֹשֵׂא מַשּׂאוּי;
אוֹ
אִם הָיָה לְבֵית הַכְּנֶסֶת שְׁנֵי
פְּתָחִים בִּשְׁתֵּי רוּחוֹת,
שֶׁהָרוֹאֶה
אוֹמֵר שֶׁמֶּא יֵלֵךְ וְיִכָּנֵס
בַּפֶּתַח הָאַחֵר.
וְכֵן
אִם הָיָה בָּעִיר שְׁנֵי בָּתֵּי
כְּנָסִיּוֹת,
יֹאמַר
הָרוֹאֶה שֶׁמֶּא יֵלֵךְ לְבֵית
הַכְּנֶסֶת הָרָגִיל בּוֹ.
וְאִם
הָיָה לוֹ תְּפִלִּין בְּרֹאשׁוֹ--מֻתָּר
לַעֲבֹר,
וְאַף
עַל פִּי שְׁאֵין שָׁם אֶחָד מִכָּל
אֵלּוּ:
שֶׁהַתְּפִלִּין
מוֹכִיחִין עָלָיו שְׁהוּא רוֹדֵף
אַחַר הַמִּצְווֹת,
וְאֵינוּ
מִמְּבַטְּלֵי הַתְּפִלָּה
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Il
est défendu pour quelqu'un de passer derrière une synagogue :
On parle ici du cas où l'entrée de la synagogue se trouve à
l'arrière. Mais passer par un côté d'une synagogue où ne se
trouve pas une entrée n'est pas un problème.
au
moment où la communauté prie :
Rash''i1
ז״ל
explique
que celui qui passe devant l'entrée d'une synagogue sans y entrer
donne l'impression de fuir la synagogue et la prière qui est en
train de s'y dérouler.
Le
Talmoudh2
rapporte cette interdiction au nom de Rébbi Yahôshoua´ ban Léwi
ז״ל,
puis cite `abbayé ז״ל
comme
ayant énoncé les deux cas d'exception que le Ramba''m rapporte
ici.
à
moins qu'il porte une charge :
Auquel cas on comprendra aisément la raison pour laquelle il
n'entre pas dans la synagogue.
ou
que la synagogue soit dotée de deux entrées à deux côtés
[différents], car celui qui le voit pourra présumer qu'il compte
entrer par l'autre entrée :
Le Talmoudh parle bien de cette conditions des deux entrées, mais
le fait qu'elles doivent être à deux côtés différents de la
synagogue est un ajout du Ramba''m ז״ל,
qui est logique. En effet, si les deux entrées sont du même côté
de la synagogue, le badaud attendra de voir s'il entre vraiment
par la deuxième entrée, tandis que ce n'est que dans le cas où
les deux entrées sont à des côtés différents de la synagogue
que l'on n'a pas besoin de l'observer, et que l'on peut présumer
qu'il compte entrer par l'autre côté. D'où l'ajout par le
Ramba''m de cette qualification d'entrées situées à deux côtés
différents.
De
même, s'il y a dans la ville deux synagogues, celui qui le voit
pourra présumer qu'il se rend à la synagogue à laquelle il est
habitué : Et non pas
qu'il fuit la synagogue devant laquelle il est passé afin de ne
pas prier avec la communauté.
Si
quelqu'un a les Tafillin sur sa tête :
Voir les Hilkôth Tafillin Oumazouzoh Waséfar Tôroh 4:25, qui
mentionne l'obligation de porter les Tafillin tout au long de la
journée, et pas uniquement pour la prière du matin. Et telle est
la pratique des Talmidhé HaRamba''m, qui portent également le
Tallith tout au long de la journée, et pas uniquement pour la
prière. En fait, contrairement au mythe bien répandu, les
Tafillin ne sont en rien liées à la prière, tout comme le
Tallith. (Voir, à cet égard, l'article intitulé « Le
Tallith : un châle de prière ou un vêtement ? ».)
il
lui est permis de passer :
Derrière une synagogue, pendant que l'assemblée y prie.
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- Peut-on rallonger excessivement sa prière ?
2.
Celui qui prie avec la
communauté ne doit pas s'étendre trop longuement dans sa prière.
Mais en privé, il en a le droit : s'il désire dire après
sa prière même le rite de la confession de Yôm Hakkippourim,
qu'il le dise ! De même, s'il désire ajouter dans chacune
des bénédictions intermédiaires quelque chose en rapport avec
la bénédiction, qu'il ajoute !
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ב הַמִּתְפַּלֵּל
עִם הַצִּבּוּר,
לֹא
יַאֲרִיךְ בִּתְפִלָּתוֹ יָתֵר מִדַּי.
אֲבָל
בֵּינוֹ לְבֵין עַצְמוֹ,
הָרְשׁוּת
בְּיָדוֹ:
אִם
בָּא לוֹמַר אַחַר תְּפִלָּתוֹ,
אַפִלּוּ
כְּסֵדֶר וִדּוּי יוֹם הַכִּפּוּרִים--אוֹמֵר;
וְכֵן
אִם רָצָה לְהוֹסִיף בְּכָל בְּרָכָה
וּבְרָכָה מִן הָאֶמְצָעִיּוֹת,
מֵעֵין
הַבְּרָכָה--מוֹסִיף
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Celui
qui prie avec la communauté ne doit pas s'étendre trop
longuement dans sa prière. Mais en privé, il en a le droit :
Le Talmoudh3
rapporte que la pratique de Rébbi ´aqivo` ז״ל,
lorsqu'il priait en communauté, consistait à raccourcir sa
prière silencieuse afin de ne pas ennuyer les autres fidèles,
qui auraient alors à attendre qu'il finisse. Mais lorsqu'il
priait seul, celui qui l'avait laissé dans un coin de la pièce
le retrouvait à un autre coin, à cause de ses inflexions et
prosternations nombreuses qu'il faisait après la prière. Cela
indique que lorsqu'il priait seul, il faisait de longues
supplications après ses Shamônah ´asréh. (Pour les inflexions
et prosternations qui suivent les Shamônah ´asréh lorsqu'on
fait les supplications, voir la treizième
partie de cette série
d'articles, ainsi que les articles intitulés « La
prosternation israélite »
et « Guide
des Tahanoun ».)
Nous
comprenons donc que l'interdiction de s'étendre dans les Shamônah
´asréh lorsqu'on prie en communauté fut promulguée afin de
prévenir l'inconfort qui pourrait être causé si la communauté
était contrainte d'attendre qu'une personne termine sa prière.
Le Rov Qa`ppah
ז״ל
précise
que même si la communauté ne l'attendra pas nécessairement, il
est néanmoins toujours interdit de s'étendre trop longuement
dans ses Shamônah ´asréh, afin de ne pas paraître arrogant.
s'il
désire dire après sa prière :
C'est-à-dire, après avoir terminé ses Shamônah ´asréh.
même
le rite de la confession de Yôm Hakkippourim, qu'il le dise :
Le Talmoudh4
affirme que si on le désire, on peut même, après ses Shamônah
´asréh, faire l'intégralité du rite du jour de Yôm
Hakkippourim.
Les
prières de Yôm Hakkippourim ont été citées en exemple, car il
s'agit généralement des plus longues de l'année. En d'autres
mots, on a même le droit de continuer à prier après les
Shamônah ´asréh autant de temps qu'on le désire, même de
nombreuses heures.
De
même, s'il désire ajouter dans chacune des bénédictions
intermédiaires quelque chose en rapport avec la bénédiction,
qu'il ajoute : Cela
sera expliqué dans la Halokhoh suivante.
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- Comment ajoute-t-on ses requêtes personnelles dans les Shamônah ´asréh ?
3.
Comment ça ? Si
quelqu'un était malade, il demande pour lui miséricorde dans la
bénédiction des malades, suivant l'aisance de son élocution.
S'il a besoin de moyens de subsistance, il ajoute une supplication
et demande dans la bénédiction des années, et ainsi de suite
pour chacune d'elles. Et s'il désire demander tout ce dont il a
besoin dans « Shôméa´ Tafilloh »,
qu'il demande ! Mais on ne doit pas faire de requêtes ni
dans les trois premières [bénédictions], ni dans les trois
dernières.
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ג כֵּיצַד:
הָיָה
לוֹ חוֹלֶה--מְבַקֵּשׁ
עָלָיו רַחֲמִים בְּבִרְכַת חוֹלִים,
כְּפִי
צַחוּת לְשׁוֹנוֹ;
הָיָה
צָרִיךְ לְפַרְנָסָה,
מוֹסִיף
תְּחִנָּה וּבַקָּשָׁה בְּבִרְכַת
הַשָּׁנִים.
וְעַל
דֶּרֶךְ זוֹ,
בְּכָל
אַחַת מֵהֶן.
וְאִם
רָצָה לִשְׁאֹל כָּל צְרָכָיו בְּשׁוֹמֵעַ
תְּפִלָּה,
שׁוֹאֵל;
אֲבָל
לֹא יִשְׁאַל לֹא בְּשָׁלוֹשׁ רִאשׁוֹנוֹת,
וְלֹא
בְּשָׁלוֹשׁ אַחֲרוֹנוֹת
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Comment
ça : C'est-à-dire,
comment applique-t-on la Halokhoh selon laquelle il est permis, si
on le souhaite, d'ajouter nos propres requêtes dans les
bénédictions des Shamônah ´asréh, dès lors que chaque
requête est énoncée dans la bénédiction adéquate ?
Si
quelqu'un était malade, il demande pour lui miséricorde dans la
bénédiction des malades :
C'est-à-dire, la quatrième bénédiction intermédiaire des
Shalmônah ´asréh.
Le
Talmoudh5
enseigne que bien que nos Sages aient dit qu'il était préférable
d'ajouter toutes ses requêtes personnes dans la bénédiction de
« Shôméa´ Tafilloh », on a le droit d'ajouter, si
on préfère, ses requêtes personnelles dans la bénédiction
intermédiaire appropriée. Le Talmoudh donne exactement les deux
mêmes exemples que le Ramba''m rapporte ici.
suivant
l'aisance de son élocution :
C'est-à-dire, dans ses propres mots, même dans une langue autre
que la Langue Sainte, et avec le vocabulaire le plus raffiné et
approprié qu'il connaisse.
S'il
a besoin de moyens de subsistance, il ajoute une supplication et
demande dans la bénédiction des années :
C'est-à-dire, la sixième des bénédictions intermédiaires des
Shamônah ´asréh.
et
ainsi de suite pour chacune d'elles :
Rash''i6
donne comme autre exemple que si l'on souhaite ne pas oublier ce
que l'on vient juste d'étudier avant la prière, on peut faire
une requête personnelle dans la bénédiction de la connaissance
(la première des bénédictions intermédiaires des Shamônah
´asréh).
Et
s'il désire demander tout ce dont il a besoin dans « Shôméa´
Tafilloh », qu'il demande :
Car, comme nous l'avons dit plus haut, il n'y a pas d'obligation
d'insérer ses requêtes dans d'autres bénédictions. Cette
bénédiction-ci peut servir pour toutes les sortes de requêtes.
Mais
on ne doit pas faire de requêtes ni dans les trois premières
[bénédictions], ni dans les trois dernières :
Voir dans le Talmoudh, ainsi qu'au Chapitre 1, Halokhoh 6 (dans la
première
partie).
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- Peut-on manger ou goûter quelque chose avant d'avoir prié ?
4.
Il est défendu à quelqu'un
de goûter quoique ce soit ou d'accomplir un travail depuis que
l'aube ait pointé jusqu'à ce qu'il ait prié la Tafillath
Shahrith.
De même, il doit s'abstenir de visiter son coreligionnaire pour
s'enquérir de son bien-être avant d'avoir prié la Tafillath
Shahrith.
Il ne doit pas [non plus] se mettre en route avant d'avoir prié.
Mais on peut goûter [quelque chose] ou faire un travail avant
Mousof et avant Minhoh.
Mais on ne doit pas prendre un repas aux environs de Minhoh.
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ד אָסוּר
לוֹ לָאָדָם שֶׁיִּטְעֹם כְּלוּם אוֹ
שֶׁיַּעֲשֶׂה מְלָאכָה,
מֵאַחַר
שֶׁיַּעֲלֶה עַמּוּד הַשַּׁחַר,
עַד
שֶׁיִּתְפַּלַּל תְּפִלַּת שַׁחְרִית;
וְכֵן
לֹא יַשְׁכִּים לְפֶתַח חֲבֵרוֹ לִשְׁאֹל
בִּשְׁלוֹמוֹ,
קֹדֶם
שֶׁיִּתְפַּלַּל תְּפִלַּת שַׁחְרִית.
וְלֹא
יֵצֵא לַדֶּרֶךְ,
קֹדֶם
שֶׁיִּתְפַּלַּל.
אֲבָל
טוֹעֵם הוּא וְעוֹשֶׂה מְלָאכָה קֹדֶם
מוּסָף,
וְקֹדֶם
מִנְחָה;
אֲבָל
אֵינוּ סוֹעֵד,
סָמוּךְ
לַמִּנְחָה
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Il
est défendu à quelqu'un de goûter quoique ce soit :
Le Talmoudh7
enseigne qu'il ne convient pas de s'occuper de ses besoins
charnels avant d'avoir prié. Mais il va de soi que cela ne
s'applique ni à celui qui est malade et doit manger pour prendre
des forces, ni à celui qui a tellement faim ou soif qu'il ne
pourra pas se concentrer dans sa prière s'il ne mange pas ou ne
boit pas. (Voir le Chapitre 5, Halokhoh 2, dans la onzième
partie, où nous avions
vu que celui qui est affamé ou assoiffé est considéré comme un
malade et peut manger ou boire avant de prier.)
ou
d'accomplir un travail :
Le Talmoudh8
enseigne que l'on doit d'abord s'occuper de la justice de notre
Créateur, et seulement ensuite accomplir le travail nécessaire à
nos besoins personnels.
depuis
que l'aube ait pointé jusqu'à ce qu'il ait prié la Tafillath
Shahrith :
L'aube est le moment à partir duquel commence la plage horaire de
Shahrith.
(Voir le Chapitre 3, Halokhoh 7, dans la septième
partie.) Par conséquent,
dès que commence l'obligation rabbinique de prier, il devient
interdit de goûter ou de s'occuper de quoique ce soit tant que la
prière n'aura pas été faite.
De
même, il doit s'abstenir de visiter son coreligionnaire pour
s'enquérir de son bien-être avant d'avoir prié la Tafillath
Shahrith : Le
Talmoudh9
rapporte que quiconque va saluer son coreligionnaire avant d'avoir
prié, c'est comme s'il avait fait de son coreligionnaire un
autel, puisqu'il place le bien-être de celui-ci avant HaShem.
Néanmoins,
le Talmoudh précise que cette interdiction ne s'applique que
lorsqu'on se rend chez son coreligionnaire. Mais si on l'a croisé
en chemin, s'enquérir de son bien-être sera permis, même si on
n'avait pas encore prié.
Il
ne doit pas [non plus] se mettre en route avant d'avoir prié :
Pour la même raison qu'il est interdit de s'occuper d'un travail
avant d'avoir prié.10
Mais
on peut goûter [quelque chose] ou faire un travail avant Mousof
et avant Minhoh :
Le Talmoudh11
rapporte deux opinions, celle de Rov Houno` ז״ל,
qui défend de goûter quoique ce soit avant d'avoir prié Mousof,
et celle de Rébbi Yahôshoua´ ban Léwi ז״ל,
qui défend de goûter quoique ce soit avant d'avoir Minhoh.
Mais le Talmoudh rejette ces deux opinions. Par conséquent, comme
le tranche ici le Ramba''m, il n'y a pas de problème à goûter
quelque chose avant d'avoir Mousof ou Minhoh.
Cette interdiction ne s'applique qu'à Shahrith,
afin de commencer sa journée par des occupations spirituelles.
Mais
on ne doit pas prendre un repas aux environs de Minhoh :
Manger
un petit quelque chose et prendre un repas ne sont pas la même
chose. Bien que goûter quelque chose soit permis, certaines
restrictions furent néanmoins imposées concernant certaines
activités interdites avant Minhoh, comme notamment le fait de
consommer un repas. Ces restrictions seront expliquées dans la
Halokhoh suivante, que nous rapporterons dans la prochaine partie.
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1Sur
Barokhôth 61a
2Barokhôth
8b
3Ibid.,
31a
4Ibid.,
et avôdhoh Zoroh
8a
5´avôdhoh
Zoroh 8a
6Sur
´avôdhoh Zoroh, Ibid.
7Barokhôth
10b
8Ibid.,
14a
9Ibid.
10Ibid.
11Ibid.,
28b