mardi 29 mars 2016

Le récit de la création de l'homme et de la femme vu par le Ramba''m I

ב״ה

Le récit de la création de l'homme et de la femme vu par le Ramba''m

Première Partie


Cet article peut être téléchargé ici.

Lorsqu'on lit dans la Tôroh le récit de la création de l'homme et de la femme, nous ne pouvons qu'admettre le fait que le texte est « difficile » à comprendre. Nous savons que HaZa''l et les Ri`shônim ont enseigné que les deux premiers chapitres de Baré`shith étaient imagés. La difficulté consiste à comprendre les messages cachés derrière ces images. Et une façon d'y parvenir, et qui est sans aucun doute la meilleure, consiste à se pencher sur ce que le maître de l'école rationaliste du Judaïsme a écrit sur le sujet. Nous voulons évidemment parler du Ramba''m ז״ל.

Il existe deux endroits dans le Môréh Navoukhim où le Ramba''m traite du récit de la création de l'homme et de la femme, ainsi que leurs « aventures » dans le Gan ´édhan (Jardin d’Éden). La toute première fois est au chapitre 2 du premier volume, où il écrit :

Un homme de science m'a fait, il y a déjà plusieurs années, une objection remarquable qui mérite considération, ainsi que la réponse que nous avons faite pour la détruire. Mais avant de rapporter l'objection et la manière de la détruire, voici ce que j'ai à dire. Tout Hébreu sait que le nom de `alôhim (אֱלֹהִים) est homonyme, s'appliquant à Dieu, aux anges et aux gouvernants régissant les états. Déjà `ônqalôs, le prosélyte, a expliqué (et son explication est vraie) que par les mots : וִהְיִיתֶם, כֵּאלֹהִים, יֹדְעֵי, טוֹב וָרָע « et vous serez comme des `alôhim connaissant le bien et le mal »1, on a eu en vue le dernier sens ; car il dit (dans sa traduction chaldaïque) : וּתְהוֹן, כְּרַבְרְבִין « et vous serez comme les grands personnages ». Après cette observation préliminaire sur l'homonymie de ce nom2, nous allons rapporter l'objection.

Il paraîtrait, d'après le sens littéral du texte, disait l'auteur de l'objection, que l'intention primitive dans [la création de] l'homme était qu'il fût comme le reste des animaux, sans intelligence et sans réflexion, et sans savoir distinguer entre le bien et le mal ; mais que, ayant désobéi, sa désobéissance lui mérita cette grande perfection particulière à l'homme, c'est-à-dire de posséder ce discernement qui est en nous, qui est la chose la plus noble de notre existence et qui constitue notre substance. Mais c'est là une chose étonnante que sa punition pour sa désobéissance ait été de lui donner une perfection qu'il n'avait pas eue, savoir, l'intelligence. C'est absolument comme l'assertion de ceux qui ont dit qu'un certain homme, après avoir désobéi [à Dieu] et commis des excès d'injustice, fut transformé et placé comme astre au ciel.3

La personne qui avait interrogea le Ramba''m lui avait posé la question suivante : Avant le péché, l'homme ne connaissait pas le bien et le mal, et était donc certainement comme un animal en ce qu'il n'était pas doté d'un développement intellectuel. Après le péché, l'homme connut le bien et le mal, se développa donc intellectuellement et se démarqua ainsi d'un animal, tout en devenant plus comme Dieu. Comment l'homme peut-il, par conséquent, avoir possédé l'image de Dieu avant le péché ? Et de quelle façon fut-il puni ?

Tel était le but et la pensée de l'objection, quoiqu'elle ne fut pas [présentée] dans les mêmes termes. Écoute maintenant de quelle manière nous y avons répondu.

Ô toi, disions-nous, qui examines [les choses] avec un esprit superficiel et irréfléchi, et qui crois comprendre un livre, guide des anciens et des modernes, en le parcourant dans quelques moments de loisir [dérobés aux plaisirs] de la boisson et de la cohabitation, comme on parcourrait quelque livre d'histoire ou quelque poème ! Arrête-toi et examine ; car la chose n'est pas telle que tu la croyais au premier abord, mais telle qu'elle se manifestera quand on aura considéré ce que je vais dire. La raison que Dieu a fait émaner sur l'homme, et qui constitue sa perfection finale, est celle que `odhom possédait avant sa désobéissance ; c'est pour elle qu'il a été dit de lui qu'il était [fait] à l'image de Dieu et à sa ressemblance.

Au chapitre 1 du premier volume du Môréh Navoukhim, le Ramba''m avait expliqué que תּוֹאַר « Tô`ar » est le terme hébraïque par lequel on désigne l'apparence physique, tandis que צֶלֶם « Salam » se réfère à l'essence. L'expression צֶלֶם אֱלֹהִים « Salam `alôhim – image de Dieu » décrit donc la faculté rationnelle de l'être humain. (Voir l'article intitulé « Faisons l'homme à notre image ! ».) Et l'homme en fut sans aucun doute doté dès l'origine.

Et c'est à cause d'elle que la parole lui fut adressée et qu'il reçut des ordres, comme dit [l’Écriture] : וַיְצַו ה׳ אֱלֹהִים « Et HaShem Dieu ordonna, etc. »4, car on ne peut pas donner d'ordres aux animaux ni à celui qui n'a pas de raison. Par la raison on distingue entre le vrai et le faux, et cette faculté il [`odhom] la possédait parfaitement et complètement.

Le Ramba''m répond qu'il existe une différence entre connaître le bien et le mal et connaître le vrai et le faux. Bien que l'homme, avant le péché, ne pouvait distinguer entre le bien et le mal, il possédait néanmoins un intellect et de fait était qualitativement différent d'un animal. La preuve de cela est qu'il était capable de recevoir un ordre. On ne peut donner d'ordres à un animal. On ne peut que dresser un animal, c'est-à-dire développer en lui, au moyen de récompenses et de punitions, le comportement qu'on aimerait qu'il adopte.

Mais le laid et le beau existent dans les [choses des] opinions probables, et dans les choses intelligibles ; car on ne dit pas que cette proposition : le ciel est sphérique, soit beau, ni que cette autre : la terre est plane, soit laide ; mais on appelle l'une vraie et l'autre fausse. Ainsi, dans notre langue on emploie [en parlant] du vrai et du faux [les mots] אֱמֶת « `amath » et שֶׁקֶר « Shaqar », et pour beau et laid [on dit] טוֹב « Tôv » et רַע « Ra´ ». Par la raison donc l'homme distingue le vrai du faux, et ce »ci a lieu dans toutes les choses intelligibles.

Dans le système du Ramba''lm (basé sur Aristote, et non Platon), il existe quatre types de connaissance :

  1. La connaissance rationnelle (מוּשְׂכָּלוֹת « Mouskolôth »)

Cette connaissance est objective et immuable ; elle se rapporte à la vérité et au mensonge et est entièrement indépendante de l'homme. Les lois de la nature tombent dans cette catégorie.

  1. La connaissance sensorielle (מוּחֲשׁוֹת « Mouhashôth »)

Les mains de quelqu'un peuvent sentir la chaleur ; c'est la connaissance sensorielle.

  1. La connaissance acquise via une tradition (מְקוּבָּלוֹת « Maqoubbolôth »)

Un exemple de cela serait les informations que nous avons acquises par la Tôroh.

  1. Les conventions acceptées (מְפוּרְסָמוֹת « Mafoursomôth »)

Ce sont des normes éthiques universellement comprises, établies par le consentement commun, comme par exemple les faits que tuer et voler soient mauvais. Ces connaissances diffèrent de celles des Maqoubbolôth en ce qu'elles ont un sens inhérent qui leur est attaché et qu'elles se retrouvent à travers différentes cultures, quoiqu'avec quelques variations. Mais elles ne sont pas liées à l'intellect et ne dépendent pas du vrai ou du faux ; voler n'est pas « faux ». Le Judaïsme est également un système de Mafoursomôth, quoique d'une nature supérieure en raison de son origine Divine. Ainsi, au niveau des lois religieuses il n'y a pas de vrai ou de faux, mais seulement du bien et du mal. C'est par l'éducation et l'habitude que l'on renforce cette connaissance, tout comme lorsqu'on dresse un animal.

Lors donc qu'il [`odhom] était encore dans son état le plus parfait et le plus complet, n'ayant que sa nature primitive et ses notions intelligibles, à cause desquelles il a été dit de lui : וַתְּחַסְּרֵהוּ מְּעַט, מֵאֱלֹהִים « Et Tu l'as placé peu au dessous des êtres divins »5, il n'y avait en lui aucune faculté qui s'appliquait aux opinions probables d'une manière quelconque, et il ne les comprenait même pas ; de telle sorte que ce qu'il y a de plus manifestement laid par rapport aux opinions probables, c'est-à-dire de découvrir les parties honteuses, n'était point laid pour lui, et il n'en comprenait même pas la laideur. Mais lorsque, désobéissant, il pencha vers ses désirs venant de l'imaginatif et vers les plaisirs corporels de ses sens, comme dit [l’Écriture] : כִּי טוֹב הָעֵץ לְמַאֲכָל וְכִי תַאֲוָה-הוּא לָעֵינַיִם « ...que l'arbre était bon pour en manger et qu'il était un plaisir pour les yeux »6, il fut puni par la privation de cette compréhension intellectuelle ; c'est pourquoi il transgressa7 l'ordre qui lui avait été donné à cause de sa raison, et, ayant obtenu la connaissance des opinions probables, il fut absorbé par ce qu'il devait trouver laid ou beau, et il connut alors ce que valait la chose qui lui avait échappé et dont il avait été dépouillé, et dans quel état il était tombé.

Le questionneur avait donc tort de penser que ne pas connaître le bien et le mal est une déficience. Cela marque plutôt un avantage. Être nu n'est pas « faux », il n'y a de ce fait aucun mal à l'être. L'homme fut créé comme un être préoccupé par la vie de l'intellect, sans passions, et de ce fait sans besoin ou intérêt pour les Mafoursomôth.

Mais c'est là que l'homme pécha, ce que le Ramba''m décrit comme le fait d'avoir couru après ce qui paraissait beau à l’œil, c'est-à-dire que le péché commença bien avant qu'il ne mange. L'homme n'est pas qu'une pure intelligence ; il a aussi un corps physique et il peut choisir la sorte d'existence qu'il désire. L'homme s'est éloigné des évaluations absolues de l'intellect et passa à une existence de désirs et passions subjectifs. Avant le péché, l'homme n'avait pas besoin de stimulants ou stupéfiants ; quel aurait pu être son besoin de se donner du plaisir ? Mais comme conséquence de sa chute, il eût besoin de règles de conduite.

C'est pourquoi il a été dit : וִהְיִיתֶם, כֵּאלֹהִים, יֹדְעֵי, טוֹב וָרָע « et vous serez comme des `alôhim connaissant le bien et le mal »8, et on n'a pas dit : « connaissant le faux et le vrai », ou : « comprenant le faux et le vrai » ; tandis que dans le [domaine du] nécessaire9 il n'y a pas du tout de bien nu de mal, mais du faux et du vrai.

C'est ici le point central, mais il y a de nombreux enseignements profonds à en retirer. Le questionneur comprenait la Tôroh comme voulant dire que le serpent dit à Hawwoh ע״ה qu'elle deviendrait comme Dieu, connaissant le bien et le mal. Mais d'après le Ramba''m, ce n'est pas exact. Dieu ne connait pas le bien et le mal (puisqu'il n'a aucun désir, ni passion) ; Il ne connait que le vrai et le faux. Et d'après le Ramba''m, le serpent ne dit pas à Hawwoh qu'elle deviendrait comme Dieu ; et effectivement, le serpent ne dit pas « tu seras comme Lui », mais lui dit plutôt qu'elle sera comme `alôhim. Et si nous retournons au commentaire d'introduction que fait le Ramba''m au début de ce chapitre, nous voyons qu'il préparait en fait le terrain pour cet argument :

Mais avant de rapporter l'objection et la manière de la détruire, voici ce que j'ai à dire. Tout Hébreu sait que le nom de `alôhim (אֱלֹהִים) est homonyme, s'appliquant à Dieu, aux anges et aux gouvernants régissant les états. Déjà `ônqalôs, le prosélyte, a expliqué (et son explication est vraie) que par les mots : וִהְיִיתֶם, כֵּאלֹהִים, יֹדְעֵי, טוֹב וָרָע « et vous serez comme des `alôhim connaissant le bien et le mal »10, on a eu en vue le dernier sens ; car il dit (dans sa traduction chaldaïque) : וּתְהוֹן, כְּרַבְרְבִין « et vous serez comme les grands personnages ». Après cette observation préliminaire sur l'homonymie de ce nom11, nous allons rapporter l'objection.

Par conséquent, ce verset ne déclare pas que l'homme deviendra comme Dieu. Mais qu'en est-il alors de Baré`shith 3:22, où Dieu déclare que : הֵן הָאָדָם הָיָה כְּאַחַד מִמֶּנּוּ, לָדַעַת, טוֹב וָרָע « Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous, connaissant le bien et le mal » ? Le Ramba''m12, se basant se basant sur le Targoum `ônqalôs, explique différemment ce verset. Il le lit ainsi : הֵן הָאָדָם הָיָה כְּאַחַד « Voici que l'homme est devenu comme un », c'est-à-dire unique, en ce que מִמֶּנּוּ, לָדַעַת, טוֹב וָרָע « de lui-même, il y a une connaissance du bien et du mal », c'est-à-dire que de lui-même l'homme a commencé à façonner des définitions relatives aux Mafoursomôth, les normes morales. (Nous ne devrons jamais oublier qu'il n'existe pas de ponctuation dans la Langue Sainte. Par conséquent, un verset peut se lire de différentes façons, selon l'endroit où on décide de couper la phrase.)

Ainsi, lorsque le serpent dit que « et vous serez comme `alôhim », cela signifie que l'homme deviendra comme les dirigeants puissants qui usent de conventions pour établir des nombres comportementales en réponse aux pulsions de la passion humaine, qui est elle-même causée par la faculté imaginative de l'homme. Du point de vue de Dieu, c'est la mort ; mais du point de vue du serpent, c'est une vie passionnante.

Considère aussi ces paroles : וַתִּפָּקַחְנָה, עֵינֵי שְׁנֵיהֶם, וַיֵּדְעוּ, כִּי עֵירֻמִּם הֵם « Et les yeux de tous les deux s'ouvrirent et ils RECONNURENT qu'ils étaient nus ».13 On ne dit pas : « Et les yeux de tous les deux s'ouvrirent et ils virent » ; car ce que [l'homme] avait vu auparavant, il le voyait aussi après. Ce n'est pas qu'il y ait sur l’œil un voile qui [ensuite] ait été enlevé ; mais il lui survint un autre état dans lequel il trouvait laid ce qu'il n'avait pas trouvé laid auparavant. Sache que ce mot, je veux dire פקח, ne s'emploie absolument que dans le sens de : ouvrir la vue morale [et ne se dit] pas de la renaissance du sens de la vue ; par exemple : וַיִּפְקַח אֱלֹהִים אֶת-עֵינֶיהָ « Et Dieu lui ouvrit les yeux »14 ; אָז תִּפָּקַחְנָה, עֵינֵי עִוְרִים « Alors les yeux des aveugles s'ouvriront »15 ; פָּקוֹחַ אָזְנַיִם, וְלֹא יִשְׁמָע « Les oreilles ouvertes ils n'entendent pas »16, ce qui ressemble à ces mots : אֲשֶׁר עֵינַיִם לָהֶם לִרְאוֹת וְלֹא רָאוּ « Ceux qui ont des yeux pour voir et ne voient pas »17.

Quant à ce qui est dit de `odhom : מְשַׁנֶּה פָנָיו, וַתְּשַׁלְּחֵהוּ « Quand il changea de face Tu le renvoyas »1819, il faut l'interpréter et commenter ainsi : « Lorsqu'il changea de direction il fut expulsé » ; car פָּנִים [face, visage] est un nom dérivé de פנה [se tourner], parce que l'homme se dirige avec son visage vers la chose qu'il veut atteindre. On dit donc : Quand il eut changé de direction et qu'il se fut dirigé vers la chose vers laquelle il lui avait été défendu précédemment de se diriger, il fut expulsé du Gan ´édhan. Et ce fut là un châtiment pareil à sa désobéissance, mesure pour mesure20 ; car il lui avait été permis de manger des choses agréables et de se délecter dans le repos et la tranquillité ; mais étant devenu avide, ayant suivi ses plaisirs et son imaginatif, comme nous l'avons dit, et ayant mangé ce qu'il lui avait été défendu de manger, il fut privé de tout et forcé de manger ce qu'il y avait de plus vil en fait d'aliments et ce qui ne lui avait pas servi de nourriture auparavant, [et cela encore] à force de peine et de fatigue, comme dit [l’Écriture] : וְקוֹץ וְדַרְדַּר, תַּצְמִיחַ לָךְ...בְּזֵעַת אַפֶּיךָ « Elle te fera pousser des ronces et des épines, etc., à la sueur de ton front, etc. »21, et ensuite on dit clairement : וַיְשַׁלְּחֵהוּ יהוה אֱלֹהִים, מִגַּן-עֵדֶן--לַעֲבֹד, אֶת-הָאֲדָמָה « Et HaShem Dieu le renvoya du Gan ´édhan pour cultiver la terre »22. Et Il l'assimila aux animaux dans sa nourriture et dans la plupart des circonstances, comme dit [l’Écriture] : וְאָכַלְתָּ, אֶת-עֵשֶׂב הַשָּׂדֶה « Et tu mangeras l'herbe du champ »23. Et comme pour expliquer ce passage [le psalmiste] a dit : וְאָדָם בִּיקָר, בַּל-יָלִין; נִמְשַׁל כַּבְּהֵמוֹת נִדְמוּ « L'homme ne restera pas dans sa dignité, et il fut assimilé aux bêtes muettes »24. Louange au Maître de cette volonté dont on ne saurait comprendre le dernier terme et la sagesse !

Dans la deuxième partie, nous traiterons du deuxième endroit du Môréh Navoukhim où le Ramba''m traite avec de plus amples détails du récit rapporté dans les premiers chapitres de Baré`shith concernant `odhom ע״ה, Hawwoh et le serpent.

1Baré`shith 3:5
2Sur laquelle nous reviendrons plus tard
3Le Ramba''m fait allusion à une fable racontée par certains Orientaux, selon qui Nimrôdh se révolta contre Dieu et fit construire la Tour de Babel, et qu'ils disent avoir été placé au ciel en l'identifiant avec la constellation du Géant ou de l'Orion
4Ibid., 2:16
5Tahillim 8:6
6Baré`shith 3:6
7C'est-à-dire : il manifesta sa désobéissance par un acte
8Ibid., 3:5
9C'est-à-dire dans ce qui est du domaine de l'intelligence et nécessairement vrai en soi-même. Le Ramba''m veut dire que l'intelligence pure n'a à s'occuper que du vrai et du faux. Le bien et le mal sont du domaine de l'opinion probable
10Baré`shith 3:5
11Sur laquelle nous reviendrons plus tard
12Shamônah Paraqim Chapitre 8
13Baré`shith 3:7
14Ibid., 21:19
15Yasha´yohou 35:5
16Ibid., 45:20
17Yahazqé`l 12:2
18`iyôv 14:20
19Nos Sages de mémoire bénie appliquent ce verset à `odhom : Dieu avait d'abord doué `odhom d'une force immortelle ; mais ayant négligé l'avis de Dieu et suivi celui du serpent, il fut expulsé du Gan ´édhan
20C'est-à-dire le châtiment était entièrement conforme au péché commis
21Baré`shith 3:18-19
22Ibid., verset 23
23Ibid., verset 18

24Tahillim 45:13
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