בס״ד
Préserver
sa santé d'un point de vue halakhique
- Introduction
Le
sujet de la santé est traité en long et en large de nos jours dans
les magazines médicaux et d'autres publications non religieuses. Cet
article ne traitera pas de conseils médicaux donnés par les
non-Israélites et la presse spécialisée, mais de l'obligation de
préserver notre santé en général, et ne se basera uniquement que
sur les écrits trouvés dans le Talmoud, les Ri`shônim et
les `Aharônim. Le Rambam זצ״ל,
plus particulièrement, a publié de nombreuses informations très
précieuses dans le domaine de la santé physique, dont des livres
entiers. Nous citerons certains de ses enseignements. Nous avons tout
ce dont nous avons besoin dans nos propres sources, autant en faire
usage !
La
nourriture joue un rôle majeur dans nos vies. Nous consommons trois
repas à Shabboth, sans compter la Malawah Malkoh. Nous mangeons
également beaucoup pour les Yômim Tôvim, les Tano`im, les
Qiddoushin, et autres occasions joyeuses. Il peut être difficile de
préserver sa santé lorsqu'on ne fait pas attention à ce que l'on
mange et aux quantités de nourriture ingurgités. Et pourtant, nous
semblons ignorer que la Tôroh nous ordonne de contrôler notre façon
de manger afin de préserver notre santé. Nous allons parcourir
ensemble ces sources.
- Les sources de la Miswoh de préserver sa santé
Il
existe de très nombreuses sources dans la littérature religieuse
qui traitent de l'importance de préserver sa santé.
Par
exemple, le Rambam écrit :
Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:1-2
|
1.
Étant
donné que le maintien d’un corps en bonne santé et vigoureux
fait partie des voies d'HaShem – puisqu’il est impossible, en
étant malade, de parvenir à une quelconque compréhension ou
connaissance d'HaShem – il appartient à l’homme de s’éloigner
de tout ce qui est nuisible pour le corps, et prendre des
habitudes qui sont bénéfiques pour sa santé et sa vigueur. Ces
[règles d’hygiène de vie] sont :
|
א הוֹאִיל
וַהֲוִיַּת הַגּוּף בָּרִיא וְשָׁלֵם,
מִדַּרְכֵי
ה'
הוּא,
שֶׁהֲרֵי
אֵי אִפְשָׁר שֶׁיָּבִין אוֹ יֵדַע,
וְהוּא
חוֹלֶה--צָרִיךְ
אָדָם לְהַרְחִיק עַצְמוֹ מִדְּבָרִים
הַמְּאַבְּדִין אֶת הַגּוּף,
וּלְהַנְהִיג
עַצְמוֹ בִּדְבָרִים הַמַּבְרִים
הַמַּחֲלִימִים;
וְאֵלּוּ
הֶן
|
2.
Un
homme ne doit manger que lorsqu’il a faim, et boire que
lorsqu’il a soif. Il ne doit pas contenir ses besoins même un
instant, mais doit, dès qu’il a besoin d’uriner ou de
déféquer, le faire immédiatement.
|
ב לְעוֹלָם
לֹא יֹאכַל אָדָם,
אֵלָא
כִּשְׁהוּא רָעֵב;
וְלֹא
יִשְׁתֶּה,
אֵלָא
כִּשְׁהוּא צָמֵא.
וְאַל
יַשְׁהֶה נְקָבָיו,
וְאַפִלּוּ
רֶגַע אֶחָד,
אֵלָא
כָּל זְמָן שֶׁצָּרִיךְ לְהַשְׁתִּין
אוֹ לְהָסֵךְ אֶת רַגְלָיו,
יַעֲמֹד
מִיָּד
|
Ces
propos du Rambam sont repris presque mot pour mot dans le Qisour
Shoulhon
´Oroukh 32:1.
Le
²Ritvo`1
זצ״ל
dit
que l'on ne doit jamais consommer des aliments qui ne sont pas sains
pour le corps. Le Séfar HaHinoukh2
זצ״ל
explique
que l'on ne peut pas se causer du tort et mettre notre vie en danger
parce qu'HaShem nous a accordé une âme pure et Divine qui réside
dans le corps, ce qui fait du corps une entité sacrée. Or, pour
protéger l'âme Divine qui est en nous, nous devons protéger le
corps, qui est le réceptacle de cette âme Divine. Le Ba`ér
Haggôloh3
זצ״ל
dit
qu'HaShem a créé le monde avec bonté dans le seul but de faire du
bien à Ses créatures. Par conséquent, si l'on se met en danger, on
sous-entend par-là que l'on ne veut pas du bien qu'HaShem a désiré
nous donner. Il conclut donc qu'il n'existe pas de plus grand
`Apiqôrés (hérétique) qu'une telle personne !
Le
Tour זצ״ל
dit :
« Il est une Miswoh de se préserver en
s'assurant de rester en bonne santé afin de servir HaShem ».4
- Ce que je mange n'a pas d'importance
De
nombreuses personnes disent que ce qu'elles mangent n'a pas
d'importance, car au final c'est HaShem Lui-même qui décidera
combien d'années elles vont vivre. Par conséquent, puisque tout est
entre les mains d'HaShem, disent-elles, il n'est pas nécessaire de
faire le choix de ne consommer que des aliments sains. Mais c'est une
supposition erronée. Bien que la Gamoro` affirme effectivement qu'il
n'est pas possible de faire mal à sa main sans que cela n'ait été
ordonné à l'avance par HaShem5,
personne ne peut se causer du tort volontairement, même si cela
était la volonté d'HaShem. De la même manière, bien que celui qui
est tombé du toit et est mort à la suite de sa chute était destiné
à mourir de cette façon, si le propriétaire de la maison de
laquelle cette personne est tombée n'avait pas installé de
garde-fou sur son toit, la Tôroh considère qu'il est coupable de la
mort de cette personne. Tout cela est bien résumé par le Midrosh6
qui dit que la maladie et la mort sont dues à 99% à de la
négligence et seulement à 1% par décret des Cieux. Les
commentateurs définissent le terme « négligence »
employé dans ce Midrosh comme se référant par exemple au
fait de ne pas s'habiller chaudement en hiver (ce qui amène à
attraper un rhume), ou encore de ne pas se soucier de sa diète.
Ainsi, les gens ne peuvent pas dire que c'est le Ciel qui leur a fait
attraper le rhume. Ils l'ont attrapé parce qu'ils ont été
négligents ! (Évidemment, HaShem aurait pu faire en sorte
qu'ils n'attrapent pas le rhume. Mais c'est un autre sujet.) La
Gamoro`7
dit également que 99% des gens meurent avant leur temps, et
seulement 1% meurent aux temps où ils étaient destinés à mourir.
Il est donc évident qu'il est possible de mourir avant son temps,
non pas forcément parce que c'est ce que voulait HaShem, mais par
négligence et d'autres facteurs.
Le
Séfar Hasîdîm8
dit qu'un Ba'al Kas (quelqu'un de colérique) n'a pas de vie et
mourra avant son temps, car la colère raccourcit les jours. Là
encore, nous voyons que si une telle personne meurt avant son temps,
ce n'est pas parce qu'HaShem l'a voulu, mais parce que lui-même a
contribué à raccourcir sa vie. De même pour celui qui fume, qui
est un casse-cou, etc.
Le
Hôvôth Hallavovôth9
cite une Gamoro`10
selon quoi il est interdit de se tenir volontairement dans un lieu de
danger et penser qu'un miracle se produira, parce que peut-être que
le miracle ne se produira pas. D'ailleurs, celui qui le fait
transgresse l'interdiction de mettre HaShem à l'épreuve. Et si
jamais un miracle a lieu, cela diminuera drastiquement ses propres
mérites. Ce concept s'applique également à celui qui néglige
volontairement sa santé et ne se soucie pas de ce qu'il mange, sous
prétexte que de toute façon tout est entre les mains d'HaShem.
Le
Ma´avar Yabbôq11
זצ״ל
dit
que celui qui suit ses propres désirs (et consomme donc ce qu'il
veut, même ce qui est nocif pour sa santé) est comparable à
quelqu'un qui commet un suicide. Par conséquent, il aura des comptes
à régler avec HaShem au jour du jugement !
- La digestion et les excès de table
Nous
allons à présent parler de la digestion (étant donné que la
majorité de notre santé dépend d'elle) et des excès de table d'un
point de vue halakhique.
Le
Rambam énonce une règle très importante pour la préservation d'un
corps sain :
Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:19
|
Il
est une autre règle fondamentale pour la santé du corps qu'ils
ont énoncée : tant qu’un homme fait des exercices et
beaucoup d’efforts, et n’est pas rassasié12,
et ses intestins sont relâchés, il n'est pas proie aux maladies,
et sa force s’accroît, même s’il mange de mauvais aliments.
|
וְעוֹד
כְּלָל אַחֵר אָמְרוּ בִּבְרִיאַת
הַגּוּף:
כָּל
זְמָן שֶׁאָדָם מִתְעַמֵּל וְיָגֵעַ
הַרְבֵּה וְאֵינוּ שָׂבֵעַ,
וּמֵעָיו
רָפִים--אֵין
חֹלִי בָּא עָלָיו וְכוֹחוֹ מִתְחַזֵּק,
וְאַפִלּוּ
אָכַל מַאֲכָלוֹת הָרָעִים
|
- La digestion
Une
étude du système digestif amènera automatiquement le croyant à la
Yir`ath Shomayim. Le Rambam13
et d'autres14
disent que la majorité de l'état de santé et des maladies du corps
dépend de la manière que les gens ont de digérer leurs
nourritures. Celui qui le fait de la façon appropriée sera
quelqu'un de sain, tandis que celui qui ne le fait pas comme il faut
sera quelqu'un de faible physiquement et pourrait se mettre en
danger.
Le
Qisour Shoulhon ´Oroukh15
dit que la digestion est bonne si la nourriture est facile à
digérer.16
On doit consommer les aliments légers avant les aliments lourds.17
Un estomac plein ne peut pas digérer correctement la nourriture,
parce qu'il ne peut pas broyer comme il faut la nourriture.18
Le
commencement du processus de digestion prend place dans la bouche,
lorsque les dents broient la nourriture et la mélangent à la
salive. Par conséquent, on ne doit pas avaler la nourriture solide
sans l'avoir d'abord mâchée.19
Il n'y a pas de mixer dans l'estomac, de ce fait le travail de
l'estomac sera beaucoup plus facile si on mâchait correctement sa
nourriture avant de l'avaler. Puisque mâcher est si important, on
doit s'abstenir de parler tout en ayant de la nourriture en bouche.
En plus du danger de s'étouffer, cela empêche de mâcher trop
rapidement. Lire tout en mangeant empêche aussi de mâcher
correctement. On ne doit pas non plus placer de la nourriture dans sa
fourchette tout en mâchant, parce qu'on avalera la nourriture trop
rapidement en voyant la nourriture prête à être consommée dans sa
fourchette.20
Afin
d'aider la digestion, on doit boire un peu tout en mangeant.21
Le début du processus de digestion prend environs deux heures,
lorsque l'estomac produit certaines enzymes qui aident à décomposer
la nourriture. Trop de liquides dilue les enzymes, ce qui rend la
digestion plus difficile.22
On
doit être de bonne humeur et non pas plein de colère, de crainte ou
d'inquiétude lorsqu'on mange.23
- Les excès de table
Il
n'est pas nécessaire de mentionner les études médicales qui ont
été faites sur les excès de table. Le fait est que la majorité
des gens sont en surpoids parce qu'ils mangent trop. Le Rambam dit24
que la majorité des maladies se produisent soit parce que l'on ne
mange pas les bons aliments, soit parce qu'on mange beaucoup trop,
même si l'on mange des aliments sains. L'obésité nuit gravement au
corps : elle le rend léthargique, perturbe son fonctionnement,
et entrave ses mouvements.
Les
effets des excès de table peuvent se comprendre par l'analogie
suivante : si une machine à laver est remplie de vêtements
au-delà de sa capacité normale, les vêtements ne seront pas
correctement lavés. De même, lorsqu'on mange trop notre estomac est
trop rempli et ne peut pas correctement décomposer la nourriture.25
On
doit manger jusqu'à ce que son estomac soit rempli à un quart.27
Le Hofés
Hayîm זצ״ל
dit28
que l'on ne doit manger de bons aliments que par nécessité pour son
bien-être, et non pour le plaisir. On ne devrait manger que pour se
renforcer afin de mieux servir HaShem.
Il
n'est pas permis de manger comme un animal et remplir son estomac, et
il ne convient même pas de réciter un « ´Al Hammihayoh »
après avoir mangé ainsi.29
- Faire de l'exercice physique
Il
existe de nombreuses études non-Israélites sur les bienfaits de
l'exercice physique. Il est très difficile pour quelqu'un qui étudie
toute la journée à la Yashivoh, ou pour un employé de bureau qui
passe toute sa journée devant l'écran d'un ordinateur, de marcher
et faire de l'exercice. Et pourtant, les médecins sont d'accord sur
le fait que l'outil principal pour prévenir les maladies est
l'exercice physique.
Ya´aqôv
`Ovinou ע״ה,
qui lui aussi était assis et étudiait toute la journée dans les
tentes de sa mère30,
fut néanmoins capable de se battre contre un ange et de l'emporter.31
En outre, il fut capable de retirer à lui tout seul une énorme
pierre qui bouchait l'ouverture d'un puits.32
Les
jeunes Israélites des temps bibliques servaient dans l'armée à
l'âge de vingt ans.33
Certaines personnes étaient expertes dans le lancer de pierres.34
Et nous avons d'autres versets du TaNaKh qui traitent de certains
exercices physiques et de leur valeur35,
ainsi que des passages talmudiques qui parlent de natation, de l'art
de manier l'épée, etc.36
- Courir
Dans
les temps bibliques, courir était considéré comme une activité
physique très importante, et l'un des critères pour pouvoir être
admis dans l'armée israélite.37
Un homme de la tribu de Binyomin fut capable de courir sur la longue
distance séparant Afeq de Shîloh en une journée afin d'informer le
Kohen d'une nouvelle importante.38
Dans
les temps talmudiques, courir était considéré comme une forme
d'exercice physique, mais également à des fins profanes. Il était
important de savoir courir, vite et pour de longues distances si
possible. C'était une activité tellement valorisée que les Sages
ont permis de courir à Shabboth si c'est afin d'exercer son corps.39
Par contre, courir à Shabboth pour une raison autre que faire de
l'exercice n'est pas permis.40
- Marcher
Marcher
pour exercer son corps est une pratique israélite qui remonte aux
temps les plus lointains. On marchait tellement pour faire de
l'exercice physique que l'homme moyen des temps talmudiques était
capable de parcourir à pied 10 parso`'ôth en une seule journée.41
Marcher et se promener à Shabboth est permis, parce que cela fait
partie du plaisir du Shabboth.42
- S'exercer jusqu'à transpirer
Comme
cela a été mentionné plus haut, le Rambam dit43
que si on fait régulièrement des exercices physiques (et qu'on
s'habitue à ne pas remplir son estomac), on ne tombera pas malade et
notre force augmentera même lorsqu'on mangera, à l'occasion, de
mauvais aliments. Il écrit que celui qui est oisif et ne fait pas de
sport ou d'exercice sera malade toute sa vie, même s'il mange de
bons aliments. Le Rambam définit « faire de l'exercice »
comme étant des mouvements physiques qui altèrent la respiration,
ce qui résulte en une respiration plus profonde et à une
accélération des battements du cœur plus que d'habitude.
Ce
serait magnifique si chaque Yashivoh était dotée d'une salle dans
laquelle les garçons pourraient faire de l'exercice physique, ou
même se rendre dans une salle de sport pour jouer au ballon, ou
faire du tapis roulant. Cela ne les aiderait pas qu'au niveau de leur
santé (il y a un surpoids terrible au sein de la communauté
religieuse), mais également dans leurs études.
- Faire de l'exercice avant de manger
La
meilleure chose à faire avant de manger consiste à faire un peu
d'exercice physique. Le Rambam écrit qu'il convient de marcher
suffisamment longtemps que pour que le corps se réchauffe, ou
s'adonner à un travail ou tout autre effort semblable avant de
manger.44
On trouve une allusion à cela dans le verset suivant45 :
בְּזֵעַת
אַפֶּיךָ,
תֹּאכַל
לֶחֶם « À
la sueur de ton front tu mangeras ton pain »,
c'est-à-dire, « Transpire d'abord, et seulement
alors mange ! ».
- Manger avant de faire de l'exercice physique
Par
contre, il ne convient pas de manger avant de faire de l'exercice
physique46,
parce que la nourriture ne sera pas digérée correctement. On doit
attendre deux heures avant de faire de l'exercice après un repas. La
même règle s'applique lorsqu'on compte dormir après avoir mangé.47
- Conclusion
Nous
avons présentés de nombreuses sources halakhiques sur l'importance
et la façon de maintenir sa santé. On ne doit pas prendre ce sujet
à la légère. On a l'obligation de faire tout ce que l'on peut afin
de jouir d'une vie longue et saine dans ce Monde-ci.
Bien
que bon nombre d'entre nous sommes assis derrière un bureau toute la
journée ou étudions dans une chaise toute la journée, on doit
néanmoins trouver du temps pour faire de l'exercice physique.
1Sur
Shovou´ôth 27a
2Miswoh
n°73
3Hôshèn
Mishpot 427:10
4`Ôrah
Hayîm 155
5Houllîn
7b
6Wayyiqro`
Rabboh 16:8
7Bavo`
Mési´o` 107b
8145
9Sha'ar
Habbitahôn 4
10Shabboth
32a
11Qorban
Ta´anith 5, page 3
12C'est-à-dire,
qu'il ne mange pas jusqu'à se remplir.
13Dans
la suite de la Halokhoh susmentionnée.
14Voir
Qisour Shoulhon ´Oroukh
32:2
1532:3
16Le
poulet est plus facile à digérer que la viande (Qisour
Shoulhon ´Oroukh 32:8).
17Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:9
18Qisour
Shoulhon ´Oroukh 32:3
19Qisour
Shoulhon ´Oroukh 32:13
20Hayîm
Bariyim KaHalokhoh, pages 101-102
21Qisour
Shoulhon ´Oroukh 32:17
22Hayîm
Bariyim KaHalokhoh, pages 108-110
23Qisour
Shoulhon ´Oroukh 32:22
24Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:20
25Hayîm
Bariyim KaHalokhoh, pages 116-117
26Commentaires
sur la Mishnoh de `Ovôth
2:12
27Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:3.
Egalement rapporté dans le Kaf HaHayîm, Yôréh
Dé´oh 116:69, ou
encore dans Shamirath Haggouf Wahannèfèsh 26, note de
bas de page 1.
28Mishnoh
Barouroh 170:45
29Elyâh
Rabboh 170:23 ; Mishbetsoth Zâhâv 170:10 ; Kaf HaHayîm
72. Cela s'applique également au Shabboth et à Yom Tov
(Shamirath Haggouf Wahannèfèsh 26, note de bas de page 3).
30Baré`shith
25:27
31Ibid.,
32:36
32Ibid.,
29:10
33Bamidbor
1:4
34Shôftim
20:16
35Zakharyoh
12:3 ; Qôhalath 5:11 ; Tahilim 24:8 ; 2 Shamou`él
1:18 ; 2 Shamou`él 2:15
36Voir
par exemple, Shabboth 92a, Nadorim 28a, Kathoubbôth 111a,
etc.
371
Shamou`él 22:17 ; 2 Divréi Hayyomim 12:11 ; 2 Malokhim
11:13
38Il
y a d'autres cas où l'on met en avant l'acte de courir dans le
TaNaKh : 2 Shamou`él 18:14, 19 ; 1 Malokhim 1:5,
14:27-28.
39Tôsafto`
Shabboth 17:16. Voir aussi Niddoh 24b dans le Talmoud
Bavlî. Néanmoins, le Shoulhon ´Oroukh interdit de faire de
l'exercice à Shabboth au point de transpirer (`Ôrah
Hayîm 328:42 ; voir aussi Mishnoh
Barouroh 42).
40Shoulhon
´Oroukh, `Ôrah Hayîm
301:2
41Pésahim
93b dans le Talmoud Bavlî, et Barokhôth 1:1 dans
le Talmoud Yarousholmi.
Une parso`' vaut entre 3,84 et 4,6 km. 10 parso`'oth valent donc
entre 38,4 et 46 km.
42Tôsafto`
Pé`oh 4:10 ; Tôsafto` Shabboth 16:17 ; Ramo` `Ôrah
Hayîm 301:2
43Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:19
44Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:4
45Baré`shith
3:19
46Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:5
47Mishnéh
Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:7 ; Qisour Shoulhon
´Oroukh 32:6 ; Hayîm Bariyim KaHalokhoh pages 107-108