jeudi 23 juillet 2020

Est-ce par « aveuglement » que nous ne voyons pas Jésus dans le ṬoNo’’Kh ?


בס״ד

Est-ce par « aveuglement » que nous ne voyons pas Jésus dans le ṬoNo’’Kh ?


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De nombreux chrétiens (et tous les dérivés du christianisme : messianiques, nazaréens, etc.) ont du mal à comprendre comment il est possible pour les Juifs d'étudier le ṬoNo’’Kh et ne pas parvenir à voir qu’il désigne Jésus ימש״ו comme le Messie. Est-il possible, comme le prétend le « Nouveau Testament », que Hashshém ית׳ ait aveuglé les Juifs qui ont maintenant un voile recouvrant leurs yeux ?

·        2 Corinthiens 3 :14-15

14 Mais ils sont devenus durs d'entendement. Car jusqu'à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture de l'Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c'est en Christ qu'il disparaît. 15 Jusqu'à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs cœurs;

·        Ibid., 4 :3-4

Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent; pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'intelligence, afin qu'ils ne vissent pas briller la splendeur de l'Évangile de la gloire de Christ, qui est l'image de Dieu.

·        Romains 11 :7, 25

Quoi donc? Ce qu'Israël cherche, il ne l'a pas obtenu, mais l'élection l'a obtenu, tandis que les autres ont été endurcis, 25 Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c'est qu'une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement, jusqu'à ce que la totalité des païens soit entrée.

Il existe de nombreux passages où le ṬoNo’’Kh parle clairement du Messie qui paraitra un jour dans le monde.

Ces passages sont si clairs, que Juifs et Chrétiens sont d'accord sur le fait qu’ils décrivent le Messie : Ésaïe 11:1-9, Jérémie 23:5-6, 30:7-10 et 33:14-18, Ézéchiel 37:24-28. (Voir aussi Ézéchiel 34:23-31).

Ces passages décrivent un descendant sage et juste de Dowidh ע״ה qui régnera sur Israël en tant que Roi lorsque le monde aura été transformé en une utopie de paix universelle et de connaissance de Hashshém. Il est important de comprendre que le ṬoNo’’Kh ne se concentrent pas sur cet oint spécial que nous appelons « le Messie », mais sur la description de ce à quoi le monde ressemblera quand il sera venu. Bien qu'il puisse y avoir environ une douzaine de passages faisant spécifiquement référence à ce roi spécial, il y en a plus d'une centaine qui peignent simplement une image de l'utopie qui fleurira lorsqu'il viendra. Ces passages parlent du retour du peuple juif dans sa patrie ancestrale après avoir été dispersé à travers le monde. Là, ils vivront en paix, suivront Hashshém, vivront selon les enseignements de Sa Ṭôroh et seront recherchés par les nations du monde comme enseignants spirituels. Le monde détruira les armes de guerre et entrera dans une ère de paix éternelle et de connaissance de Hashshém. (Voir Ésaïe 2: 1-4, Michée 4: 1-4, Osée 2:18, Ésaïe 32: 16-18, 60:18; Zacharie 8:23, Ésaïe 60: 3, 61: 6,9; Zacharie 14 : 9,11; Psaume 86: 9, Sephanya 3: 9, Ésaïe 66:23, Jérémie 31: 33-34, Ézéchiel 11: 19-20, 36: 26-27, Deutéronome 30: 1-9, Ésaïe 11: 12, 40:11, 43: 5,6, 49: 12,18,22, 60: 4, 66:20, Jérémie 3:18, 30: 3, 31: 7, 32:37, Ézéchiel 11:17, 20:41, 34:13, 36:24, etc.) Ainsi, lorsque les partisans de Jésus prétendent que les Ecritures décrivent le Moshiaḥ, c’est inexact : les Ecritures ne nous disent pratiquement rien sur qui sera le Moshiaḥ, mais plutôt sur ce que le monde sera à sa venue, et ce sont ces transformations qui nous permettront de le reconnaître en tant que Moshiaḥ. Toute personne prétendant être le Moshiaḥ, descendant de Dowidh, etc., mais que sa venue ne s’accompagne pas des changements annoncés, ne peut pas être le Moshiaḥ. Et c’est parce qu’ils sont conscients de cela que les partisans de Jésus insistent sur sa personne, la manière dont il aurait transformé leurs vies, la prétendue profondeur de ses enseignements, et d’autres points inutiles, plutôt que sur les points décrits dans le ṬoNo’’Kh lui-même, préférant prétendre que ces choses-là ne seront accomplies que lors d’une seconde venue !

En plus de ne pas remplir les critères messianiques centraux des Écritures, il y a aussi une prophétie selon laquelle `éliyohou Hannovi` ע״ה (le prophète Élie) doit revenir avant la venue du Moshiaḥ (Malachie 3: 23-24). Gardant cela à l'esprit, l'Évangile de Matthieu affirme que Jean-Baptiste était Élie (11:14, 17:12). Cette affirmation, cependant, ne résiste pas à un examen minutieux. Jean-Baptiste était en fait très populaire, et certaines personnes pensaient même qu'il pourrait être le Messie. Lorsqu'on lui a demandé si c'était le cas, il l'a nié. On lui a alors demandé s'il était Élie le prophète, et il a dit : « Je ne le suis pas » (Jean 1:21).

De plus, le prophète Mal`okhi (Malachie) ע״ה a prophétisé que lorsque Élie reviendrait, il « retournera le cœur des pères vers leurs enfants et le cœur des enfants vers leurs pères », mais Jean-Baptiste n’a pas accompli cela. Vous pouvez tourner la chose dans tous les sens, vous ne pouvez pas nier que cela n’a pas été accompli. Par conséquent, vous ne pouvez pas prétendre que Jean Baptiste était `éliyohou. Ce dernier n’est tout simplement pas encore revenu, et de ce fait, le Moshiaḥ n’est pas encore arrivé ! Qui est l’aveugle ici ? Les Juifs ou ceux qui croient en cette fable du « Nouveau Testament » ? Nous parlons ici de choses concrètes ! Vous ne pouvez pas avoir le beurre et l’argent du beurre ; vous ne pouvez pas dire que Jean Baptiste était `éliyohou, alors que dans le même temps il n’a rien fait de ce que `éliyohou devait accomplir !

Remarquez d’ailleurs que dans Malachie 3 :23, Hashshém est clair sur le fait que la venue de `éliyohou servira à ce que le peuple juif fasse Ṭashouvoh avant le grand jour du jugement, de sorte que tous les Juifs seront en fait sauvés de la destruction. C’est la raison pour laquelle le prophète Yasha´yohou ע״ה annonce déjà à l’avance que le peuple de Hashshém n’est constitué que de Ṣaddiqim qui hériteront TOUS du pays ! (Ésaïe 60 :21). Comment est-ce possible que tous les Israélites auront part au monde futur à la fin des temps ? Parce qu’ils auront tous fait Ṭashouvoh avant ce jour ! Et comment auront-ils fait Ṭashouvoh ? Grâce au retour de `éliyohou Hannovi` ! Cela s’est-il produit à la venue de Jésus ? Absolument pas ! Et Jean Baptiste a-t-il amené tout Israël à la Ṭashouvoh ? Loin de là. Tirez-en donc les conclusions !

Ainsi, cette prophétie sur le retour de `éliyohou est une épine dans le pied de tous les croyants dans le « Nouveau Testament ». Beaucoup ne s’en rendent pas compte, car ils partent de la supposition que si le « Nouveau Testament » dit une chose, c’est qu’elle est forcément vraie. Mais une fois qu’on fait preuve d’un peu d’intelligence et qu’on analyse sincèrement la prophétie du ṬoNo’’Kh, il est clair comme de l’eau roche que `éliyohou n’est pas encore revenue, et donc que le Messie n’est pas déjà venu ! Qui fait preuve d’aveuglement ?

La doctrine chrétienne de la « seconde venue de Jésus » est un aveu qu’il n’a pas réussi à accomplir ces passages messianiques essentiels et qu’il devra donc revenir dans le futur pour le faire. Il est important de réaliser que la notion de « seconde venue » peut être utilisée pour rationaliser l'échec de tout candidat messianique. La question devient alors pourquoi quelqu'un devrait croire que cette personne était le Messie lorsqu’il est venu pour la première fois ?

Les chrétiens ont recouru à deux idées de base afin de promouvoir l'idée que Jésus serait le Messie bien qu'il n'ait pas rempli les critères messianiques bibliques clairs décrits ci-dessus. L'un de ces arguments est que les miracles qu’il a accomplis attestent du fait qu'il a dû être le Messie. À ce stade, nous ne discuterons pas de la crédibilité historique des récits évangéliques. Nous nous contenterons de dire qu'il y a des raisons extrêmement fortes de douter de la véracité de ces histoires. Supposons cependant qu’il soit possible qu’il ait accompli de nombreux miracles.

La question qui doit alors être posée est celle-ci : le ṬoNo’’Kh nous dit-il que nous pourrons identifier le Messie à la suite des miracles qu'il accomplira ?

La réponse à cette question est que le ṬoNo’’Kh ne nous dit jamais que les miracles doivent être pris en compte à cet égard. Il est important de comprendre pourquoi il en est ainsi. Pourquoi le ṬoNo’’Kh ne nous a-t-il jamais informés que nous pourrions identifier le Messie grâce à ses miracles ? La raison de cette omission vient du fait que les miracles sont un baromètre peu fiable de quoi que ce soit. Bien que Môshah Rabbénou ע״ה accomplissait des miracles en Égypte, les magiciens de Pharaon étaient capables de les reproduire (Exode chapitres 7-8). Dans le chapitre 13 de Deutéronome, on nous dit que les faux prophètes auront la capacité d'accomplir des miracles surnaturels afin de tester notre fidélité à Hashshém. Fait intéressant, le « Nouveau Testament » lui-même déclare que les faux messies feront d'incroyables miracles pour tromper les gens (Matthieu 24:24). De toute évidence, si un faux messie est capable d'accomplir des miracles, alors les miracles ne peuvent pas prouver que quelqu'un est le Messie.

La deuxième approche utilisée par les chrétiens est d'affirmer que le ṬoNo’’Kh à la fois prédit et confirme que Jésus est le Messie. De nombreux chrétiens estiment que ces « textes de preuve » sont si convaincants qu'ils trouvent impossible de comprendre comment ils n'ont eu aucun impact sur les Juifs au cours des 2000 dernières années. Le défaut de base de cette approche provient de la manière dont ces passages ont été exploités. Plutôt que de lire objectivement le ṬoNo’’Kh pour comprendre de quoi il parle réellement, certains chrétiens l'ont abordée avec une conclusion préconçue à l'esprit. Comme un « archer » qui plante d'abord sa flèche dans un tronc d’arbre puis peint une cible autour de la flèche, ces chrétiens supposent d'emblée que Jésus était le Messie et essaient ensuite de trouver des passages du ṬoNo’’Kh qui « ressemblent » à lui. À la suite de cette approche circulaire de la lecture du ṬoNo’’Kh, le sens du texte a alors été déformé afin d’insérer Jésus dans le texte. Si une personne porte des lunettes teintées de rouge, tout ce qu'elle voit apparaîtra en rouge. De même, lorsque les chrétiens abordent le ṬoNo’’Kh avec des « lunettes de Jésus », cela colorera tout ce qu'ils lisent en « Jésus » !

Quelques exemples aideront à illustrer comment cette approche conduit à une distorsion du texte.

« Et on lui dira : Quelles sont ces blessures dans tes mains ? Alors il répondra: Celles avec lesquelles j'ai été blessé dans la maison de mes amis » (Zacharie 13:6). De nombreux chrétiens ont offert ce verset comme preuve que le ṬoNo’’Kh fait référence à la crucifixion de Jésus. Cependant, il suffit simplement de lire le chapitre entier de Zacharie 13 pour qu’il devienne clair que le passage parle d'un faux prophète. (Voir l’article intitulé « De faux prophètes, des fermiers…et des play-boys ».)

Un autre verset du ṬoNo’’Kh cité pour soutenir la croyance que Jésus était le Messie se trouve dans le 41ème Psaume : « Oui, mon ami familier, en qui j'avais confiance, qui mangeait de mon pain, a levé le talon contre moi » (Psaume 41: 9). Ce verset n'est pas seulement cité dans d'innombrables tracts missionnaires, mais le « Nouveau Testament » lui-même cite ce verset comme ayant été accompli lors de la trahison de Jésus par Judas Iscariot (Jean 13:18). La question cruciale ici est de savoir si, en vérité, le Psaume 41 est une prophétie messianique. A-t-il été écrit pour donner au peuple juif les informations vitales dont il aura besoin pour aider à identifier son Messie ? Ou est-ce simplement un autre exemple de « lecture de Jésus » dans le ṬoNo’’Kh pour étayer une croyance en lui obtenue indépendamment du témoignage du ṬoNo’’Kh. Ayant déjà tiré la « flèche de Jésus », le chrétien dessine alors sa cible et déclare que ce verset serait une prophétie messianique car il semble résonner avec la vie de Jésus. Cette exploitation malicieuse des Écritures peut être confirmée en lisant attentivement tout le Psaume et en demandant : Comment quelqu'un aurait-il pu le comprendre avant l'avènement du christianisme ? Y a-t-il une raison pour laquelle quelqu'un vivant dix ans avant la naissance de Jésus l'aurait compris comme une prophétie messianique ? Y a-t-il une raison pour laquelle quelqu'un le lisant avant Jésus aurait même pensé que c'était une prophétie ? En lisant attentivement le Psaume 41, il devient difficile de comprendre comment un chrétien pourrait envisager la possibilité qu'il se réfère à Jésus. C'est parce que la personne même qui s'exclame avoir été trahie par un ami proche (verset 9) implore un peu plus tôt Hashshém : « J'ai dit : Hashshém, sois miséricordieux envers moi; guéris mon âme; car j'ai péché contre Toi » (verset 4). En d’autres mots, l’auteur de ce Psaume affirme lui-même la raison pour laquelle il a été trahi : c’est en raison du péché que lui-même a commis contre Hashshém, et il reconnait donc que cette trahison de son ami proche n’est que le fruit de sa propre trahison envers Hashshém ! Quel chrétien ou disciple de Jésus pourrait dire que Jésus a péché pour se faire trahir par son disciple ? Vous voyez, vous pouvez citer un passage hors contexte pour lui faire dire ce que vous voulez, alors que le contexte démasque clairement votre imposture ! Qui est donc aveugle ?

Ce sont deux exemples très clairs de la façon dont la lecture du ṬoNo’’KH avec des « lunettes de couleur Jésus » a conduit à sortir des passages hors de leur contexte afin de trouver des « textes de preuves ».

Un autre exemple se trouve dans le deuxième chapitre de Matthieu. On nous dit que Joseph a été averti de quitter Bethléem parce qu'Hérode tenterait de tuer Jésus. Joseph prend Jésus et Marie et s'enfuit en Egypte. Matthieu affirme alors que cela a eu lieu pour accomplir une prophétie messianique du ṬoNo’’Kh : Il resta là jusqu'à la mort d'Hérode : pour que s'accomplisse ce qui avait été dit de la part du Seigneur par le prophète, en disant: « D'Égypte j'ai appelé Mon fils » (Matthieu 2:15). Cependant, si nous examinons la source de la citation de Matthieu, nous voyons qu’il a sérieusement déformé sa signification : « Quand Israël était un enfant, alors Je l’ai aimé, et hors d’Égypte, J’ai appelé mon fils » (Osée 11: 1). Le 11ème chapitre d’Osée décrit les débuts de l'histoire du peuple juif après que Hashshém les a délivrés de l'exil égyptien. Tout au long de cette histoire, le peuple juif est considéré comme le fils de Hashshém (Exode 4:22). Matthieu, ici, ignore ce contexte et déforme le vrai sens du verset en affirmant qu'il s'agissait en fait d'une prophétie sur l’enfance de Jésus. Il est clair que Matthieu ne peut obscurcir le sens réel qu'en ne citant que la dernière moitié du verset, en laissant de côté le début, qui clarifie qu'il parle d'Israël.

Plus loin dans le deuxième chapitre de Matthieu, on nous dit qu'Hérode était en colère lorsque les sages ne l'ont pas informé de l'endroit où se trouvait Jésus. Afin d'étouffer la menace messianique dans l'œuf, Hérode envoie une force pour tuer tous les bébés garçons de deux ans et moins à Bethléem et dans toutes les villes environnantes. Matthieu poursuit en affirmant que cette histoire était prévue dans les Écritures juives : « Puis s'accomplit ce qui avait été dit par Jérémie le prophète en disant : A Rama une voix fut entendue, des lamentations et des pleurs et un grand deuil, Rachel pleurant pour ses enfants et refusant d’être réconfortée, car ils ne sont plus » (Matthieu 2: 17-18). Ici, Matthieu cite le verset entier, mais déforme néanmoins sa signification réelle. En examinant le contexte original de ce verset du 31ème chapitre de Jérémie, nous voyons que Roḥél ע״ה (Rachel) ne pleurait pas pour les enfants qui ont été assassinés, mais pour les enfants qui étaient encore en vie, mais emmenés en captivité : « Ainsi dit Hashshém : Retiens ta voix de pleurer, et tes yeux de verser des larmes. Car ton travail sera récompensé, dit Hashshém, et ils reviendront du pays de l'ennemi. Et il y a un espoir à la fin, dit Hashshém, que tes enfants reviendront à leur propre frontière » (Jérémie 31: 16-17). Comme vous le voyez, ce passage n’a rien à voir avec le massacre d’enfants, mais par le déracinement des Israélites de leur terre et leur envoie en exil !

Ce ne sont que quelques exemples, mais la soumission de tous les textes de preuve chrétiens à ce type d'examen conduit à des résultats similaires. Inévitablement, ils sont tous construits sur un raisonnement circulaire qui cite ces versets hors contexte afin de trouver des prophéties présumées sur Jésus.

Soyez honnêtes avec vous-mêmes ! Si vous n’aviez pas lu le « Nouveau Testament » au préalable, jamais vous n’auriez été si manipulables, au point de croire que ces textes se réfèrent à Jésus. Quand vous lisez la supercherie qu’est le « Nouveau Testament », et êtes quelqu’un de sincère et d’intelligent, et prenez la peine de vérifier dans son contexte chaque passage du ṬoNo’’Kh cité comme preuve, vous parviendrez à la vérité évidente qu’il est donc logique et normal que nous, les Juifs, ne croyons pas en la fable de la messianité de Jésus. Nous n’avons pas été aveuglés par Hashshém ; au contraire, nos yeux sont grands ouverts pour reconnaître la fausseté du « Nouveau Testament ».

Notre problème n’est pas que vous croyiez que Jésus serait le Messie d’après VOS critères ; notre problème est que vous prenez NOS textes, que vous les falsifiez et les utilisiez pour soutenir VOS croyances, et qu’après vous prétendiez que ce serait NOUS qui serions aveugles sur le sens de NOS textes ! Reconnaissez que c’est totalement ridicule !

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