בס״ד
Une
femme peut-elle enseigner la Tôroh ?
Il
y a trois mois d'ici, un ami m'a posé la question suivante :
Après
avoir reçu plusieurs avis, j'aimerais aussi le tiens sur ce
sujet : la femme peut elle enseigner [la Tôroh] ?
Shavoua' Tôv.
|
Puisque
c'est une question que beaucoup se posent, je vais partager avec vous
la réponse que je lui avais donnée à cette époque-là.
Pour
répondre à la question de savoir si une femme peut servir
d'enseignante de la Halokhoh et de la Tôroh, nous devons faire un
détour par une autre question (on dit toujours que lorsqu'on pose
une question à un Juif, il répond par une autre question) :
une femme peut-elle servir de Dayyon (Juge dans un Béith Dîn) et/ou
de rabbin(e) ? Cette question est abondamment traitée dans les
sources juives. Pourquoi doit-on passer par cette question pour
répondre à notre première question ? Parce que les gens ont
souvent tendance à confondre les deux sujets, qui se rapportent à
deux domaines complètement différents, comme nous le verrons.
Ceux
qui disent qu'une femme peut servir de Dayyon ou de rabbi(e)
s'appuient toujours sur le fait que la prophétesse Dévôroh ע״ה
fut
nommée Juge dans les temps bibliques :
Shôftîm
4:4-5
|
Et
Dévorâh était une femme prophétesse, l'épouse de Lappîdôth.
Elle était la juge de Yisro`él à cette époque. Et elle
siégeait sous le palmier de Dévôroh, entre Romoh et Béith-Él,
dans la montagne de `Èfroyim, et les Bénéi Yisro`él montaient
vers elle pour [recevoir] le jugement.
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וּדְבוֹרָה
אִשָּׁה נְבִיאָה,
אֵשֶׁת
לַפִּידוֹת--הִיא
שֹׁפְטָה אֶת-יִשְׂרָאֵל,
בָּעֵת
הַהִיא.
וְהִיא
יוֹשֶׁבֶת תַּחַת-תֹּמֶר
דְּבוֹרָה,
בֵּין
הָרָמָה וּבֵין בֵּית-אֵל--בְּהַר
אֶפְרָיִם;
וַיַּעֲלוּ
אֵלֶיהָ בְּנֵי יִשְׂרָאֵל,
לַמִּשְׁפָּט
|
Le
problème pour ceux qui utilisent cet exemple pour déclarer que ce
serait bien la preuve qu'une femme peut être rabbin(e) ou juge est
que le cas de Dévôroh est une exception à la règle, et non pas la
norme. De toutes les personnes de cette génération, elle était la
plus méritante et les hommes étaient tombés à un niveau de
spiritualité très bas. Je tiens à préciser que l'interdiction
pour une femme d'être juge n'a rien à voir avec le fait qu'une
femme ne serait pas assez intelligente pour l'être. Le Talmoud
nous parle en effet de plusieurs femmes qui connaissaient la Tôroh
et la Halokhoh même beaucoup mieux que leurs maris, qui étaient
pourtant d'illustres Sages en `Èrès Yisro`él. L'exemple le
plus connu est celui de Rabbî Mé`îr et son épouse Béroukhîyoh.
Le
Talmoud Yérousholmî tranche à trois reprises1 :
« Voici, nous avons appris qu'une femme ne témoigne pas.
Par conséquent, une femme ne peut pas non plus être juge ».
Par
conséquent, le Rambam זצ״ל
tranche
de la façon suivante dans son Mishnéh Tôroh :
Hilkhôth
Mélokhîm Oummiléhomôth 1:6
|
Nous
ne désignons pas une femme pour la royauté, car il est dit [dans
la Tôroh] « un roi »2,
et non une reine. De même, pour toute
position d'autorité au sein du peuple d'Israël, on n'y désigne
qu'un homme.
|
אֵין
מַעְמִידִין אִשָּׁה בַּמַּלְכוּת--שֶׁנֶּאֱמָר
"מֶלֶךְ",
וְלֹא
מַלְכָּה;
וְכֵן
כָּל מְשִׂימוֹת שֶׁבְּיִשְׂרָאֵל,
אֵין
מְמַנִּים בָּהֶם אֵלָא אִישׁ
|
La
position de juge est incluse dans l'expression de « positions
d'autorité », comme cela est évident dans la Halokhoh juste
avant celle susmentionnée, dans laquelle le Rambam parle des
non-Israélites :
Hilkhôth
Mélokhîm Oummiléhomôth 1:5
|
Nous
ne désignons pas comme roi quelqu'un provenant de l'assemblée
des Gérîm3,
même si ses ancêtres étaient Israélites sur plusieurs
générations, à moins que sa mère fasse partie des Israélites,
car il est dit4 :
« Tu ne placeras point à ta tête un homme étranger,
qui n'est pas ton frère ». Cela ne s'applique pas qu'à
la royauté, mais à toutes les positions d'autorité au sein du
peuple d'Israël, c'est-à-dire, [on ne nomme pas un étranger] ni
comme chef de l'armée, ni comme chef de cinquante hommes, ni
comme chef de dix hommes. Il ne peut pas même superviser la
distribution des eaux d'une source aux divers champs. Il est
inutile de dire qu'un Dayyon ou un Nosî`5
ne peut être qu'Israélite, car il est dit6 :
« Du milieu de tes frères tu placeras sur toi un roi »,
c'est-à-dire, toute autorité que tu placeras à ta tête ne peut
provenir que du milieu de tes frères.
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אֵין
מַעְמִידִין מֶלֶךְ מִקְּהַל גֵּרִים,
אַפִלּוּ
אַחַר כַּמָּה דּוֹרוֹת--עַד
שֶׁתִּהְיֶה אִמּוֹ מִיִּשְׂרָאֵל:
שֶׁנֶּאֱמָר
"לֹא
תוּכַל לָתֵת עָלֶיךָ אִישׁ נָכְרִי,
אֲשֶׁר
לֹא-אָחִיךָ
הוּא".
וְלֹא
לְמַלְכוּת בִּלְבָד,
אֵלָא
לְכָל שְׂרָרוֹת שֶׁבְּיִשְׂרָאֵל--לֹא
שַׂר צָבָא,
וְלֹא
שַׂר חֲמִשִּׁים אוֹ שַׂר עֲשָׂרָה,
אַפִלּוּ
מְמֻנֶּה עַל אַמַּת הַמַּיִם שֶׁמְּחַלֵּק
מִמֶּנָּה לַשָּׂדוֹת;
אֵין
צָרִיךְ לוֹמַר דַּיָּן אוֹ נָשִׂיא,
שֶׁלֹּא
יְהֶא אֵלָא מִיִּשְׂרָאֵל:
שֶׁנֶּאֱמָר
"מִקֶּרֶב
אַחֶיךָ,
תָּשִׂים
עָלֶיךָ מֶלֶךְ"--כָּל
מְשִׂימוֹת שֶׁאַתָּה מֵשִׁים עָלֶיךָ,
לֹא
יִהְיוּ אֵלָא מִקֶּרֶב אַחֶיךָ
|
De
même, les Tôsofôth7
זצ״ל,
citant tous ces versets mentionnés par le Rambam et les trois
passages du Talmoud Yérousholmî susmentionnés, commentent
ceci :
Une
femme n'est pas qualifiée pour juger, puisque nous avons appris
que celui qui est qualifié pour juger est également qualifié
pour témoigner. Et nous apprenons du Talmoud Yérousholmî,
au traité Yômo`, qu'étant donné qu'une femme n'est pas
qualifiée pour témoigner, elle ne peut pas non plus être juge.
Quant à Dévôroh, elle ne jugeait pas réellement, mais leur
enseignait le jugement...
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Le
TaNaKh n'emploie jamais des mots en trop. Comment se faisait-il que
Dévôroh siégeait sous un palmier (qui porta ensuite son nom) et
non au siège Béith Dîn, qui était toujours situé à la porte de
la ville (comme c'était la coutume des juges) ? C'est pour nous
apprendre que Dévôroh ne jugeait pas réellement le peuple, mais
servait de prophétesse, de porte-parole d'HaShem quant aux choses
appropriées à faire ou à ne pas faire, en accord avec la volonté
d'HaShem. Nous le voyons clairement des passages de Shôftîm
4:6-7, 14.
Toutes
les autorités halakhiques qui ont précédé notre génération de
Rabbonîm politiques (qui font des concours entre eux pour savoir
quelle communauté est la plus stricte, raison pour laquelle ils font
passer des innovations toujours chaque fois plus rigoureuses que les
précédentes) ont indiqué que les femmes pouvaient enseigner, sans
aucune réserve, les Halokhôth des aliments permis et interdits. De
même, comme cela est rapporté dans le Mishnéh Tôroh du Rambam,
une femme est tout à fait qualifiée pour procéder elle-même à
des abattages rituels et enseigner aux autres comment faire. Il
existe également de nombreuses Miswôth qu'une femme peut
accomplir en faveur d'un homme afin de l'acquitter de son obligation,
comme par exemple le Qîddoush et la Havdoloh, lire la
Mégîlloh de `Èsthér, allumer les Nérôth de Hanoukkoh,
raconter la sortie d’Égypte le soir de Pésah, etc.
D'ailleurs, chaque année, de nombreux rabbins rappellent toujours
avant Pésah qu'une femme a autant l'obligation que les hommes
de raconter la sortie d’Égypte à ses enfants. Par conséquent,
ils rappellent toujours que le soir du Sédèr, certaines
parties de la Haggodoh doivent être laissées à des femmes,
afin qu'elles aussi participent et prennent la parole pour raconter
une partie de la Haggodoh ou partager un enseignement relatif
à Pésah. C'est la Halokhoh, mais combien de Juifs
aujourd'hui la respectent-ils réellement ? (En effet, les
femmes ne prennent jamais la parole lors du Sédèr dans la
majorité des communauté.)
Les
raisons de ces permissions sont toutes simples. Premièrement, les
femmes ont le même degré d'obligation que les hommes de connaître
la volonté d'Hashem en ce qui concerne la Tôroh (l'étude
analytique de la Tôroh est un autre sujet. Mais connaître la Tôroh
et la Halokhoh dans son sens simple est une obligation qui incombe
aussi à la femme, tandis qu'elle est dispensée de l'étude
analytique). Une femme est sensée connaître les lois de Shabboth,
des Yomîm Tôvîm, de la Kashrouth, du mariage, de Niddoh, du Loshôn
Horo', et de pleins d'autres domaines encore. Par conséquent, dans
tous les domaines où une femme a une obligation, elle est également
habilitée à enseigner ces lois à d'autres. Toutes ces lois de la
vie quotidienne sont ce que l'on appelle le אורח
חיים « `Ôrah
Hayîm ».
En
outre, enseigner à quelqu'un une Halokhoh ou un Dîn ne nécessite
pas de posséder un titre particulier, mais simplement une
connaissance suffisante, ce qui n'est pas le cas pour être Dayyon.
C'est pourquoi, une femme peut donner son avis et même enseigner
dans ce qui touche au domaine du `Ôrah Hayîm.
(Attention, pouvoir enseigner ne signifie pas pouvoir être rabbine,
car le rabbinat est une position d'autorité, et il est interdit de
nommer des femmes à des positions d'autorité sur les hommes, comme
nous l'avons vu plus haut.)
Concernant
les lois qui entrent dans le domaine de ce que l'on appelle le חושן
משפט « Hôshèn
Mishpot » (qui ont trait aux questions financières),
il y a un consensus et une règle générale dans le Talmoud
et les sources halakhiques selon quoi quiconque est qualifié pour
servir de Dayyon est qualifié pour témoigner dans ces affaires, et
puisqu'une femme n'est pas qualifiée pour témoigner dans des
affaires financières, il n'est pas non plus permis d'en consulter
une pour trancher des questions halakhiques se rapportant à ces
sujets. Par contre, concernant les lois qui entrent dans la catégorie
de ce que l'on appelle le יורה
דעה « Yôréh
Dé'oh » (ce qui touche à la Kashrouth, aux serments, au
deuil et aux lois de pureté familiale), étant donné qu'une femme
est acceptée dans un Béith Dîn pour témoigner lors de débats
relatifs à ces sujets, elle peut également enseigner et même
répondre à des questions halakhiques touchant à ces sujets. (Comme
je l'ai dit plus haut, une femme peut même être Shôhét et
diriger une compagnie de Kashrouth, car dans ce domaine elle est
égale à un homme, avec un même degré d'obligation.) Les lois
relatives à la Niddoh tombent également dans le domaine de « Yôréh
Dé'oh », et c'est ainsi que bon nombre de rabbins renvoient
souvent à leurs épouses pour qu'elles répondent aux questions
relatives à ce sujet, non pas parce qu'ils ne connaissent pas les
réponses, mais parce qu'ils estiment qu'une femme est plus
appropriée qu'un homme pour traiter de ces sujets. Il n'y donc aucun
interdit pour une femme d'émettre un avis ou même de répondre à
des questions halakhiques qui touchent à des questions entrant dans
la catégorie de « Yôréh Dé'oh ».
C'est
ainsi que concernant l'interdiction biblique de prier en état
d'ébriété, le Séfèr HaHînoukh écrit8 :
Celui
qui est ivre de vin ne doit pas entrer dans le sanctuaire. Et de
même, celui qui est ivre ne doit pas enseigner... L'interdiction
d'entrer dans le sanctuaire en état d'ébriété du temps du
Temple s'appliquait aussi bien aux hommes qu'aux femmes, et éviter
d'enseigner (dans un tel état) s'applique aux hommes en tous
lieux et en toutes générations, ainsi
qu'à la femme sage qui est digne d'enseigner.
|
De
même, nous apprenons ceci du Hîdo`9
זצ״ל
:
« Même si une femme n'est pas qualifiée pour juger, une
femme sage peut néanmoins enseigner la Halokhoh ». Et ce
Dîn est également rapporté dans le Pithhéi Téshouvoh10,
ainsi que dans le Séfèr Halokhoh Pésouqoh11 :
« Une femme peut s'asseoir avec des juges pour les instruire
dans les cas qui leur sont rapportés et dans lesquelles elle a de la
connaissance. Et elle peut enseigner la Halokhoh dans les domaines
relatifs à ce qui est permis et interdit12 ».
Cette femme n'est pas en position d'autorité, parce que ce sont les
hommes du Béith Dîn eux-mêmes qui ont décidé de faire appel à
elle. Et c'est ainsi que le Talmoud rapporte que la femme de
Rabbî Mé`îr, Béroukhîyoh, était plus érudite que son mari en
ce qui concernait la Halokhoh, et les Sages de la génération, dont
Rabbî Yôhonon ben Zakka`y זצ״ל,
le chef du Sanhédrîn avant la destruction du Temple, la
consultaient dans certains domaines et faisaient l'éloge de son
érudition. À noter qu'elle ne prenait la parole et ne donnait son
avis sur une question halakhique que si les Sages la convoquaient et
lui donnaient la parole. C'est ainsi qu'elle n'a jamais défié
l'autorité des Sages. Or, bon nombre de femmes, lorsqu'elles
connaissent beaucoup de choses dans le domaine halakhique, ont
tendance à humilier ou à faire preuve d'ironie à l'égard des
enseignants masculins. Ces femmes sont alors dans une posture de
défiance à l'égard des autorités. Certaines mêmes, pour montrer
qu'elles sont autant érudites que les hommes, ouvrent leurs propres
communautés dans lesquelles elles sont rabbines. C'est une
transgression de l'interdiction pour une femme d'être en position
d'autorité sur les hommes. Donc, il convient de clairement faire la
différence entre la permission pour une femme d'enseigner et donner
son avis halakhique (dans des domaines qui lui sont permis), et le
fait d'être rabbine ou juge dans un Béith Dîn.
Il
semble que la seule grande autorité à interdire à la femme
d'enseigner la Halokhoh soit l'auteur des Sha'aréi Téshouvoh13.
Néanmoins, l'écrasante majorité des Pôsqîm, tout comme le
Talmoud, permetrtent à une femme d'enseigner la Halokhoh
(dans les domaines qui lui sont permis).
Les
Pirqéi `Ovôth nous disent : « Qui est sage ?
C'est celui qui apprend de tout le monde ». Si quelqu'un
bouche ses oreilles simplement parce que la leçon qu'il a apprise
lui a été enseignée par une femme, cette personne démontre par-là
que son cœur est bouchée à la vérité, car lorsqu'une vérité
est dite, et encore plus dans le domaine de la Tôroh et de la
Halokhoh, on se doit de l'écouter d'où qu'elle vienne. C'est ainsi
que pour conclure, je citerai les propos du Midrosh Tanhoumoh,
concernant la nommination de Dévôroh au poste de juge :
וּדְבוֹרָה
אִשָּׁה נְבִיאָה,
אֵשֶׁת
לַפִּידוֹת--הִיא
שֹׁפְטָה אֶת-יִשְׂרָאֵל,
בָּעֵת
הַהִיא.
וְהִיא
יוֹשֶׁבֶת תַּחַת-תֹּמֶר
דְּבוֹרָה,
בֵּין
הָרָמָה וּבֵין בֵּית-אֵל--בְּהַר
אֶפְרָיִם;
וַיַּעֲלוּ
אֵלֶיהָ בְּנֵי יִשְׂרָאֵל,
לַמִּשְׁפָּט
« Et
Dévorâh était une femme prophétesse, l'épouse de Lappîdôth.
Elle était la juge de Yisro`él à cette époque. Et elle
siégeait sous le palmier de Dévôroh, entre Romoh et Béith-Él,
dans la montagne de `Èfroyim, et les Bénéi Yisro`él montaient
vers elle pour [recevoir] le jugement ».
Que
faisait Dévôroh à cet endroit en proclamant le droit aux
Israélites ? Pînhos
bèn `Èlî'èzèr n'était-il pas encore en vie ?14
Ramenez les cieux et la terre comme témoins : que
ce soit un Gôy ou un Israélite, un homme ou une femme, un
esclave ou une servante, selon les œuvres de chacun la Rouah
Haqqodèsh15
reposera sur eux.
|
Ainsi,
nous voyons qu'HaShem peut choisir qui Il veut, que ce soit un homme
ou une femme, un Gôy ou un Israélite, etc., pour faire passer Ses
messages, en fonction de la droiture et de l'intégrité de chacun !
De ce fait, si une femme est digne de transmettre à d'autres la
parole d'HaShem et la Halokhoh, sans occuper une fonction d'autorité
(rabbine, juge d'un Béith Dîn, reine, cheffe de l'armée, cheffe
d'état, etc.), ni donner l'impression de prendre autorité sur les
hommes, mais qu'elle agit avec modestie, pudeur et discrétion, si ce
qu'elle dit vient d'HaShem ou ne contredit pas la Parole d'HaShem et
la Halokhoh, elle doit être respectée et écoutée comme un homme !
De même si une vérité nous est transmise par un Gôy ou un
esclave, car le sage est celui qui accepte la vérité de toute
personne qui la lui fait connaître.
1Yômo`
6:1 ; Shévou'ôth 4:1 ; Sanhédrîn 3:9
2Dévorîm
17:15
3Étrangers.
4Dévorîm,
Ibid.
5Chef
de Sanhédrîn, ou Chef spirituel d'une ville ou de
l'ensemble du peuple juif.
6Dévorîm,
Ibid.
7Sur
Yévomôth 45b
8Miswoh
n°152
9Birkath
Yôséf, Hôshèn Mishpot
7:12
10Hôshèn
Mishpot 7:5
117:9
12C'est-à-dire,
le « Yôréh Dé'oh ».
13`Ôrah
Hayîm 461:17
14Pourquoi
donc les Israélites se rendaient auprès de Dévôroh au lieu de se
rendre auprès de Pînhos bèn `Èlî'èzèr ?
15L'Esprit
Saint