dimanche 18 janvier 2015

Porter un Shaytel est de la pure farce

בס״ד

Porter un Shaytel est de la pure farce !


Mon opinion est que le Shaytel1 est interdit sous toutes ses formes et couleurs et que c'est une méthode du ´Érav Rav pour souiller le peuple d'Israël.

Certains grands Rabbonim des générations passées ont permis l'usage de Shaytelakh. Mais c'était parce qu'avec l'émancipation dez Juifs, de nombreuses femmes ne désiraient plus se couvrir la tête d'un foulard. Pour remédier à cela, ils ont alors permis d'utiliser des Shaytelakh. Mais les Shaytelakh de ces temps-là étaient laids et ressemblaient très peu à des cheveux humains. De nombreuses personnes, parmi lesquelles des Hasîdîm appartenant à des communautés tout à fait honorables, utilisent de travers ces opinions pour justifier leur recourt aux Shaytelakh modernes.

Les perruques des générations passées étaient horribles et ressemblaient souvent à de la fourrure étrangère que l'on avait déposée sur la tête. Les perruques d'aujourd'hui sont créées au moyen de technologies très sophistiquées et ressemblent exactement à de vrais cheveux. En outre, au look réaliste des Shaytelakh d'aujourd'hui s'ajoute le fait qu'ils sont souvent coupés et modélisés pour ressembler aux styles impurs, impudiques et inappropriés de la culture occidentale moderne.

Le Shaytel est sans aucun doute l'une des coutumes de la vie juive moderne la plus étrange. Peu importe les nombreux articles ridicules que de nombreuses Rebbetzin et blogs religieux rédigent pour justifier et rationaliser cette pratique, elle n'est pas normale, ni saine.

Le Shaytel est tout sauf Sanî´outh (pudique). Ce qui est ironique, puisque l'une des raisons du principe de « Kîssouy HaRô`sh » (couvrir la tête) est la pudeur. Toutes ces personnes qui défendent le Shaytel, lorsqu'on leur demande pourquoi les femmes Juives doivent couvrir leurs cheveux, répondent très justement que dans le Judaïsme, les cheveux de la femme sont considérés érotogènes et sensuels. Mais comment éviter alors de séduire en remplaçant ses cheveux naturels par des cheveux ayant poussé sur les têtes d'autres femmes, et qui s'avèrent souvent être plus beaux encore que ses propres cheveux ? Cela n'a aucun sens, et l'argument moral est totalement absent !

Mais le problème est pire encore, parce que lorsqu'on confronte les défenseurs du Shaytel sur ces paradoxes, la réponse qu'ils apportent est « Je ne fais que suivre la Halokhoh ! » C'est totalement faux ! La raison première pour laquelle la majorité des femmes portent le Shaytel est afin d'être vues comme « Madame tout le monde », ne pas être « confondues » avec des Musulmanes si elles portaient le foulard ! C'est une réalité lorsqu'on prend la peine de discuter avec les femmes Juives qui refusent de porter le foulard plutôt que la perruque. Porter le Shaytel n'a donc rien à voir avec la Halokhoh, mais est simplement une mesure sociale. Le Shaytel n'a pas de place dans le Judaïsme ! C'est une corruption de notre culture, de nos traditions ! Nos femmes n'ont jamais porté de Shaytelakh, mais des foulards et des voiles.

Le Shaytel représente tout ce qui ne va pas dans le Judaïsme Orthodoxe d'aujourd'hui ! Une pratique sans tête ni queue, déconnectée de la moralité de notre religion, suivie par un troupeau de moutons qui n'ont plus de cerveau pour réfléchir et voir que quelque chose ne va pas dans cette pratique. Et tout cela est fait au nom de la Halokhoh !

Ces derniers jours, lorsqu'on regarde ce qui se passe au sein du Judaïsme Orthodoxe d'aujourd'hui, que ce soit chez les « Modern Orthodox » ou chez les « Harédîm », on peut se demander ce que signifie encore le terme « Halokhoh ». Mais une chose est certaine, le Shaytel et tout ce qui va avec, n'a rien à voir avec la Tôroh et le Judaïsme. Ce n'est pas beau, ce n'est pas spirituel, ce n'est pas inspirant, et ce n'est pas bien !

Comme cela avait été dit dans l'article intitulé « Renverser la hiérarchie », les Juifs Orthodoxes ont inventé la doctrine des « Grands de la Génération », qu'ils ne suivent en réalité que lorsque leurs avis vont dans le sens de ce qu'ils veulent entendre. Autrement, même les paroles de ces pseudos « Grands de la Génération » sont ignorées. Le port du Shaytel est un autre exemple pour illustrer cette hypocrisie, car voici quelques-uns des Rabbonim Harédim les plus influents, qui ont tous condamnés à l'unisson l'usage des Shaytelakh modernes, mais dont les paroles sont tout simplement ignorées par la masse, qui préfèrent n'en faire qu'à sa tête, et écouter les pseudos « Grands de la Génération » que lorsque cela les arrange :.

Rabbi Shalômôh Zalman Auerbach
Avant, quand une femme portait un Shaytel, cela se voyait par tous, même de très loin, que c'était une perruque. Elle avait une apparence qui ressemblait à des fibres de lin, comme de la paille. Aujourd'hui, à cause de nos énormes péchés, on ne peut faire la différence, si c'est une perruque ou pas. Par conséquent, le port du Shaytel est abominable à mes yeux. On peut comparer cela à quelqu'un qui fait tout ce qu'il peut pour qu'on en arrive à la conclusion que sa nourriture est Traif. De même, ces femmes font tout ce qu'elles peuvent pour qu'on en arrive à la conclusion que leurs cheveux ne sont pas couverts. Par conséquent, c'est très dégoûtant à mes yeux.

Rabbi Sholôm Shabadran
Les opinions permettant l'usage de Shaytelakh ne faisaient référence qu'aux Shaytelakh qui ressemblaient à des poils de bouc. Les Shaytelakh d'aujourd'hui font ressembler les femmes mariées à des femmes célibataires, comme si elles marchaient la tête découverte.2 Qui a permis un tel acte de Prisouth3 ? C'est une Houspoh4 qui dépasse toutes les limites ! Une telle chose n'a jamais été permise par les Rabbins. Il n'est même pas croyable qu'un Rov ou un craignant D.ieu puisse permettre une chose si impure !

Rabbi Shamou`él HaLéwî Vosner
Les filles d'Israêl doivent faire extrêmement attention au commandement leur enjoignant de couvrir leur tête, qui est un Da`oraytho`. Pour l'amour de la sainteté des âmes du peuple Juif, elles doivent être très Sanî´outh. Elles ne doivent pas, Hos WaSholôm, porter les diverses perruques modernes qui ne sont pas différentes du fait de marcher la tête découverte.

Malheureusement, à cause de nos nombreux péchés, beaucoup de femmes qui couvrent leurs cheveux ne ressemblent pas du tout à des femmes Harédîyôth, mais plutôt à une simple femme de la rue qui n'a rien dans la tête. Elle ne ressemble pas à une Bath Yisro`él, ni à la femme d'un Bèn Tôroh. Elle est plutôt comme une fille [ordinaire] de Paris.

Rabbi Hayîm Kanievsky
« La raison pour laquelle les Rabbins antérieurs ont permis les Shaytelakh était parce qu'on pouvait faire la différence. Si on ne peut pas faire la différence, on doit être strict. »

Quand on lui a montré un certain nombre de Shaytelakh modernes, il a dit : « Ce ne sont pas de tels Shaytelakh dont les Rabbins qui ont permis parlaient, et les Pôsqîm n'ont jamais eu de divergences à ce sujet. Les Shaytelakh qui ressemblent à des cheveux naturels sont interdits à cause du Marith 'Ayin, tout comme les perruques qui n'ont pas totalement une apparence naturelle. Si à cause de leur forme elles amènent les hommes à regarder et à avoir des pensées impures, les Rabbins de notre générations doivent en interdire l'usage ».

Le Hozzôn `Îsh et le Steipler Go`ôn
Ils étaient tous les deux opposés au port du Shaytel et faisaient la promotion de la Mithpohath5, comme cela se voit de la décision prise par le Steipler Go`ôn de ne pas acheter de Shaytelakh à ses filles pour leur mariage. Il lança également de nombreux avertissements à Rabbi Gadalyoh Nadel, un disciple du Hozzôn `Îsh, pour qu'il s'y oppose et combatte celles qui en portent.

Le Brisker Rov
Il préférait le port de la Mithpohath. Son fils, Rabbi Dowîd Saloveitchik, a rapporté en son nom que « Le Hétér6 du Shaytel était faible ! »

Rabbi Menahem Shach
Il préférait le port de la Mithpohath, comme l'ont attesté de nombreux Talmidéi Hakhomim. Il insista également pour que sa femme ne porte qu'une Mithpohath, mais jamais de Shaytel.

Rabbi Shamou`él Auerbach, fils du Rav Shalômôh Zalman Auerbach
« Mon père désirait ardemment que les filles d'Israël couvrent plus particulièrement leurs têtes avec une Mithpohath. Il souffrit énormément à cause du fait que les Shaytelakh s'étaient répandus à travers la communauté juive. »

Ailleurs, il écrit : « J'ai déjà rendu célèbre l'élément important qui est l'un des fondements de la sainteté et de la pureté du peuple Juif, de la beauté et du charisme des filles d'Israël : à savoir, que les femmes Juives doivent couvrir leurs têtes avec une Mithpohath. Filles d'Israël, soyez fortes ! Ne soyez pas embarrassées par celles qui vous humilient et vous rendent faibles. Ramenez vers vos têtes la fierté de la beauté et de la Sanî´outh et vous serez bénies en vous réalisant et par la paix de la sainteté ».

Rabbi Yôséf Sholôm Elyashiv
On lui demanda un jour si nous pouvions faire confiance aux vendeurs de perruques qui affirment que leurs perruques peuvent être portées. Il a répondu : « Rasho´îm7 ! Menteurs ! Il ne faut pas les croire ! »

À une autre occasion, il a déclaré : « Il est pourtant une chose claire que couvrir sa tête avec une Mithpohath est de loin mieux qu'utiliser un Shaytel ».

Le Rov bénissait systématiquement toutes les femmes qui avaient fait le choix d'abandonner leurs Shaytelakh. Il donna la permission de répandre en son nom que « les Shaytelakh d'aujourd'hui sont une abomination ! »

Rabbi Nissim Karelitz
Dans une lettre, il écrit : « Aux filles pures d'Israël, heureuses êtes-vous pour avoir sanctifié le Nom des Cieux. Notre cœur était dans la joie d'entendre que bon nombre de femmes ont accepté sur elles de retourner à la tradition originelle du peuple Juif et de couvrir leur tête avec une Mithpohath plutôt qu'un Shaytel, étant donné que la majorité des nouveaux Shaytelakh ne respectent pas les critères de Sanî´outh ».

Le Viznitser Rebbe
Je viens renforcer ces femmes vaillantes qui sont passées d'un Shaytel à une Mithpohath, et je les bénis

Rabbi Doun Segal
Nous voyons qu'en ce qui concerne les Shaytelakh, HaShem a pitié de nous et cause de nombreuses catastrophes afin qu'on s'en éloigne. Là maintenant, les Cieux proclament : « Éloignez-vous de la ´Avôdoh Zoroh ! »

Il est évident que nous devons nous améliorer dans ce domaine. Plus particulièrement parce que nous sommes témoins de nombreux accidents, Hos WaSholôm ! Ce n'est pas simple. Cela doit être une demande des Cieux que nous ne portions pas de Shaytelakh.

Beaucoup d'hommes viennent me voir et disent qu'ils ont échoué au test de la tentation des femmes Harédîyôth qui se promènent dans ces Shaytelakh et vêtements. C'est horrible ! Qui peut prendre sur lui la responsabilité d'une pensée impure ? Penser à la femme d'un homme est comme un feu. Nous sommes témoins de la destruction de nombreuses choses saintes ces derniers temps. Givald8 !!! Nous devons corriger et mettre fin au problème du Shaytel !

Rabbi Sender Arlinger
Les Shaytelakh d'aujourd'hui, qui ne sont ni Koshér, ni Sanî´outh, se sont répandus. Ils excitent le Yésér Horo´ plus intensément encore que des cheveux naturels. La preuve en est que même les femmes non-Juives en portent pour le style. Il s'avère que la raison même pour laquelle la Tôroh nous a ordonné de couvrir les cheveux pour la Sanî´outh a été annulée. Il semble clair que tous les Pôsqîm qui ont permis l'usage du Shaytel retireraient complètement aujourd'hui leur Hétér et mettraient sans aucun doute un certain nombre de limites afin d'empêcher l'usage de ces Shaytelakh. Les Shaytelakh qui furent permis ne se rapprochaient en rien des Shaytelakh qui existent à présent.

Pasaq Halokhoh du Béith Dîn Sadaq de la ´Éidoh HaHarédîth de Yarousholayim
Il est bien connu et reçu de génération en génération par les anciens résidents de Yarousholayim ´Îr Haqqôdash, puisse-t-elle être rebâtie prochainement, `Omén, qu'ils ont suivi l'opinion des Pôsqîm qui interdisent aux femmes de porter des perruques.

Sans entrer dans les arguments de ces Pôsqîm, et sans s'attarder sur ce qui est devenu normal de nos jours, à cause de nos nombreux péchés, à savoir que des femmes mariées portent des perruques qui leur font paraître comme des femmes célibataires, il convient de noter que ces sortes de perruques ne possèdent aucune autorisation dans les écrits des Pôsqîm.

Et à présent, nous sommes venus vous révéler à travers ce Pasaq notre opinion, l'opinion de la Tôroh : les cheveux qui viennent d'Inde sont coupés afin d'être offerts à la ´Avôdoh Zoroh, dans leurs maisons d’idolâtrie. Et nous savons qu'ils sont fortement attachés à la ´Avôdoh Zoroh. Nous interdisons donc d'en tirer profit !

Pour ceux qui écouteront, puissent-ils être heureux et que de bonnes bénédictions tombent sur eux.

Le Béith Dîn Sadaq, ici, à Yarousholayim ´Îr Haqqôdash.

Môshah Sternbuch
Môshah Halberstam
Yishoq Touvia Weiss
Meri Bransdofer
`Avrohom Yishoq Ullman

Le Rambam זצ״ל et le Séfèr HaHinoukh attestent effectivement que la pratique des idolâtres consistant à couper leurs cheveux afin de les consacrer à une idole est très ancienne.

Rabbi ´Ôvadyoh Yôséf
Concernant les femmes qui portent des perruques, il a affirmé « elle et sa perruque brûleront en enfer ! »

Il a ajouté que si une femme porte une perruque à l'intérieur d'une Synagogue, elle et son mari doivent être excommuniés : « Comment peut-elle prier à Rô`sh HaShonoh, alors qu'elle porte une perruque ? Si la femme aspire à avoir des enfants intègres, qu'elle retire la perruque ; sinon, elle aura des enfants impertinents ».

Le Baba Salé, Rabbi Yisro`él Abouhasera
Et la femme qui porte des perruques, même une petite, elle est en train de préparer le bucher sur lequel elle sera brûlée dans le Geihinnom !

Rabbi Môshah Sternbuch
Concernant la question que beaucoup posent au sujet des perruques fabriquées à partir de cheveux Européens, il a été démontré que la majorité d'entre elles sont en fait fabriquées à partir de cheveux Indiens provenant de la ´Avôdoh Zoroh.

J'ai une liste de 91 Gadôlim parmi les Pôsqîm de tous les pays et de toutes les époques qui ont interdit l'usage de la perruque sous toutes ses formes, tailles, couleurs, origines, etc.

En outre, si vous pensiez qu'il y avait des exagérations dans le business de la Kashrouth, sachez que c'est pire encore dans le business des « Shaytelakh orthodoxes ». En effet, un Shaytel peut coûter entre 1000 et 5000 € ! Vérifiez par vous-mêmes :

  • http://sheitel.com (site « orthodoxe » de vente de Shaytelakh)
  • http://www.mcwigs.com (ce site n'est pas Juif, mais à la page d'accueil, ils se vantent de vendre tous les jours des perruques à des femmes de confession juive. Ils font partie des plus grands fournisseurs de perruques à la communauté juive. Aucune de leurs perruques n'est Sanî´outh)
  • http://www.lenaswigs.com (site « orthodoxe » de vente de Shaytelakh. Là, on touche le fond de la l'impudicité rien qu'en voyant les perruques des trois femmes qui servent de modèles sur leur page d'accueil)

Conclusion :

L'opinion des Pôsqîm est sans équivoque : il faut utiliser une Mithpohath et non un Shaytel.

Voici à présent un nombre de raisons supplémentaires pour lesquelles il convient d'utiliser une Mithpohath plutôt qu'un Shaytel :

  • l'écrasante majorité des Pôsqîm interdisent catégoriquement de porter un Shaytel
  • toute personne sincère et clairvoyante n'a pas besoin de dessin pour comprendre qu'un Shaytel est tout sauf pudique
  • il est plus facile d'empêcher ses cheveux de glisser avec une Mithpohath. Même lorsque des cheveux glissent, la femme le remarque et peut les remettre dans la Mithpohath, tandis qu'avec un Shaytel, la femme ne le remarque même pas
  • les perruques d'antan n'étaient pas faites de cheveux pour la plupart d'entre elles (par exemple, les Égyptiens portaient des perruques constituées de plantes tressées ou de crin). Comment une femme peut-elle croire qu'elle réalise la Miswoh de couvrir ses cheveux en les couvrant...avec des cheveux, qui souvent proviennent de la tête de femmes idolâtres ?
  • de nombreux Rabbins ont démontré que les étiquettes de « Kashrouth » qui affirment que la perruque ne contient pas de cheveux venus d'Inde sont mensongers
  • la Tôroh interdit de provoquer un Hilloul HaShem devant les non-Juifs, mais exhorte au contraire à provoquer un Qiddoush HaShem parmi eux. Or, le Shaytel peut être une cause de Hilloul HaShem, car lorsque les non-Juifs voient que des Harédim/Hasîdîm portent des Shaytelakh, qui sont même plus beaux que des cheveux naturels, ils comprennent de là que la Tôroh peut être négligée pour des considérations personnelles (car la vérité est que la quasi totalité des femmes religieuses qui portent le Shaytel le font pour ne pas porter le foulard, par crainte d'être confondues à des Musulmanes, ce qui n'est pas une raison valable pour ne pas porter le foulard), alors que les non-Juifs savent pertinemment bien qu'une femme Juive est sensée porter un foulard
  • le Shaytel est une des raisons pour lesquelles les non-Juifs ne nous prennent pas au sérieux
  • une Mithpohath est de loin moins cher qu'un Shaytel. Plutôt que de gaspiller votre argent pour un Shaytel à 800, 900, 1000 € ou plus, donnez l'intégralité de cette somme à la Sadoqoh. Ce sera un meilleur investissement.
1Perruque
2Pour des articles sur l'obligation de se couvrir la tête, que l'on soit mariée ou célibataire, voir ici, , et .
3Débauche.
4Acte de culot.
5Le foulard.
6La permission
7Impies.

8Ça suffit !
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