בס״ד
Coutumes
et lois des Juifs du Yémen, des Talmidhé HaRambam et des Dôr Da´im
Pour
(re)lire la :
4.
Les coutumes relatives à la lecture de la Tôroh
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ד.
ממנהגי
הקריאה בתורה
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article peut être téléchargé ici.
La
lecture de la Tôroh et de la Haftoroh se fait avec le Targoum. De
façon générale, ils ont la coutume qu'un enfant soit le lecteur
du Targoum. Quiconque monte [à la Tôroh] peut procéder à la
lecture en s'aidant des « signes » du Hozzon.
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קריאת
התורה וההפטרה עם תרגום.
בד"כ
נוהגים שילד הוא הקורא את התרגום.
כל
עולה קורא את הקריאה שלו בסיוע "סימנים"
של
החזן
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La
lecture de la Tôroh et de la Haftoroh se fait avec le Targoum :
C'est-à-dire, avec quelqu'un chargé de traduire chaque verset de la
Tôroh ou de la Haftoroh lu par le lecteur, conformément aux
instructions données dans la Mishnoh elle-même. En effet, voici ce
qui est dit dans la Mishnoh :
Maghilloh
4:4
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Celui
qui lit dans la Tôroh [ne lit] pas moins de trois versets. Il ne
lira pas pour le traducteur plus d'un verset [à la fois], et dans
le prophète1
[pas plus de] trois [versets à la fois]. Si ces trois [versets
forment] trois sections [différentes], ils les lisent un à un.
Ils peuvent omettre dans le prophète, mais ils ne peuvent pas
omettre dans la Tôroh. Et jusqu'où peut-il omettre ? Tant
que le traducteur ne s'interrompt pas.
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הקורא
בתורה לא יפחות משלשה פסוקים.
לא
יקרא למתרגמן יותר מפסוק אחד,
ובנביא
שלשה.
היו
שלשתן שלש פרשיות,
קורין
אחד אחד.
מדלגין
בנביא ואין מדלגין בתורה.
ועד
כמה הוא מדלג,
עד
כדי שלא יפסוק התרגמן
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Ces
instructions sont rapportées et développées par le Rambam זצ״ל
dans
son Mishnéh Tôroh, où il écrit ceci :
Hilkhôth
Tafilloh Ouvirkhath Kôhanim 12:10-11
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10.
Depuis
l’époque de ´Azro`, ils2
ont pris l’habitude qu’il y ait un interprète qui traduise
pour la communauté ce que le lecteur lit dans la Tôroh, afin
qu’ils3
comprennent le sujet des paroles [lues. Ainsi,] le lecteur lit
uniquement un verset, reste silencieux jusqu’à ce que
l’interprète l’ait traduit, puis il lit un second verset. Le
lecteur n’a pas le droit de lire plus d’un verset à
l’interprète4.
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י מימות
עזרא נהגו שיהא שם תורגמן מתרגם לעם,
מה
שהקורא קורא בתורה--כדי
שיבינו,
עניין
הדברים.
והקורא
קורא פסוק אחד בלבד,
ושותק
עד שיתרגם אותו התורגמן;
וחוזר
וקורא פסוק שני.
ואין
הקורא רשאי לקרות לתורגמן,
יתר
מפסוק אחד
|
11.
Le
lecteur n’a pas le droit d’élever plus la voix que
l’interprète, et l’interprète ne doit pas élever plus la
voix que le lecteur. L’interprète n’a pas le droit de
traduire avant que le lecteur ait terminé [la lecture du] verset.
Le lecteur n’a pas le droit de commencer un autre verset avant
que l’interprète ait terminé sa traduction. L’interprète ne
doit pas s’appuyer sur un pilier ou sur une poutre, mais se
tient debout, empreint de peur et de crainte. Il ne doit pas
traduire à partir d’un texte écrit, mais traduit par cœur. Le
lecteur n’a pas le droit d’aider l’interprète, afin que
l’on ne dise pas : « la traduction est écrite dans
la Tôroh ». Une personne de moindre envergure peut servir
d’interprète pour une personne de plus grande envergure, mais
il n’est pas respectueux pour une personne de plus grande
envergure de servir d’interprète pour une personne de moindre
envergure. Il ne doit pas y avoir deux traducteurs ; plutôt,
une personne lit, et une personne traduit.
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יא אין
הקורא רשאי להגביה קולו,
יתר
מן המתרגם;
ולא
יגביה המתרגם קולו,
יתר
מן הקורא.
ואין
המתרגם רשאי לתרגם,
עד
שיכלה הפסוק מפי הקורא;
ואין
הקורא רשאי לקרות פסוק אחר,
עד
שיכלה התרגום מפי המתרגם.
ואין
המתרגם נשען לא לעמוד ולא לקורה,
אלא
עומד ביראה ואימה;
ולא
יתרגם מתוך הכתב,
אלא
על פה.
ואין
הקורא רשאי לסייע לתורגמן,
שלא
יאמרו תרגום כתוב בתורה.
והקטן
מתרגם על ידי הגדול,
ואינו
כבוד לגדול שיתרגם על ידי הקטן.
ולא
יהיו המתרגמין שניים כאחד,
אלא
אחד קורא ואחד מתרגם
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Telle
est également la pratique des Talmidhé HaRambam et Dôr Da´im. De
nos jours, dans de nombreuses synagogues où la Paroshoh et la
Haftoroh ne sont plus traduites, la plupart des gens ne savent et ne
comprennent pas même ce qui est lu. Et puisqu'ils ne comprennent pas
un mot de ce qui est lu, beaucoup s'endorment, parlent ou font toute
autre chose durant la lecture de la Tôroh et de la Haftoroh. La
suppression de la traduction systématique de la Paroshoh et de la
Haftoroh est principalement due au fait que la Tôroh se lit
désormais selon un cycle d'un an, alors que dans les temps passés
de nombreuses communautés lisaient la Tôroh suivant un cycle de
trois ans et demi (et telle était la norme en Palestine, en Égypte
et d'autres localités). Le fait de lire la Tôroh selon un cycle
d'un an a pour résultat de rallonger la longueur des Parashiyôth.
Si les Parashiyôth sont très longues, le temps de la lecture sera
davantage rallongé si on devait en plus traduire un à un chaque
verset. Par conséquent, la traduction systématique des versets de
la Paroshoh et de la Haftoroh fut supprimée. Il convient de noter
que la division des Parashiyôth que nous avons aujourd'hui ne
provient absolument pas de nos Sages, mais fut fixée du temps des
Ga`ônim. La seule chose qu'ont exigé HaZaL est que chaque
lecteur doit lire au moins trois versets. (Voir la Mishnoh
susmentionnée, ainsi que le Rambam dans Hilkhôth Tafilloh
Ouvirkhath Kôhanim 12:3.) Par conséquent, il y a un minimum de
vingt-et-un versets à lire chaque Shabboth à la Synagogue
(puisqu'il y a sept lecteurs, trois versets minimum par lecteur
équivaut à minimum vingt-et-un versets par Shabboth). Il n'est pas
nécessaire de lire de longues Parashiyôth comme celles
d'aujourd'hui, qui fatiguent plus qu'autre chose. En outre, les
Parashiyôth d'aujourd'hui sont tellement longues qu'il est
impossible de couvrir l'intégralité des sujets qui y sont traités.
ils
ont la coutume qu'un enfant soit le lecteur du Targoum :
C'est-à-dire, ils permettent à un enfant de remplir le rôle de
l'interprète. Et cela est tout à fait permis par la Mishnoh
elle-même, qui tranche ceci : קטן
קורא בתורה ומתרגם « un
mineur peut lire dans la Tôroh et traduire ».5
Quiconque
monte [à la Tôroh] peut procéder à la lecture en s'aidant des
« signes » du Hozzon :
Le Hozzon est souvent placé à côté du lecteur et peut lui
faire des signes pour lui indiquer quand monter la voix, là où un
verset s'arrête, quand une syllabe doit être rallongée, etc.
Il
convient de signaler que contrairement à la pratique de la majorité
des Juifs, où une seule personne lit pour chaque individu qui monte
à la Tôroh, chez les Juifs yéménites c'est celui qui est appelé
à la Tôroh qui lit lui-même le texte. Et telle est également la
pratique des Talmidhé HaRambam et Dôr Da´im. Et dans le cas où
une seule personne de la communauté saurait lire dans le rouleau,
voici ce que dit le Rambam :
Hilkhôth
Tafilloh Ouvirkhath Kôhanim 12:17
|
Si,
dans une communauté, seule une personne sait lire [la Tôroh],
elle monte et lit [un passage], descend, puis, remonte et lit une
seconde, une troisième [fois, et ainsi de suite,] jusqu’à ce
qu’elle termine le compte de toutes les montées du jour.
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ציבור
שלא היה בהם יודע לקרות אלא אחד--עולה
וקורא ויורד ויושב,
וחוזר
וקורא שנייה ושלישית,
עד
שיגמור מניין הקוראים של אותו היום
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La
pratique d'aujourd'hui qui consiste à appeler sept personnes
différentes à la Tôroh, alors que ce ne sont pas elles qui lisent
mais un Ba´al Qôréh qui lit pour elles, n'est pas du tout valable
d'un point de vue halakhique. Si une personne est appelée à la
Tôroh c'est qu'elle sait lire elle-même dans la Tôroh et devra
donc elle-même lire dans la Tôroh. Mais s'il n'y a que le Ba´al
Qôréh qui sache lire dans la Tôroh, on n'appellera pas sept
personnes différentes pour que le Ba´al Qôréh lise pour elles,
mais on accordera plutôt les sept montées au Ba´al Qôréh
lui-même !
Un
mineur qui sait lire et sait vers qui est-ce qu'on bénit peut
monter [à la Tôroh] parmi le nombre des lecteurs, que ce soit
pour la troisième [montée] ou la septième. Dans de nombreuses
Synagogues ils ont la coutume de particulièrement réserver la
sixième montée à un mineur.
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קטן
היודע לקרוא ויודע למי מברכים עולה
ממניין הקרואים בין לשלושה בין לשבעה.
נהוג
בבתי-כנסת
רבים ליחד את עליית ששי לקטן
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Un
mineur qui sait lire : Dans un rouleau de la Tôroh.
et
sait vers qui est-ce qu'on bénit : C'est-à-dire, il
comprend que c'est HaShem que nous prions et que c'est à Lui que
sont adressées nos bénédictions.
peut
monter [à la Tôroh] parmi le nombre des lecteurs :
Conformément à la Mishnoh susmentionnée, qui permet non seulement
à un mineur de traduire les versets de la Tôroh ou de la Haftoroh
pour la communauté, mais également de compter parmi les lecteurs.
C'est également la pratique des Talmidhé HaRambam et Dôr Da´im,
contrairement à la majorité des communautés juives qui prétendent
que seul un « Bar Miswoh » (un garçon âgé d'au
moins treize ans) pourrait être appelé à la Tôroh ! (Voir
l'article
suivant, où nous avions montré que la « Bar Miswoh »
et les pratiques qui y sont associées n'ont aucune source dans notre
tradition, et qu'un enfant pouvait accomplir quelque Miswoh
qu'il désire avant même l'âge de treize ans.)
Lorsqu'il
est nécessaire de lire dans deux rouleaux de la Tôroh, ils
sortent alors le deuxième rouleau de la Tôroh après que le
premier a été ramené [dans l'arche]. Et au moment où le
[deuxième] rouleau de la Tôroh est ramené [vers] l'arche ils
disent le Psaume « Hashomayim Masapparim Kavôdh `Él ».
Lorsque la lecture dans le premier rouleau a été achevée, ils
disent le « Qaddish », et lorsqu'ils ramènent
[vers l'arche] le deuxième rouleau ils disent le « Qaddish »,
qui sera aussi le « Qaddish » pour Mousof.
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כאשר
צריך לקרוא בשני ס"ת
אזי מוציאים את ס"ת
השני לאחר החזרת הראשון.
ובזמן
החזרת ס"ת
אומרים את המזמור "השמים
מספרים כבוד אל".
בגמר
הקריאה בספר ראשון אומרים קדיש וכשמחזירין
את הספר השני אומרים קדיש והוא גם קדיש
למוסף
|
Lorsqu'il
est nécessaire de lire dans deux rouleaux de la Tôroh :
Comme par exemple à Shabbôth Rô`sh Hôdhash, Shabboth Yôm
Tôv, Shabboth Hanoukkoh, etc. C'est-à-dire, les Shabbothôth
spéciaux où, en plus de la Paroshoh de la semaine, on doit lire
également un passage relatif à la fête qui est tombée ce
Shabboth-là.
ils
sortent alors le deuxième rouleau de la Tôroh après que le premier
a été ramené [dans l'arche] : Telle est également
la pratique des Talmidhé HaRambam et Dôr Da´im, contrairement à
la majorité des Juifs, qui sortent le deuxième rouleau alors que le
premier n'a pas été ramené dans l'arche, et ramènent les deux
rouleaux vers l'arche à la fin de la Haftoroh.
Et
au moment où le [deuxième] rouleau de la Tôroh est ramené [vers]
l'arche ils disent le Psaume « Hashomayim Masapparim Kavôdh
`Él » : C'est-à-dire, le Tahillim 19.
Tout dépendra de la pratique de chaque communauté.
Lorsque
la lecture dans le premier rouleau a été achevée, ils disent le
« Qaddish » : Telle est également la
pratique des Talmidhé HaRambam et Dôr Da´im de réciter le Qaddish
à la fin de la dernière montée à la Tôroh, contrairement à la
pratique de la majorité des communautés juives où le Qaddish est
récitée après la sixième des sept montées à la Tôroh.
et
lorsqu'ils ramènent [vers l'arche] le deuxième rouleau ils disent
le « Qaddish », qui sera aussi le « Qaddish »
pour Mousof : C'est-à-dire, le Qaddish récité
après la fin de la lecture dans le deuxième rouleau de la Tôroh
servira à la fois pour marquer la fin de l'office du matin et le
début de l'office de Mousof. Il convient néanmoins de préciser que
le Talmoudh ne dit pas du tout que l'office de Mousof doit être fait
immédiatement après l'office de Shaharith. En fait, la seule
raison pour laquelle ces deux offices ont été combinés est afin de
ne pas devoir faire revenir les gens à la Synagogue pour prier
Mousof. Mais il est tout à fait permis de prier Shaharith,
puis rentrer chez soi après la lecture de la Tôroh et revenir à la
Synagogue pour prier Mousof, ou encore de prier Shaharith,
marquer une pause (par exemple pour faire le Qiddoush et prendre le
repas de Shabboth) et prier tout de suite après Mousof.
Et
lorsqu'ils sortent trois rouleaux de la Tôroh : après que
la lecture dans le premier rouleau a été achevée, ils disent le
« Qaddish » [et] le ramènent [vers l'arche],
puis ils sortent le deuxième rouleau et après qu'ont ait lu
dedans ils le ramènent [vers l'arche] mais ne disent pas le
« Qaddish », puis ils sortent le troisième
rouleau de la Tôroh et lorsqu'ils le ramènent [vers l'arche] on
dit le « Qaddish », qui est le « Qaddish »
de Mousof.
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כשמוציאים
שלושה ס"ת:
בגמר
הקריאה בספר הראשון אומרים קדיש,
מחזירים
אותו,
ומוציאים
ספר שני ולאחר הקריאה בו מחזירים אותו
ואין אומרים קדיש ומוציאים ספר שלישי
וכשמחזיר אותו אומר קדיש והוא קדיש של
מוסף
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Concernant
les bénédictions de la Haftoroh qui se font après la lecture de
la Haftoroh, la deuxième bénédiction est celle [qui commence
par] « Rahém ´Al Siyyôn »,
et ils la concluent [par] « Boroukh `Attoh `Adhônoy
Bônéh Yarousholoyim ». La troisième bénédiction est
celle [qui commence par] « `Ath Samah
Dowidh Mahéroh Thasmiah »
et ils n'y mentionnent pas `Éliyohou Hannovi`.
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בברכות
ההפטרה שלאחר קריאת ההפטרה הברכה השניה
היא "רחם
על ציון"
וחותמים
את הברכה "ברוך
אתה ה'
בונה
ירושלים".
הברכה
השלישית היא "את
צמח דוד מהרה תצמיח"
ואין
מזכירים בה את אליהו הנביא
|
la
deuxième bénédiction est celle [qui commence par] « Rahém
´Al Siyyôn »,
et ils la concluent [par] « Boroukh `Attoh `Adhônoy Bônéh
Yarousholoyim » : Contrairement aux autres
communautés où cette bénédiction se conclut par ברוך
אתה ה'
משמח
ציון בבניה « Boroukh
`Attoh `Adhônoy Masamméah Siyyôn Bavonaoh ».
La
troisième bénédiction est celle [qui commence par] « `Ath
Samah
Dowidh Mahéroh Thasmiah » :
Les autres communautés juives la font commencer par les mots שמחנו
ה׳ אלהינו באליהו הנביא עבדך
« Sammahénou
`Adhônoy `Alôhénou Ba`Éliyohou Hannovi` ´Avdokh/´Avdékho ».
et
ils n'y mentionnent pas `Éliyohou Hannovi` : Car
cette bénédiction fut à la base composée en l'honneur de Dowidh
Hammalakh ע״ה.
Lors
d'un Rô`sh Hôdhash qui tombe un Shabboth, ils concluent
la dernière bénédiction par « Méqaddésh Hashabboth
WaYisro`él Ouro`shé Hôdhoshim ».
Lors d'un Hôl Hammô´édh qui tombe un Shabboth, ils concluent
la dernière bénédiction par « Méqaddésh Hashabboth
WaYisro`él Wahazzamannim ».
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בר"ח
שחל בשבת חותמים את הברכה האחרונה במקדש
השבת וישראל וראשי חודשים.
בחוה"מ
שנופל בשבת חותמים את הברכה האחרונה
במקדש השבת וישראל והזמנים
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ils
concluent la dernière bénédiction : C'est-à-dire,
la quatrième bénédiction récitée après la lecture de la
Haftoroh.
Il
convient de signaler que nulle part le Talmoudh ne parle de
quelconques bénédictions à réciter avant et/ou après la lecture
de la Haftoroh. En fait, la première source à mentionner ces
bénédictions est le traité post-talmudique de Sôfrim, dont les
décisions ne sont pas toutes acceptées, surtout lorsqu'il s'agit de
règles non mentionnées dans le Talmoudh lui-même. Par conséquent,
il n'y a en soi aucune obligation de réciter ces bénédictions. On
pourrait même dire qu'il est interdit de le faire, car il y a un
doute quant à savoir s'il est permis d'accepter des bénédictions
ultérieures au Talmoudh sur des choses pour lesquelles nos Sages
n'ont pas décrété qu'elles nécessitaient une bénédiction !
1C'est-à-dire,
la Haftoroh
2Les
Israélites
3Les
fidèles
4De
crainte que l'interprète en soit troublé
5Maghilloh
4:6