ב״ה
Comment
les rabbins et d'autres ont changé le Judaïsme
Illustration :
Quelques-uns des pseudos « Grands de la Génération »
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Depuis
que les hommes et femmes les plus intelligents se sont rendus compte
qu'ils avaient des idées qu'ils ne pouvaient partager avec d'autres,
mais qu'il fallait absolument qu'ils s'expriment, ils ont appris à
mentir.
Des
philosophes hautement respectés le faisaient. Le païen grec Platon
décrivaient ce qu'ils disaient comme des « nobles mensonges ».
Le musulman Ibn Tufayl n'a pas donné de nom aux mensonges, mais a
rédigé un livre entièrement consacré à la description des
raisons pour lesquelles il est nécessaire de cacher la vérité.
Concrètement, bien que les gens pourraient trouver cela très
insultant, les philosophes reconnaissent que la vaste majorité des
gens ont besoin de se voir enseigner des notions fausses et se faire
traiter d'une façon paternaliste par ceux qui sont convaincus de
savoir ce qui est mieux pour eux. Le romain Plutarque a caché la
vérité dans sa fameuse histoire « Vies Parallèles »,
et a présenté une version idéalisée des héros des temps anciens
« dans l'intention de transmettre des exemples moraux à
miter et à éviter ». Ils savaient que les mensonges
qu'ils enseignaient aux masses n'étaient pas des faits, mais des
enseignements qui permettent de répandre ce qu'ils estimaient être
bien et bon.
Comme
de nombreux autres philosophes, les rabbins actuels ont menti et
continuent de le faire pour diverses raisons. Chacune des raisons qui
pourraient être avancées est subjective ; un rabbin pourrait
sentir que le mensonge est approprié pour telle raison, tandis qu'un
autre pourrait s'y opposer fermement. C'est comme si le rabbin
disait : « Je peux mentir si j'estime qu'il convient de le
faire et si j'estime qu'il est préférable que la personne croit mon
mensonge plutôt qu'il connaisse la vérité ».
Nous
pouvons donner une longue liste de rabbins d'antan et d'aujourd'hui
qui ont menti à d'autres Juifs pour amener le Judaïsme là où ils
désiraient l'amener, pour façonner le Judaïsme à leur propre
image et non à celle d'HaShem ית׳
et
de nos Sages. Trop de rabbins dans la communauté Orthodoxe
réécrivent le passé en cachant et censurant les livres de rabbins
et Talmidhé Hakhomim des générations antérieures, même
très respectés, qui ne collent pas à leurs points de vue
personnels. Ils insistent pour analyser le passé à travers les
pratiques et doctrines religieuses du présent, effaçant
systématiquement les opinions « libérales » du passé
pour obliger les autres à suivre leurs notions personnelles de ce
qui est bien, bon, droit et juste. Des organisations telles que
Artscroll tordent les interprétations des commentateurs bibliques
dans leurs commentaires Artscroll lorsque les opinions de ces
commentateurs contredisent leur compréhension. Ces rabbins tournent
le dos à ce qui est vrai lorsqu'ils sont convaincus que ce qui a été
dit dans le passé pourrait amener des lecteurs à mettre au grand
jour leurs mensonges. Ce qui est paradoxal, c'est que ces rabbins qui
effectuent de tels changements se considèrent être
« traditionnels », voire même « Harédhim »
(ceux qui craignent Dieu, ou ceux qui tremblent devant Dieu) ou
« ultra-Orthodoxes » ; ce sont des hommes qui
condamnent à tout va les changements opérés par les mouvements
libéraux (Réformé) et conservatives (Massorti), et pourtant eux
non plus ne sont pas à l'aise avec le passé, l'histoire du Judaïsme
authentique et ses pratiques, et ressentent le besoin de réécrire
ce que les Juifs ont de plus sacré, à savoir ce que la Tôroh et le
Judaïsme disent vraiment !
Ils
dissimulent la conviction de nombreux rabbins d'antan qui étaient
d'avis que certaines parties du Houmosh (cinq livres de la
Tôroh) furent rédigées après le décès de Môshah Rabbénou ע״ה.
Parmi les illustres rabbins qui soutenaient cette position, citons
comme exemple Rabbénou `Avrohom `Ibn ´Azro` זצ״ל
ou
encore l'illustre piétiste Rabbi Yahoudhoh Hahosidh זצ״ל.
Mais ce que ces falsificateurs de la vérité ne veulent pas vous
dire, c'est que cette opinion est déjà soutenue et mentionnée dans
le Talmoudh lui-même ! En effet, nous lisons ceci1 :
Rébbi
Yahôshoua´ bar `Abbo` a dit au nom de Rov Giddal qui a dit au
nom de Rov : « Les huit derniers versets contenus
dans la Tôroh doivent être lus par une seule personne ».2
L'opinion de qui est-elle suivie ici ? Ce n'est sûrement pas
celle de Rébbi Shim´ôn, car il a été enseigné3 :
Il est écrit4
« Et Môshah, serviteur d'HaShem, mourut là ».
Est-il possible que Môshah, tout en étant vivant, ait écrit
« Et Môshah...mourut là » ? « Mais
la vérité est que jusqu'à ce moment Môshah écrivit, et à
partir de ce moment Yahôshoua´ bin Noun écrivit ».
[Ce sont là] les paroles de Rébbi Yahoudhoh ou, d'après
d'autres, celles de Rébbi Nahamyoh. Rébbi Shim´ôn lui a
dit : « Est-il possible que le Séfar Tôroh soit
amputée d'une lettre?N'est-il pas écrit5 :
''Prenez ce livre de la Tôroh et placez-le, etc.'' ?6
Nous devons donc dire que jusqu'à ce moment, le Saint, béni
soit-Il, a dicté et Môshah l'a écrit et répété, et à partir
de ce moment, le Saint, béni soit-Il, a dicté et Môshah a écrit
avec des larmes [dans ses yeux]7,
comme cela est dit d'une autre occasion8 :
''Boroukh leur dit : C'est de sa propre bouche qu'il m'a
récité toutes ces paroles-là, et moi je les ai écrites sur ce
livre avec de l'encre''.9 »
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אמר
רבי יהושע בר אבא אמר רב גידל אמר רב
שמנה פסוקים שבתורה יחיד קורא אותן
בבהכ"נ
כמאן דלא כר"ש
דתניא וימת שם
משה עבד יי'
אפשר
משה חי וכתב וימת שם משה אלא עד כאן כתב
משה מכאן ואילך כתב יהושע בן נון דברי
רבי יהודה ואמרי לה רבי נחמיה אמר לו
ר"ש
אפשר ס"ת
חסר אות אחת וכתיב לקוח
את ספר התורה הזה ושמתם אותו וגו'
אלא
עד כאן הקב"ה
אומר ומשה כותב ואומר מכאן ואילך הקב"ה
אומר ומשה כותב בדמע כמה שנאמר להלן
ויאמר להם ברוך מפיו
יקרא אלי את כל הדברים האלה ואני כותב
על הספר בדיו
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Nous
pouvons donc voir que d'après le Talmoudh, il est une idée tout à
fait acceptable d'affirmer que toute la Tôroh fut rédigée par
Môshah Rabbénou, à l'exception peut-être des huit derniers
versets, dont il est possible de supposer qu'ils furent rédigés par
Yahôshoua´ bin Noun ע״ה.
En tous les cas, c'est une question qui faisait débat déjà parmi
nos Sages et il n'est pas hérétique de pencher d'un côté ou de
l'autre. Mais parce que soutenir qu'il est possible que certains
versets n'auraient pas été écrits par Môshah Rabbénou est
« hérétique » pour certains rabbins d'aujourd'hui, ils
censurent totalement cette opinion et la considèrent comme non
existante !
Ces
rabbins cachent le fait que le Poséq Rabbi Môshah `Issarlès זצ״ל
(plus
connu sous l'acronyme du « Ramo''` ») a tranché que
d'après lui, à notre époque, il était tout à fait permis de
consommer le vin des non Juifs. Nous pouvons ne pas être d'accord
avec lui, mais nous ne pouvons pas censurer une telle opinion, car
comme d'autres avant et après lui, il estimait que l’idolâtrie
telle que décrite dans le Talmoudh n'existe plus à nos époques. Le
raisonnement est que nos Sages du Talmoudh n'ont interdit le vin des
non Juifs qu'en raison du fait qu'en ces temps-là les idolâtres
offraient littéralement leurs vins en libation à leurs idoles.
Puisque de nos jours la plupart des non Juifs simples ne le font pas
lorsqu'ils font du vin, la raison de l'interdiction ne s'applique
donc plus avec la plupart des vins des non Juifs. Là encore, c'est
une opinion que l'on est en droit de rejeter (ce n'est pas parce
qu'on la cite qu'on la soutient), mais elle existe et est basée sur
un certain raisonnement. Les Pôsqim n'ont jamais eu peur de soutenir
leurs opinions, même quand elles divergeaient de celles d'autres
Pôsqim, car contrairement à ce qu'on veut nous faire penser
aujourd'hui, le Judaïsme n'est pas monolithique et permet à
diverses opinions de coexister ensemble, dès lors qu'elles sont dans
les limites de la Halokhoh, qu'elles font appel aux méthodes
d'interprétation énoncées par nos Sages et ont un raisonnement sur
lequel s'appuyer. Alors que même le Talmoudh ne censure pas les
opinions que certains Sages défendaient contre d'autres Sages, mais
que l'on acceptait la divergence Lashem Shomayim, aujourd'hui les
rabbins censurent ce qui ne les arrange pas par rapport au Judaïsme
monolithique qu'eux veulent créer.
Parce
qu'eux aiment le rite des Kapporôth, en dépit de toutes les
objections qu'il soulève, ils censurent le passage du Shoulhon
´Oroukh dans lequel Rabbi Yôséf Qa`rô זצ״ל
s'oppose
clairement à ce rite. En effet, voici ce qui est écrit dans le
Shoulhon ´Oroukh10 :
Il
y a ceux qui ont la coutume de procéder à des Kapporôth la
veille de Yôm Kippour, en égorgeant un poulet pour chaque enfant
de sexe masculin et en disant dessus des versets. On
doit empêcher la coutume.
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מה
שנוהגים לעשות כפרות בערב יום כיפור,
לשחוט
תרנגול על כל בן זכר ולומר עליו פסוקים,
יש
למנוע המנהג
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(Pour
un article sur les Kapporôth, voir ici.)
Ce
qui est ironique et hypocrite est que tous ces rabbins qui vont à
l'encontre de ce qui est dit ici dans le Shoulhon ´Oroukh
sont également les mêmes qui insistent sur le fait qu' « il
faut obéir à tout ce qui est dit dans le Shoulhon ´Oroukh ».
Or, il y a d'innombrables lois rapportées dans le Shoulhon
´Oroukh auxquelles ces mêmes rabbins demandent de ne pas se
soumettre pour X, Y ou Z raisons ! En réalité, ils ne suivent
pas le Shoulhon ´Oroukh, mais ce qui, peu importe la source,
soutient leur conception du Judaïsme nouveau qu'ils ont créé !
Ainsi, si ce que dit le Shoulhon ´Oroukh leur convient et
peut être utilisé pour soutenir leur point de vue, ils l'acceptent,
tandis qu'ils rejettent tout ce qui va à l'encontre de leurs désirs
et vision du Judaïsme nouveau et archaïque qu'ils ont mis en place.
Puisque dans leur version du Judaïsme les Kapporôth sont une bonne
chose, ils vont concevoir toutes les raisons possibles et imaginables
pour justifier de ne pas suivre le Shoulhon ´Oroukh. (Cela
dit en passant, en tant que talmudiste et Talmidh HaRamba''m, le
Shoulhon ´Oroukh n'est pas ma référence, mais le Talmoudh
et le Mishnéh Tôroh.) Plusieurs Pôsqim, dès l'origine de cette
coutume, l'ont rejeté et décrite comme étant une pratique
ressemblant à la sorcellerie ou à certaines pratiques païennes.
Ils
ont effacé l'opinion du Rov Hayim de Volozhin זצ״ל
qui,
en citant nul autre que le Go`ôn de Wilno` זצ״ל,
a déclaré que « dans les questions ayant trait à la
Halokhoh, on ne doit pas abandonner son jugement indépendant, même
si cela signifie s'opposer à une décision du Shoulhon
´Oroukh ». En effet, le Judaïsme n'a jamais été
monolithique, et nous n'avons AUCUNE obligation halakhique de
suivre les décisionnaires post-talmudiques si on estime, après
analyse objective, que leurs décisions ne sont pas conformes au
Talmoudh ! Contrairement au mensonge enseigné de nos jours
selon quoi on devrait écouter tout ce que disent les rabbins et que
le Shoulhon ´Oroukh serait le code halakhique de référence,
personne n'a l'obligation de suivre aveuglément les rabbins et
encore moins d'obéir à une décision du Shoulhon ´Oroukh
que l'on estime aller à l'encontre des principes du Judaïsme
authentique et des décisions de nos Sages rapportées et tranchées
dans le Talmoudh !
Ils
dissimulent la décision prise par l'éminent Pôséq Rabbi Yahi`él
Epstein זצ״ל
selon
qui il est permis d'allumer des lumières électriques à Yôm Tôv,
ou encore la démonstration faite par le Rov Shalômôh Zalman
Auerbach qu'aucune des raisons avancées pour interdire l'usage de
l'électricité à Shabboth n'est halakhique ou ne tient la route.
Ils
ont expurgé l'opinion du Rov Samson Raphaël Hirsch זצ״ל
selon
qui tout le monde ne devait pas consacrer sa vie entière à
n'étudier que la Tôroh. Cette pratique que l'on voit chez les
Harédhim, consistant à ne pas travailler et passer ses
journées à étudier, est une innovation qui ne s'est jamais connue
dans les temps passées. Pire encore, c'est même contraire à la
Halokhoh telle qu'elle a été tranchée dans le Talmoudh et le
Mishnéh Tôroh. En effet, nos Sages ont tranché contre l'avis de
Rébbi Shim´ôn ז״ל
et
disent qu'une vie entièrement consacrée à l'étude et sans
profession n'est pas la voie appropriée. Des dizaines de passages
talmudiques préviennent contre le fait de ne pas exercer une
profession à côté du Limoudh Tôroh. Ces passages sont
systématiquement censurés dans les milieux Harédhi qui nous
vendent qu'il serait une obligation de passer sa vie à l'étude.
Ils
ont effacé le fait que le Go`ôn de Wilno`, l'un des plus grands
talmudistes qui soit, a écrit que le fait pour les hommes de couvrir
leurs têtes en public n'était qu'un Minhogh et que dans les
familles Orthodoxes en Allemagne, les hommes Juifs ne couvraient
leurs têtes que lorsqu'ils priaient ou récitaient une bénédiction.
Leur campagne d'imposition du couvre-chef pour tous est allée
jusqu'à rajouter des couvre-chefs sur les photos du dernier
Loubavitcher Rebbe, Ménahém Mendel Schneerson, et de
nombreux autres rabbins qui ne portaient pas de couvre-chef à
l'université. Là encore, cela n'équivaut pas à défendre le fait
de sortir la tête découverte, mais on ne peut nier qu'imposer aux
hommes religieux le port du couvre-chef est une innovation qui ne
fait pas en elle-même partie du Din requis par la Tôroh. Des hommes
parfaitement religieux ne se couvraient pas toujours la tête, et ce
n'était pas considéré comme une faute.
Ils
cachent le fait que de nombreux rabbins, dont le Ramba''m זצ״ל,
demandent de faire des exercices physiques réguliers. Aujourd'hui,
les Harédhim nous disent que faire du sport est interdit !
Dans quelle version du Judaïsme ? La leur, mais pas dans le
Judaïsme authentique !
Les
Harédhim, ainsi que les rabbins qui ont peur d'aller contre
eux, ne mentionneront pas les mots « gay »,
« homosexuel », etc., ou n'utiliseront pas ces mots dans
leurs journaux de propagande, tout comme de moins en moins de rabbins
n'osent ouvertement condamner les modes de vie déviants et
abominables comme l'homosexualité, les abus d'enfants dans les
communautés Haredhim, etc., et retireront les photos de
femmes, y compris celle d'Hillary Clinton, bien que cela ne soit pas
du tout interdit dans la Tôroh et que TOUS les journaux
religieux (même Harédhim) des temps passés affichaient sans
problème des images de femmes !
Ils
ont interdit la republication du livre du Rov Ya´aqôv Emden זצ״ל,
qui démontre la supercherie que représente le Zôhar et le fait
qu'il ne peut avoir été rédigé par Rébbi Shim´ôn ban Yôho`y !
Ce
ne sont là que quelques exemples sur la manière dont les rabbins et
d'autres ont changé et continuent à changer la Tôroh immuable !
On aurait pu, évidemment, en ajouter des centaines d'autres. Par
exemple, de nombreux rabbins ne révèlent pas que les comportements
et normes qu'ils défendent dans leurs sermons ne sont pas enseignés
dans la Tôroh. En effet, leurs disciples moutons boivent avidement
leurs paroles et ne prennent pas la peine de vérifier ou remettre en
question ce qui leur est dit. En outre, lorsque ces rabbins font
leurs sermons et les basent sur le « fait » que le
« Midhrosh » dit ceci ou cela, les rabbins ne révèlent
pas qu'il existe des sortes différentes de Midhroshim, chacun
affirmant quelque chose de différent des autres, et que la position
qu'ils défendent n'est pas soutenu par d'autres Midhroshim. En fait,
affirmer qu' « il est enseigné ceci ou cela dans le Midhrosh »
est trompeur, car dire « LE Midhrosh » donne l'impression
qu'il n'y a qu'un seul Midhrosh, alors qu'il existe différents
ouvrages de rassemblement de Midhroshim, dont beaucoup sont
post-talmudiques ! Ce n'est donc pas parce qu'on cite un
Midhrosh que cela provient des Midhroshim approuvés et enseignés
par nos Sages. Et d'expérience, j'ai pu aussi constater que lorsque
les gens sont incapables de produire la moindre source pour justifier
ce qu'ils avancent, ils jouent la carte du « Mais c'est
enseigné dans la Qabboloh ! ». Comme le Midhrosh, il n'y
a pas un seul ouvrage de Qabboloh sur le marché. Donc, de quel livre
kabbalistique parlent-ils ? Très souvent, même en regardant
dans le Zôhar, on ne trouve pas ces passages qu'enseignerait « la
Qabboloh » ! Tout ça parce qu'on fait tellement confiance
à ces rabbins que l'on ne prend plus la peine de vérifier leurs
propos.
Les
gens doivent faire attention à cela, car au final nous avons les
dirigeants que nous méritons ! Si les gens sont passifs et
laissent tout passer, on continuera à les gaver de mensonges et
d'autres doctrines de toute sorte n'ayant rien à voir avec le
Judaïsme.
1Manohôth
30a
2Ces
versets ne peuvent pas être divisés en deux portions pour être
lus par deux personnes (il convient de signaler que la façon de
diviser les ´Aliyôth n'était pas déterminée ou fixe dans les
temps talmudiques. Chaque personne appelée à la Tôroh devait
simplement lire un minimum de trois versets)
3Barokhôth
15a
4Davorim
34:5
5Ibid.,
31:26
6Ce
verset a été dit avant la mort de Môshah Rabbénou. Si à ce
moment-là le Séfar Tôroh n'avait pas été entier et déjà
entièrement rédigé, on n'en aurait pas fait référence dans ce
verset. Par conséquent, c'est que l'entièreté du livre de la
Tôroh a été rédigé par Môshah Rabbénou
7Mais
n'a pas répété ces mots, contrairement aux autres fois, à cause
de sa douleur
8Yirmayohou
36:18
9Boroukh
le Scribe ע״ה,
lorsqu'il mit par écrit les Lamentations tel que Yirmayohou
Hannovi` ע״ה
les lui avait dictées, n'a pas répété les mots à cause
de la douleur qu'ils lui causaient
10`Ôrah
Hayim 605:1