vendredi 6 février 2015

Préserver sa santé d'un point de vue halakhique

בס״ד

Préserver sa santé d'un point de vue halakhique


  1. Introduction

Le sujet de la santé est traité en long et en large de nos jours dans les magazines médicaux et d'autres publications non religieuses. Cet article ne traitera pas de conseils médicaux donnés par les non-Israélites et la presse spécialisée, mais de l'obligation de préserver notre santé en général, et ne se basera uniquement que sur les écrits trouvés dans le Talmoud, les Ri`shônim et les `Aharônim. Le Rambam זצ״ל, plus particulièrement, a publié de nombreuses informations très précieuses dans le domaine de la santé physique, dont des livres entiers. Nous citerons certains de ses enseignements. Nous avons tout ce dont nous avons besoin dans nos propres sources, autant en faire usage !

La nourriture joue un rôle majeur dans nos vies. Nous consommons trois repas à Shabboth, sans compter la Malawah Malkoh. Nous mangeons également beaucoup pour les Yômim Tôvim, les Tano`im, les Qiddoushin, et autres occasions joyeuses. Il peut être difficile de préserver sa santé lorsqu'on ne fait pas attention à ce que l'on mange et aux quantités de nourriture ingurgités. Et pourtant, nous semblons ignorer que la Tôroh nous ordonne de contrôler notre façon de manger afin de préserver notre santé. Nous allons parcourir ensemble ces sources.

  1. Les sources de la Miswoh de préserver sa santé

Il existe de très nombreuses sources dans la littérature religieuse qui traitent de l'importance de préserver sa santé.

Par exemple, le Rambam écrit :

Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:1-2
1. Étant donné que le maintien d’un corps en bonne santé et vigoureux fait partie des voies d'HaShem – puisqu’il est impossible, en étant malade, de parvenir à une quelconque compréhension ou connaissance d'HaShem – il appartient à l’homme de s’éloigner de tout ce qui est nuisible pour le corps, et prendre des habitudes qui sont bénéfiques pour sa santé et sa vigueur. Ces [règles d’hygiène de vie] sont :
א  הוֹאִיל וַהֲוִיַּת הַגּוּף בָּרִיא וְשָׁלֵם, מִדַּרְכֵי ה' הוּא, שֶׁהֲרֵי אֵי אִפְשָׁר שֶׁיָּבִין אוֹ יֵדַע, וְהוּא חוֹלֶה--צָרִיךְ אָדָם לְהַרְחִיק עַצְמוֹ מִדְּבָרִים הַמְּאַבְּדִין אֶת הַגּוּף, וּלְהַנְהִיג עַצְמוֹ בִּדְבָרִים הַמַּבְרִים הַמַּחֲלִימִים; וְאֵלּוּ הֶן
2. Un homme ne doit manger que lorsqu’il a faim, et boire que lorsqu’il a soif. Il ne doit pas contenir ses besoins même un instant, mais doit, dès qu’il a besoin d’uriner ou de déféquer, le faire immédiatement.
ב  לְעוֹלָם לֹא יֹאכַל אָדָם, אֵלָא כִּשְׁהוּא רָעֵב; וְלֹא יִשְׁתֶּה, אֵלָא כִּשְׁהוּא צָמֵא. וְאַל יַשְׁהֶה נְקָבָיו, וְאַפִלּוּ רֶגַע אֶחָד, אֵלָא כָּל זְמָן שֶׁצָּרִיךְ לְהַשְׁתִּין אוֹ לְהָסֵךְ אֶת רַגְלָיו, יַעֲמֹד מִיָּד

Ces propos du Rambam sont repris presque mot pour mot dans le Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:1.

Le ²Ritvo`1 זצ״ל dit que l'on ne doit jamais consommer des aliments qui ne sont pas sains pour le corps. Le Séfar HaHinoukh2 זצ״ל explique que l'on ne peut pas se causer du tort et mettre notre vie en danger parce qu'HaShem nous a accordé une âme pure et Divine qui réside dans le corps, ce qui fait du corps une entité sacrée. Or, pour protéger l'âme Divine qui est en nous, nous devons protéger le corps, qui est le réceptacle de cette âme Divine. Le Ba`ér Haggôloh3 זצ״ל dit qu'HaShem a créé le monde avec bonté dans le seul but de faire du bien à Ses créatures. Par conséquent, si l'on se met en danger, on sous-entend par-là que l'on ne veut pas du bien qu'HaShem a désiré nous donner. Il conclut donc qu'il n'existe pas de plus grand `Apiqôrés (hérétique) qu'une telle personne !

Le Tour זצ״ל dit : « Il est une Miswoh de se préserver en s'assurant de rester en bonne santé afin de servir HaShem ».4

  1. Ce que je mange n'a pas d'importance

De nombreuses personnes disent que ce qu'elles mangent n'a pas d'importance, car au final c'est HaShem Lui-même qui décidera combien d'années elles vont vivre. Par conséquent, puisque tout est entre les mains d'HaShem, disent-elles, il n'est pas nécessaire de faire le choix de ne consommer que des aliments sains. Mais c'est une supposition erronée. Bien que la Gamoro` affirme effectivement qu'il n'est pas possible de faire mal à sa main sans que cela n'ait été ordonné à l'avance par HaShem5, personne ne peut se causer du tort volontairement, même si cela était la volonté d'HaShem. De la même manière, bien que celui qui est tombé du toit et est mort à la suite de sa chute était destiné à mourir de cette façon, si le propriétaire de la maison de laquelle cette personne est tombée n'avait pas installé de garde-fou sur son toit, la Tôroh considère qu'il est coupable de la mort de cette personne. Tout cela est bien résumé par le Midrosh6 qui dit que la maladie et la mort sont dues à 99% à de la négligence et seulement à 1% par décret des Cieux. Les commentateurs définissent le terme « négligence » employé dans ce Midrosh comme se référant par exemple au fait de ne pas s'habiller chaudement en hiver (ce qui amène à attraper un rhume), ou encore de ne pas se soucier de sa diète. Ainsi, les gens ne peuvent pas dire que c'est le Ciel qui leur a fait attraper le rhume. Ils l'ont attrapé parce qu'ils ont été négligents ! (Évidemment, HaShem aurait pu faire en sorte qu'ils n'attrapent pas le rhume. Mais c'est un autre sujet.) La Gamoro`7 dit également que 99% des gens meurent avant leur temps, et seulement 1% meurent aux temps où ils étaient destinés à mourir. Il est donc évident qu'il est possible de mourir avant son temps, non pas forcément parce que c'est ce que voulait HaShem, mais par négligence et d'autres facteurs.

Le Séfar Hasîdîm8 dit qu'un Ba'al Kas (quelqu'un de colérique) n'a pas de vie et mourra avant son temps, car la colère raccourcit les jours. Là encore, nous voyons que si une telle personne meurt avant son temps, ce n'est pas parce qu'HaShem l'a voulu, mais parce que lui-même a contribué à raccourcir sa vie. De même pour celui qui fume, qui est un casse-cou, etc.

Le Hôvôth Hallavovôth9 cite une Gamoro`10 selon quoi il est interdit de se tenir volontairement dans un lieu de danger et penser qu'un miracle se produira, parce que peut-être que le miracle ne se produira pas. D'ailleurs, celui qui le fait transgresse l'interdiction de mettre HaShem à l'épreuve. Et si jamais un miracle a lieu, cela diminuera drastiquement ses propres mérites. Ce concept s'applique également à celui qui néglige volontairement sa santé et ne se soucie pas de ce qu'il mange, sous prétexte que de toute façon tout est entre les mains d'HaShem.

Le Ma´avar Yabbôq11 זצ״ל dit que celui qui suit ses propres désirs (et consomme donc ce qu'il veut, même ce qui est nocif pour sa santé) est comparable à quelqu'un qui commet un suicide. Par conséquent, il aura des comptes à régler avec HaShem au jour du jugement !

  1. La digestion et les excès de table

Nous allons à présent parler de la digestion (étant donné que la majorité de notre santé dépend d'elle) et des excès de table d'un point de vue halakhique.

Le Rambam énonce une règle très importante pour la préservation d'un corps sain :

Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:19
Il est une autre règle fondamentale pour la santé du corps qu'ils ont énoncée : tant qu’un homme fait des exercices et beaucoup d’efforts, et n’est pas rassasié12, et ses intestins sont relâchés, il n'est pas proie aux maladies, et sa force s’accroît, même s’il mange de mauvais aliments.
וְעוֹד כְּלָל אַחֵר אָמְרוּ בִּבְרִיאַת הַגּוּף: כָּל זְמָן שֶׁאָדָם מִתְעַמֵּל וְיָגֵעַ הַרְבֵּה וְאֵינוּ שָׂבֵעַ, וּמֵעָיו רָפִים--אֵין חֹלִי בָּא עָלָיו וְכוֹחוֹ מִתְחַזֵּק, וְאַפִלּוּ אָכַל מַאֲכָלוֹת הָרָעִים

  1. La digestion

Une étude du système digestif amènera automatiquement le croyant à la Yir`ath Shomayim. Le Rambam13 et d'autres14 disent que la majorité de l'état de santé et des maladies du corps dépend de la manière que les gens ont de digérer leurs nourritures. Celui qui le fait de la façon appropriée sera quelqu'un de sain, tandis que celui qui ne le fait pas comme il faut sera quelqu'un de faible physiquement et pourrait se mettre en danger.

Le Qisour Shoulhon ´Oroukh15 dit que la digestion est bonne si la nourriture est facile à digérer.16 On doit consommer les aliments légers avant les aliments lourds.17 Un estomac plein ne peut pas digérer correctement la nourriture, parce qu'il ne peut pas broyer comme il faut la nourriture.18

Le commencement du processus de digestion prend place dans la bouche, lorsque les dents broient la nourriture et la mélangent à la salive. Par conséquent, on ne doit pas avaler la nourriture solide sans l'avoir d'abord mâchée.19 Il n'y a pas de mixer dans l'estomac, de ce fait le travail de l'estomac sera beaucoup plus facile si on mâchait correctement sa nourriture avant de l'avaler. Puisque mâcher est si important, on doit s'abstenir de parler tout en ayant de la nourriture en bouche. En plus du danger de s'étouffer, cela empêche de mâcher trop rapidement. Lire tout en mangeant empêche aussi de mâcher correctement. On ne doit pas non plus placer de la nourriture dans sa fourchette tout en mâchant, parce qu'on avalera la nourriture trop rapidement en voyant la nourriture prête à être consommée dans sa fourchette.20

Afin d'aider la digestion, on doit boire un peu tout en mangeant.21 Le début du processus de digestion prend environs deux heures, lorsque l'estomac produit certaines enzymes qui aident à décomposer la nourriture. Trop de liquides dilue les enzymes, ce qui rend la digestion plus difficile.22

On doit être de bonne humeur et non pas plein de colère, de crainte ou d'inquiétude lorsqu'on mange.23

  1. Les excès de table

Il n'est pas nécessaire de mentionner les études médicales qui ont été faites sur les excès de table. Le fait est que la majorité des gens sont en surpoids parce qu'ils mangent trop. Le Rambam dit24 que la majorité des maladies se produisent soit parce que l'on ne mange pas les bons aliments, soit parce qu'on mange beaucoup trop, même si l'on mange des aliments sains. L'obésité nuit gravement au corps : elle le rend léthargique, perturbe son fonctionnement, et entrave ses mouvements.

Les effets des excès de table peuvent se comprendre par l'analogie suivante : si une machine à laver est remplie de vêtements au-delà de sa capacité normale, les vêtements ne seront pas correctement lavés. De même, lorsqu'on mange trop notre estomac est trop rempli et ne peut pas correctement décomposer la nourriture.25

Rabbénou Yônoh זצ״ל dit que les excès de table sont une vraie calamité pour le corps.26

On doit manger jusqu'à ce que son estomac soit rempli à un quart.27 Le Hofés Hayîm זצ״ל dit28 que l'on ne doit manger de bons aliments que par nécessité pour son bien-être, et non pour le plaisir. On ne devrait manger que pour se renforcer afin de mieux servir HaShem.

Il n'est pas permis de manger comme un animal et remplir son estomac, et il ne convient même pas de réciter un « ´Al Hammihayoh » après avoir mangé ainsi.29

  1. Faire de l'exercice physique

Il existe de nombreuses études non-Israélites sur les bienfaits de l'exercice physique. Il est très difficile pour quelqu'un qui étudie toute la journée à la Yashivoh, ou pour un employé de bureau qui passe toute sa journée devant l'écran d'un ordinateur, de marcher et faire de l'exercice. Et pourtant, les médecins sont d'accord sur le fait que l'outil principal pour prévenir les maladies est l'exercice physique.

Ya´aqôv `Ovinou ע״ה, qui lui aussi était assis et étudiait toute la journée dans les tentes de sa mère30, fut néanmoins capable de se battre contre un ange et de l'emporter.31 En outre, il fut capable de retirer à lui tout seul une énorme pierre qui bouchait l'ouverture d'un puits.32

Les jeunes Israélites des temps bibliques servaient dans l'armée à l'âge de vingt ans.33 Certaines personnes étaient expertes dans le lancer de pierres.34 Et nous avons d'autres versets du TaNaKh qui traitent de certains exercices physiques et de leur valeur35, ainsi que des passages talmudiques qui parlent de natation, de l'art de manier l'épée, etc.36

  1. Courir

Dans les temps bibliques, courir était considéré comme une activité physique très importante, et l'un des critères pour pouvoir être admis dans l'armée israélite.37 Un homme de la tribu de Binyomin fut capable de courir sur la longue distance séparant Afeq de Shîloh en une journée afin d'informer le Kohen d'une nouvelle importante.38

Dans les temps talmudiques, courir était considéré comme une forme d'exercice physique, mais également à des fins profanes. Il était important de savoir courir, vite et pour de longues distances si possible. C'était une activité tellement valorisée que les Sages ont permis de courir à Shabboth si c'est afin d'exercer son corps.39 Par contre, courir à Shabboth pour une raison autre que faire de l'exercice n'est pas permis.40

  1. Marcher

Marcher pour exercer son corps est une pratique israélite qui remonte aux temps les plus lointains. On marchait tellement pour faire de l'exercice physique que l'homme moyen des temps talmudiques était capable de parcourir à pied 10 parso`'ôth en une seule journée.41 Marcher et se promener à Shabboth est permis, parce que cela fait partie du plaisir du Shabboth.42

  1. S'exercer jusqu'à transpirer

Comme cela a été mentionné plus haut, le Rambam dit43 que si on fait régulièrement des exercices physiques (et qu'on s'habitue à ne pas remplir son estomac), on ne tombera pas malade et notre force augmentera même lorsqu'on mangera, à l'occasion, de mauvais aliments. Il écrit que celui qui est oisif et ne fait pas de sport ou d'exercice sera malade toute sa vie, même s'il mange de bons aliments. Le Rambam définit « faire de l'exercice » comme étant des mouvements physiques qui altèrent la respiration, ce qui résulte en une respiration plus profonde et à une accélération des battements du cœur plus que d'habitude.

Ce serait magnifique si chaque Yashivoh était dotée d'une salle dans laquelle les garçons pourraient faire de l'exercice physique, ou même se rendre dans une salle de sport pour jouer au ballon, ou faire du tapis roulant. Cela ne les aiderait pas qu'au niveau de leur santé (il y a un surpoids terrible au sein de la communauté religieuse), mais également dans leurs études.

  1. Faire de l'exercice avant de manger

La meilleure chose à faire avant de manger consiste à faire un peu d'exercice physique. Le Rambam écrit qu'il convient de marcher suffisamment longtemps que pour que le corps se réchauffe, ou s'adonner à un travail ou tout autre effort semblable avant de manger.44 On trouve une allusion à cela dans le verset suivant45 : בְּזֵעַת אַפֶּיךָ, תֹּאכַל לֶחֶם « À la sueur de ton front tu mangeras ton pain », c'est-à-dire, « Transpire d'abord, et seulement alors mange ! ».

  1. Manger avant de faire de l'exercice physique

Par contre, il ne convient pas de manger avant de faire de l'exercice physique46, parce que la nourriture ne sera pas digérée correctement. On doit attendre deux heures avant de faire de l'exercice après un repas. La même règle s'applique lorsqu'on compte dormir après avoir mangé.47

  1. Conclusion

Nous avons présentés de nombreuses sources halakhiques sur l'importance et la façon de maintenir sa santé. On ne doit pas prendre ce sujet à la légère. On a l'obligation de faire tout ce que l'on peut afin de jouir d'une vie longue et saine dans ce Monde-ci.

Bien que bon nombre d'entre nous sommes assis derrière un bureau toute la journée ou étudions dans une chaise toute la journée, on doit néanmoins trouver du temps pour faire de l'exercice physique.
1Sur Shovou´ôth 27a
2Miswoh n°73
3Hôshèn Mishpot 427:10
4`Ôrah Hayîm 155
5Houllîn 7b
6Wayyiqro` Rabboh 16:8
7Bavo` Mési´o` 107b
8145
9Sha'ar Habbitahôn 4
10Shabboth 32a
11Qorban Ta´anith 5, page 3
12C'est-à-dire, qu'il ne mange pas jusqu'à se remplir.
13Dans la suite de la Halokhoh susmentionnée.
14Voir Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:2
1532:3
16Le poulet est plus facile à digérer que la viande (Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:8).
17Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:9
18Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:3
19Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:13
20Hayîm Bariyim KaHalokhoh, pages 101-102
21Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:17
22Hayîm Bariyim KaHalokhoh, pages 108-110
23Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:22
24Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:20
25Hayîm Bariyim KaHalokhoh, pages 116-117
26Commentaires sur la Mishnoh de `Ovôth 2:12
27Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:3. Egalement rapporté dans le Kaf HaHayîm, Yôréh Dé´oh 116:69, ou encore dans Shamirath Haggouf Wahannèfèsh 26, note de bas de page 1.
28Mishnoh Barouroh 170:45
29Elyâh Rabboh 170:23 ; Mishbetsoth Zâhâv 170:10 ; Kaf HaHayîm 72. Cela s'applique également au Shabboth et à Yom Tov (Shamirath Haggouf Wahannèfèsh 26, note de bas de page 3).
30Baré`shith 25:27
31Ibid., 32:36
32Ibid., 29:10
33Bamidbor 1:4
34Shôftim 20:16
35Zakharyoh 12:3 ; Qôhalath 5:11 ; Tahilim 24:8 ; 2 Shamou`él 1:18 ; 2 Shamou`él 2:15
36Voir par exemple, Shabboth 92a, Nadorim 28a, Kathoubbôth 111a, etc.
371 Shamou`él 22:17 ; 2 Divréi Hayyomim 12:11 ; 2 Malokhim 11:13
38Il y a d'autres cas où l'on met en avant l'acte de courir dans le TaNaKh : 2 Shamou`él 18:14, 19 ; 1 Malokhim 1:5, 14:27-28.
39Tôsafto` Shabboth 17:16. Voir aussi Niddoh 24b dans le Talmoud Bavlî. Néanmoins, le Shoulhon ´Oroukh interdit de faire de l'exercice à Shabboth au point de transpirer (`Ôrah Hayîm 328:42 ; voir aussi Mishnoh Barouroh 42).
40Shoulhon ´Oroukh, `Ôrah Hayîm 301:2
41Pésahim 93b dans le Talmoud Bavlî, et Barokhôth 1:1 dans le Talmoud Yarousholmi. Une parso`' vaut entre 3,84 et 4,6 km. 10 parso`'oth valent donc entre 38,4 et 46 km.
42Tôsafto` Pé`oh 4:10 ; Tôsafto` Shabboth 16:17 ; Ramo` `Ôrah Hayîm 301:2
43Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:19
44Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:4
45Baré`shith 3:19
46Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:5

47Mishnéh Tôroh, Hilkhôth Dé´ôth 4:7 ; Qisour Shoulhon ´Oroukh 32:6 ; Hayîm Bariyim KaHalokhoh pages 107-108
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