בס״ד
Du
fanatisme idolâtre
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Nous
lisons ceci dans la Tôroh1 :
ונשב
בגיא,
מול
בית פעור « et
nous demeurâmes dans la vallée, vis-à-vis de Béth Pa´ôr ».
Môshah Rabbénou ע״ה
rappelle
aux Israélites comment est-ce qu'ils campèrent en face de
l’idolâtre Ba´al Pa´ôr. Mais on se demande quelle est
l'importance de ce rappel. Le verset juste après introduit alors un
sujet qui n'a, à première vue, aucun rapport, à savoir
l'interdiction d'ajouter et retirer quoi que ce soit à la Tôroh :
Davorim
4:1-2
|
À présent, ô
Yisro`él, écoute les décrets et les jugements que je vous
enseigne pour [les] accomplir, afin que vous viviez, arriviez et
possédiez le pays que `Adhônoy, Dieu de vos pères, vous donne.
N'ajoutez rien à la parole que je vous commande et n'en retirez
rien, afin de garder les commandements de `Adhônoy, votre Dieu,
que je vous ordonne.
|
ועתה
ישראל,
שמע
אל-החקים
ואל-המשפטים,
אשר
אנכי מלמד אתכם,
לעשות--למען
תחיו,
ובאתם
וירשתם את-הארץ,
אשר
יהוה אלהי אבתיכם,
נתן
לכם.
לא
תספו,
על-הדבר
אשר אנכי מצוה אתכם,
ולא
תגרעו,
ממנו--לשמר,
את-מצות
יהוה אלהיכם,
אשר
אנכי,
מצוה
אתכם
|
Les
Ba´alé Tôsofôth זצ״ל
commentent
ces versets, et citent par exemple qu'il est interdit de porter cinq
Sisith
au lieu de quatre, ou encore de créer cinq espèces pour le Loulov
au lieu de quatre. De même, on ne doit pas ajouter un troisième
Karouv (Chérubin) sur le `Arôn Qôdhash, ou une troisième boîte
de Tafillin. De l'autre côté, il est également interdit de retirer
à une quelconque Miswoh
de la Tôroh.
Ce
qui attire notre attention, c'est que le verset qui vient juste
après, à savoir le verset 3, nous dit ceci :
Vos yeux ont
vu ce que `Adhônoy a fait à Ba´al Pa´ôr ; car tout homme
qui était allé derrière Ba´al Pa´ôr, `Adhônoy, ton Dieu,
l'a détruit du milieu de toi.
|
עיניכם,
הראות,
את
אשר-עשה
יהוה,
בבעל
פעור:
כי
כל-האיש,
אשר
הלך אחרי בעל-פעור--השמידו
יהוה אלהיך,
מקרבך
|
Nous
avons donc commencé par le fait que les Israélites avaient campé
en face de l’idolâtre Ba´al Pa´ôr, puis nous avons poursuivi
par l'interdiction d'ajouter et retirer quoi que ce soit à la Tôroh,
et nous avons fini par reparler de Ba´al Pa´ôr. Pourquoi Môshah
Rabbénou revient-t-il sur Ba´al Pa´ôr ? N'aurait-il pas dû
terminer de discuter de tout ce qui concernait Ba´al Pa´ôr, clore
ce sujet, et seulement ensuite commencer un nouveau sujet comme il
l'a fait en introduisant les interdictions d'ajouter et retirer à la
Tôroh ? Mais pourquoi les sujets relatifs à Ba´al Pa´ôr
sont interrompus par les interdictions d'ajouter et retirer à la
Tôroh ? Quel lien y a-t-il entre l’idolâtrie et le fait
d'altérer le nombre des Miswôth ?
Si
nous cherchons à expliquer le lien entre l’idolâtrie et
l'altération des Miswôth,
nous devons d'abord identifier leur dénominateur commun. Qui a-t-il
de commun entre les deux ? Commençons par le plus simple.
Quelle est l'erreur principale que commet l'être humain qui s'adonne
à l’idolâtrie ?
L’idolâtrie
est une tentative humaine de se rendre religieux, mais aux moyens de
pratiques inventées. Cela signifie que l'être humain recherche une
expérience religieuse, mais il le fait en inventant de nouvelles
méthodes ou pratiques sans fondement. Qu'est-ce qui motive un être
humain à inventer de nouvelles expressions religieuses, plutôt que
suivre ce qu'HaShem ית׳
a
prescrit dans la Tôroh ? Il n'y a qu'une seule réponse :
ses émotions ! Cela ne peut pas être intellectuel, car
l'intellect lui dit qu'il est stupide d'accorder des pouvoirs à des
pierres et des idoles en bois. Et l'homme ne possède que deux
facultés : son intellect (la raison) et ses émotions (ses
sens).
Quant
à celui qui ajoute ou soustrait à la Tôroh, il est comparable à
un idolâtre étant donné que lui aussi recherche des expressions
religieuses (accomplir les Miswôth)
mais a un besoin émotionnel de les rendre conformes à ses plaisirs
et déplaisirs. Les deux individus ont des émotions qui combattent
les commandements de la Tôroh. Mais au lieu de se changer eux-mêmes,
ils changent la Tôroh. Le crime dans les deux cas est le fait
d'estimer que SON
mode d'expression fabriquée de toute pièce est justifié, car il a
ressenti ceci ou cela.
Môshah
Rabbénou nous enseigne qu'ajouter ou soustraire à la Tôroh est une
corruption très grave, sur le même pied d'égalité que
l’idolâtrie, et c'est précisément pour cela qu'il a inséré
cette interdiction en plein milieu de son discours sur Ba´al Pa´ôr.
Altérer la Tôroh, même au nom du Judaïsme religieux, est un acte
d'une perversion similaire à l’idolâtrie. Môshah Rabbénou
l'enseigne en mentionnant l'interdiction d'ajouter et soustraire à
la Tôroh dans le contexte de sa discussion sur Ba´al Pa´ôr. En
fait, il n'a pas opérer une interruption au sujet de Ba´al
Pa´ôr...il n'a pas cessé de parler de l’idolâtrie, car
lorsqu'il mentionne l'interdiction d'ajouter et soustraire à la
Tôroh, cela concerne encore le sujet de l’idolâtrie.
Pour
le dire autrement : la corruption principale qu'il y a dans
l’idolâtrie est le fait que l'être humain accepte son imagination
au lieu d'accepter ce qui est vrai, réel et démontré. Il est
psychotique, c'est-à-dire, déconnecté de la réalité. Ce défaut
se retrouve également chez celui qui change les commandements
d'HaShem, peu importe les motivations qui l'animent lorsqu'il le
fait. Lui aussi accepte ses propres sentiments plutôt que la réalité
(les paroles d'HaShem).
Ajoutons-nous
et soustrayons-nous à la Tôroh aujourd'hui au nom du Judaïsme ?
Certains pourraient être étonnés, mais la réponse est « oui ! ».
Dans les Prophètes, il est écrit ceci2 :
והיה,
ביום
זבח יהוה,
ופקדתי
על-השרים,
ועל-בני
המלך--ועל
כל-הלבשים,
מלבוש
נכרי
« Il
arrivera qu'au jour du festin de `Adhônoy, Je visiterai les princes
et les fils du roi et quiconque se revêt d'un vêtement étranger ».
Le Rada''q
זצ״ל
citent
plusieurs opinions sur la raison pour laquelle HaShem punira tous les
Israélites qui portent « un vêtement étranger ». La
dernière opinion qu'il rapporte est celle selon quoi le péché de
ces Israélites est qu' « ils
s'habillent de telle sorte à paraître plus justes que les autres
Israélites ».
C'est l'interprétation de « vêtement étranger »,
c'est-à-dire, étranger par rapport au fait que les Israélites ne
se sont jamais habillés ainsi et qu'à cause de leur style
vestimentaire qu'ils ont adopté pour paraître plus saints, pieux et
justes, ils se distinguent. Le Rada''q considère cela comme un acte
« mauvais ». Tout comme le prophète.
Ces
Juifs tentent de faire de leur piété un spectacle. Leur orgueil les
a forcé à rechercher les applaudissements et l'admiration de leurs
coreligionnaires, et c'est pourquoi ils ont changé le mode
d'habillement des Juifs et ont adopté des tenues qui sont depuis
lors considérées comme « plus pieuses ». Mais en
vérité, un vêtement ne peut pas être pieux ; seuls les gens
doivent l'être. La façon dont nous nous habillons n'a aucune
importance, pourvu que nous soyons pudique et modestes. Il n'y a
aucune loi dans la Tôroh sur le code vestimentaire à avoir, à
moins d'être un Kôhén du temps du Béth Hammiqdhosh. Par
conséquent, n'est-ce pas mal et interdit d' « ajouter »
à la Tôroh en s'habillant et contraignant les gens à s'habiller
d'une façon spécifique au nom de la piété juive ? Ne
transgressons-nous pas là les propres paroles de Môshah Rabbénou ?
HaShem n'est-Il pas plus savant que nous ? Étant donné qu'Il
ne nous a pas ordonné ou imposé un style vestimentaire, tout comme
HaZa''l
d'ailleurs, nous ne devons pas utiliser les vêtements comme le moyen
d'une expression religieuse. Cela équivaut à la corruption de
l’idolâtrie, car nous ajoutons à ce qu'HaShem nous a ordonné.
Certains
pourraient répondre sur la défensive que nous n' « ajoutons »
pas, puisque personne ne dit que c'est une « Miswoh »
de s'habiller d'une certaine façon. Les gens qui répondent cela
sont déconnectés de la réalité. J'invite tous ceux qui tiennent
un tel discours et sont très religieux à sortir de chez eux la tête
découverte, sans Kippoh, Yarmoulko` ou Qappele (peu importe le terme
que vous employez), et se promener ainsi devant d'autres Juifs qu'ils
ont l'habitude de fréquenter. Quelle sera la réaction ? « Tu
es fou ? » « Es-tu devenu frei ? », « Tu
as abandonné la Tôroh ? », « Ne sais-tu pas qu'il
est interdit
de marcher la tête découverte ? ». Qui a dit qu'il est
interdit
de marcher la tête découverte ? Où cela est-il dit dans la
Tôroh et le Talmoudh ? Vous voyez, on a érigé au rang de
« Miswoh »
le fait de sortir la tête couverte. Idem avec le fait de sortir avec des Sisith. Et en cela, on a ajouté à la
Tôroh, au point que tout Juif pourtant religieux qui sortirait sans
couvre-chef ou Sisith sera automatiquement taxé de « frei », alors que HaZa''l disent que ce ne sont que des mesures de piété et non des obligations. Beaucoup d'Israélites, parmi lesquels des Rabbins, sortaient la tête découverte du temps du Talmoudh ! Et plusieurs Rabbins avant le 18ème siècle n'avaient pas non plus la tête constamment couverte. (Et non, contrairement à ce qu'on dit souvent, réciter une bénédiction la tête découverte n'est en aucun cas une interdiction.)
Les
Harédhim
se sont octroyés le droit d'imposer à quiconque leur mode
d'habillement (qui a des origines païennes). Désormais, pour être
un bon Juif, pour être considéré religieux, pour indiquer que l'on
a la crainte du Ciel, il faut obligatoirement le chapeau noir, le
costume noir et la chemise blanche. Autrement, vous êtes pour les
« pieux » un Juif de seconde zone, un « moderne ».
Ce mode d'habillement a été élevé au rang de « Miswoh »
par beaucoup, qu'on l'admette ou pas. Non seulement cela n'a aucun
fondement halakhique, mais cela cause des répercussions tragiques et
crée une pression des pairs insupportable.
Les
hommes et les femmes qui considèrent que ce mode d'habillement est
obligatoire, que c'est une « Miswoh », que c'est la
volonté d'HaShem, que c'est ainsi que l'on doit s'habiller pour
faire partie du groupe, etc., prennent ce déguisement très au
sérieux, voire même à l'extrême. Ils basent le choix de leur
futur compagnon sur ce déguisement : il doit porter tel ou tel
chapeau, avoir des chaussettes de telle ou telle couleur, porter un
Bekishe de tel ou tel modèle, elle doit porter un Tikhel de tel ou
tel modèle, etc.. Mais vous savez quoi ? Les couples qui se
marient sur base de tels critères stupides... finissent aussi par
divorcer. À l'évidence, le déguisement n'a pas été suffisamment
puissant pour les garder ensemble. Et même cela ne suffit pas à les
réveiller pour se rendre compte de 'l’absurdité de courir
derrière un déguisement, plutôt que chercher un être humain doté
de bonnes Middôth, qui craint HaShem, peu importe sa façon de
s'habiller, car ce n'est pas le vêtement qui est pieux, mais la
personne qui doit l'être ! Mais dans le monde qu'eux-mêmes ont
créé (même si, pour se donner bonne conscience, ils font croire
que cela vient d'HaShem et que c'est ainsi qu'il faudrait Le servir),
si le partenaire qui leur est proposé ne porte pas le déguisement,
ils rejettent cette personne. Le plus triste dans l'histoire, c'est
qu'avec un tel comportement, ils auraient rejeté Môshah Rabbénou,
`Avrohom `Ovinou ע״ה,
Yishoq
`Ovinou ע״ה,
Ya´aqôv `Ovinou ע״ה,
et beaucoup d'autres, car ils ne portaient pas de costume noir, ni de
chapeau noir, et encore moins une chemise blanche. Les personnes
ci-dessous étaient-elles frei car elles n'avaient pas le déguisement
Harédhi ?
Le
Ramba''m זצ״ל
Le
Ban `Ish Hay
זצ״ל
Le
Baba Salé זצ״ל
Des
Rabbins Irakiens
Des
Juifs Yéménites
Les
Harédhim
ne sont pas seuls au monde, et ils n'ont pas le monopole de la Tôroh.
En fait, si tout ce qu'ils imposaient devait être considéré comme
une Miswoh
et provenant de la Tôroh, tous les Juifs avant eux et ceux de notre
époque qui ne sont pas Harédhim
et ne suivent pas ces ajouts devraient être traités comme des
hérétiques ! Ils n'ont aucun droit de déterminer et imposer
la façon de s'habiller, comment paraître Juif, ou encore qui est
pieux et qui ne l'est pas ! Aucune couleur de vêtement, ou
style, n'a jamais été exigée. En quoi un Juif est-il moins
religieux s'il sort vêtu d'une chemise beige ou bleu ciel ?
Est-ce un crime de porter des chaussettes vertes au lieu de
blanches ? Tout cela est plus que risible !
Un
autre crime commis par les Harédhim
est le désir « pieux » des jeunes hommes d'étudier
durant plusieurs années après s'être mariés, sans travailler,
exigeant littéralement du père de leurs épouses de pourvoir à
leurs besoins. Là encore, la raison est totalement absente. (De
toute façon, plus une communauté est radicale, moins il n'y a de
place pour la raison.) Premièrement, le père de l’épouse doit
lui aussi étudier, il est donc mal d'exiger de sa part qu'il
sacrifie son étude de la Tôroh pour son gendre. Deuxièmement, ces
jeunes gens n'ont-ils pas appris dans les Pirqé `Ovôth que « S'il
n'y a pas de farine, il n'y a pas de Tôroh » ?
Ce qui signifie que là où il n'y a pas de gagne-pain, il n'y a pas
non plus de Tôroh. Sans gagne-pain, on ne peut avoir l'esprit
tranquille pour étudier. Ces jeunes gens n'ont-ils pas appris que
HaZa''l
ont dit, toujours dans les Pirqé Ovôth, que « Belle
est l'étude de la Tôroh combinée à une profession, car avec les
deux on ne pèche pas ! ».
N'importe qui peut comprendre les péchés énormes que commettent
les religieux qui n'ont aucune profession. Ils s'adonnent à des
activités illégales en tout genre, violent les lois du pays,
certains passent leurs journées à ne rien faire, d'autres
commettent des actes qu'il vaudrait mieux ne même pas mentionner !
Ces
derniers siècles, le Judaïsme a été tordu par de nombreux
mouvements, des Maskilim aux Hasidhim,
en passant par les Sionistes, les Libéraux, les Conservatives, les
Reconstructionnistes, et d'autres encore, chacun avec ses propres
« prescriptions nouvelles » qu'HaShem avait évidemment
oubliées d'inclure dans la Tôroh et de dicter à HaZa''l.
Leur crime philosophique d'ajouter et soustraire à la Tôroh fut
pour certains la carte blanche de permettre de rouler en voiture à
Shabboth, pour d'autres de modifier le Siddour en y ajoutant de la
Qabboloh, d'inventer des bénédictions et prières non requises par
HaZa''l,
de déifier les Rebbe`im, d'aller consulter les prostituées, de lire
sur les paumes des mains, d'autoriser les amulettes et bracelets
rouges, de consulter les morts, de contredire Môshah Rabbénou et
les Prophètes, d'utiliser les Tahillim comme des charmes contre la
maladie, de créer de nouvelles « Halokhôth », de
soupçonner d'autres Juifs d'être frei sur la base de leur
habillement, de voir la barbe comme étant sainte (certains sont
prêts à vous maudire du regard s'ils remarquent que vous avez
légèrement rétréci votre barbe, sans même se dire que l'on
pourrait avoir une raison tout à fait valable de l'avoir fait),
d'enseigner qu'HaShem S'est divisé en différentes parties,
d'enseigner des stupidités comme la réincarnation des âmes des
Saddiqim
dans les poissons, et la liste est longue et peut se poursuivre ad
infinitum ! Et si vous pensez à toutes ces stupidités,
l'émotion à blâmer est l'ego. Le mouvement corrompu est tellement
sûr de ses positions que ceux qui en font partie rabaissent tous les
autres en-dessous d'eux, ou cherchent à impressionner tout le monde
afin que les changements qu'ils ont opérés dans la Tôroh passent
inaperçus et finissent par être acceptés sans opposition.
Réfléchir
est devenu un art perdu !
L'étude
de la Tôroh a été remplacée par le fait de suivre les masses
ignorantes !
Si
les gens étudiaient, ils tomberaient sur l'avertissement lancé par
le Prophète Safanyoh
ע״ה
concernant
le fait d'utiliser les vêtements comme moyen de nourrir l'ego. Ils
tomberaient sur l'interdiction énoncée par Môshah Rabbénou
d'ajouter ou soustraire à la Tôroh. Mais les gens ne lisent en fait
même plus le TaNaKh. Ils avalent simplement les fables de leurs
rabbins !
Si
les gens réfléchissaient, ils se rendraient compte que le meilleur
choix de mariage consiste à se marier à un être humain, et non à
son costume ou déguisement !
Réfléchissez !
Utilisez régulièrement votre cerveau pour déterminer objectivement
si vous suivez les masses ou les commandements d'HaShem. Si Môshah
Rabbénou s'est rendu compte de la nécessité de dire aux Israélites
qui ont été témoins de la Révélation au Sinaï qu'il ne fallait
ni ajouter ni retrancher à la Tôroh, nous ne devons en aucun cas
nous sentir meilleurs que ces Israélites-là, car ce serait alors la
façon la plus facile de tomber dans les pièges des corruptions
idolâtres qui assaillent le Judaïsme d'aujourd'hui !
1Davorim
3:29
2Safanyoh
1:8