בס״ד
Est-ce par « aveuglement » que nous
ne voyons pas Jésus dans le ṬoNo’’Kh ?
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De nombreux chrétiens (et tous les dérivés du
christianisme : messianiques, nazaréens, etc.) ont du mal à comprendre
comment il est possible pour les Juifs d'étudier le ṬoNo’’Kh et ne pas parvenir
à voir qu’il désigne Jésus ימש״ו
comme le Messie. Est-il possible, comme le prétend le « Nouveau
Testament », que Hashshém ית׳ ait aveuglé les Juifs qui ont maintenant un voile recouvrant
leurs yeux ?
·
2 Corinthiens 3 :14-15
14 Mais ils sont devenus durs d'entendement. Car jusqu'à ce jour le
même voile demeure quand, ils font la lecture de l'Ancien Testament, et il ne
se lève pas, parce que c'est en Christ qu'il disparaît. 15 Jusqu'à ce jour, quand
on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs cœurs;
·
Ibid., 4 :3-4
3 Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui
périssent; 4 pour les
incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'intelligence, afin qu'ils ne
vissent pas briller la splendeur de l'Évangile de la gloire de Christ, qui est
l'image de Dieu.
·
Romains 11 :7, 25
7 Quoi donc? Ce qu'Israël cherche, il ne l'a pas obtenu, mais
l'élection l'a obtenu, tandis que les autres ont été endurcis, 25 Car je ne veux pas,
frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point
comme sages, c'est qu'une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement,
jusqu'à ce que la totalité des païens soit entrée.
Il existe de nombreux passages où le ṬoNo’’Kh parle
clairement du Messie qui paraitra un jour dans le monde.
Ces passages sont si clairs, que Juifs et Chrétiens
sont d'accord sur le fait qu’ils décrivent le Messie : Ésaïe 11:1-9,
Jérémie 23:5-6, 30:7-10 et 33:14-18, Ézéchiel 37:24-28. (Voir aussi
Ézéchiel 34:23-31).
Ces passages décrivent un descendant sage et juste de Dowidh
ע״ה qui régnera sur
Israël en tant que Roi lorsque le monde aura été transformé en une utopie de
paix universelle et de connaissance de Hashshém. Il
est important de comprendre que le ṬoNo’’Kh ne se concentrent pas sur cet oint
spécial que nous appelons « le Messie », mais sur la description de
ce à quoi le monde ressemblera quand il sera venu. Bien qu'il puisse
y avoir environ une douzaine de passages faisant spécifiquement référence à ce
roi spécial, il y en a plus d'une centaine qui peignent simplement une image de
l'utopie qui fleurira lorsqu'il viendra. Ces passages parlent du retour du
peuple juif dans sa patrie ancestrale après avoir été dispersé à travers le
monde. Là, ils vivront en paix, suivront Hashshém, vivront selon les
enseignements de Sa Ṭôroh et seront recherchés par les nations du monde comme
enseignants spirituels. Le monde détruira les armes de guerre et entrera dans
une ère de paix éternelle et de connaissance de Hashshém. (Voir Ésaïe 2:
1-4, Michée 4: 1-4, Osée 2:18, Ésaïe 32: 16-18, 60:18; Zacharie 8:23, Ésaïe 60:
3, 61: 6,9; Zacharie 14 : 9,11; Psaume 86: 9, Sephanya 3: 9, Ésaïe 66:23,
Jérémie 31: 33-34, Ézéchiel 11: 19-20, 36: 26-27, Deutéronome 30: 1-9, Ésaïe
11: 12, 40:11, 43: 5,6, 49: 12,18,22, 60: 4, 66:20, Jérémie 3:18, 30: 3, 31: 7,
32:37, Ézéchiel 11:17, 20:41, 34:13, 36:24, etc.) Ainsi, lorsque les
partisans de Jésus prétendent que les Ecritures décrivent le Moshiaḥ, c’est
inexact : les Ecritures ne nous disent pratiquement rien sur qui sera le Moshiaḥ,
mais plutôt sur ce que le monde sera à sa venue, et ce sont ces transformations
qui nous permettront de le reconnaître en tant que Moshiaḥ. Toute personne
prétendant être le Moshiaḥ, descendant de Dowidh, etc., mais que sa venue ne
s’accompagne pas des changements annoncés, ne peut pas être le Moshiaḥ. Et
c’est parce qu’ils sont conscients de cela que les partisans de Jésus insistent
sur sa personne, la manière dont il aurait transformé leurs vies, la prétendue
profondeur de ses enseignements, et d’autres points inutiles, plutôt que sur
les points décrits dans le ṬoNo’’Kh lui-même, préférant prétendre que ces
choses-là ne seront accomplies que lors d’une seconde venue !
En plus de ne pas remplir les critères messianiques
centraux des Écritures, il y a aussi une prophétie selon laquelle `éliyohou Hannovi`
ע״ה (le prophète Élie) doit
revenir avant la venue du Moshiaḥ (Malachie 3: 23-24). Gardant cela à
l'esprit, l'Évangile de Matthieu affirme que Jean-Baptiste était Élie (11:14,
17:12). Cette affirmation, cependant, ne résiste pas à un examen minutieux.
Jean-Baptiste était en fait très populaire, et certaines personnes pensaient
même qu'il pourrait être le Messie. Lorsqu'on lui a demandé si c'était le cas,
il l'a nié. On lui a alors demandé s'il était Élie le prophète, et il a
dit : « Je ne le suis pas » (Jean 1:21).
De plus, le prophète Mal`okhi (Malachie) ע״ה a prophétisé que lorsque Élie
reviendrait, il « retournera le cœur des pères vers leurs enfants et le
cœur des enfants vers leurs pères », mais Jean-Baptiste n’a pas accompli
cela. Vous pouvez tourner la chose dans tous les sens, vous ne pouvez pas nier
que cela n’a pas été accompli. Par conséquent, vous ne pouvez pas prétendre que
Jean Baptiste était `éliyohou. Ce dernier n’est tout simplement pas encore
revenu, et de ce fait, le Moshiaḥ n’est pas encore arrivé ! Qui est
l’aveugle ici ? Les Juifs ou ceux qui croient en cette fable du
« Nouveau Testament » ? Nous parlons ici de choses
concrètes ! Vous ne pouvez pas avoir le beurre et l’argent du
beurre ; vous ne pouvez pas dire que Jean Baptiste était `éliyohou, alors
que dans le même temps il n’a rien fait de ce que `éliyohou devait
accomplir !
Remarquez d’ailleurs que dans Malachie 3 :23,
Hashshém est clair sur le fait que la venue de `éliyohou servira à ce que le
peuple juif fasse Ṭashouvoh avant le grand jour du jugement, de
sorte que tous les Juifs seront en fait sauvés de la destruction. C’est la
raison pour laquelle le prophète Yasha´yohou ע״ה annonce déjà à l’avance que le
peuple de Hashshém n’est constitué que de Ṣaddiqim qui hériteront TOUS du
pays ! (Ésaïe 60 :21). Comment est-ce possible que tous les
Israélites auront part au monde futur à la fin des temps ? Parce qu’ils
auront tous fait Ṭashouvoh avant ce jour ! Et comment
auront-ils fait Ṭashouvoh ? Grâce au retour de `éliyohou
Hannovi` ! Cela s’est-il produit à la venue de Jésus ? Absolument
pas ! Et Jean Baptiste a-t-il amené tout Israël à la Ṭashouvoh ?
Loin de là. Tirez-en donc les conclusions !
Ainsi, cette prophétie sur le retour de `éliyohou est
une épine dans le pied de tous les croyants dans le « Nouveau
Testament ». Beaucoup ne s’en rendent pas compte, car ils partent de la
supposition que si le « Nouveau Testament » dit une chose, c’est
qu’elle est forcément vraie. Mais une fois qu’on fait preuve d’un peu
d’intelligence et qu’on analyse sincèrement la prophétie du ṬoNo’’Kh, il est
clair comme de l’eau roche que `éliyohou n’est pas encore revenue, et donc que
le Messie n’est pas déjà venu ! Qui fait preuve d’aveuglement ?
La doctrine chrétienne de la « seconde
venue de Jésus » est un aveu qu’il n’a pas réussi à accomplir ces
passages messianiques essentiels et qu’il devra donc revenir dans le futur pour
le faire. Il est important de réaliser que la notion de « seconde venue »
peut être utilisée pour rationaliser l'échec de tout candidat messianique. La
question devient alors pourquoi quelqu'un devrait croire que cette personne
était le Messie lorsqu’il est venu pour la première fois ?
Les chrétiens ont recouru à deux idées de base afin de
promouvoir l'idée que Jésus serait le Messie bien qu'il n'ait pas rempli les
critères messianiques bibliques clairs décrits ci-dessus. L'un de ces arguments
est que les miracles qu’il a accomplis attestent du fait qu'il a dû être le
Messie. À ce stade, nous ne discuterons pas de la crédibilité historique des
récits évangéliques. Nous nous contenterons de dire qu'il y a des raisons
extrêmement fortes de douter de la véracité de ces histoires. Supposons cependant
qu’il soit possible qu’il ait accompli de nombreux miracles.
La question qui doit alors être posée est
celle-ci : le ṬoNo’’Kh nous dit-il que nous pourrons identifier le Messie
à la suite des miracles qu'il accomplira ?
La réponse à cette question est que le ṬoNo’’Kh ne
nous dit jamais que les miracles doivent être pris en compte à cet égard. Il
est important de comprendre pourquoi il en est ainsi. Pourquoi le ṬoNo’’Kh ne
nous a-t-il jamais informés que nous pourrions identifier le Messie grâce à ses
miracles ? La raison de cette omission vient du
fait que les miracles sont un baromètre peu fiable de quoi que ce soit.
Bien que Môshah Rabbénou ע״ה accomplissait des miracles en
Égypte, les magiciens de Pharaon étaient capables de les reproduire (Exode
chapitres 7-8). Dans le chapitre 13 de Deutéronome, on nous dit que les
faux prophètes auront la capacité d'accomplir des miracles surnaturels afin de
tester notre fidélité à Hashshém. Fait intéressant, le « Nouveau Testament »
lui-même déclare que les faux messies feront d'incroyables miracles pour
tromper les gens (Matthieu 24:24). De toute
évidence, si un faux messie est capable d'accomplir des miracles, alors les
miracles ne peuvent pas prouver que quelqu'un est le Messie.
La deuxième approche utilisée par les chrétiens est
d'affirmer que le ṬoNo’’Kh à la fois prédit et confirme que Jésus est le
Messie. De nombreux chrétiens estiment que ces « textes de preuve »
sont si convaincants qu'ils trouvent impossible de comprendre comment ils n'ont
eu aucun impact sur les Juifs au cours des 2000 dernières années. Le défaut de
base de cette approche provient de la manière dont ces passages ont été
exploités. Plutôt que de lire objectivement le ṬoNo’’Kh pour comprendre de quoi
il parle réellement, certains chrétiens l'ont abordée avec une conclusion préconçue
à l'esprit. Comme un « archer » qui plante d'abord sa flèche dans un tronc
d’arbre puis peint une cible autour de la flèche, ces chrétiens supposent
d'emblée que Jésus était le Messie et essaient ensuite de trouver des passages du
ṬoNo’’Kh qui « ressemblent » à lui. À la suite de cette approche
circulaire de la lecture du ṬoNo’’Kh, le sens du texte a alors été déformé afin
d’insérer Jésus dans le texte. Si une personne porte
des lunettes teintées de rouge, tout ce qu'elle voit apparaîtra en rouge.
De même, lorsque les chrétiens abordent le ṬoNo’’Kh avec des « lunettes de
Jésus », cela colorera tout ce qu'ils lisent en « Jésus » !
Quelques exemples aideront à illustrer comment cette
approche conduit à une distorsion du texte.
« Et
on lui dira : Quelles sont ces blessures dans tes mains ? Alors il
répondra: Celles avec lesquelles j'ai été blessé dans la maison de mes amis »
(Zacharie 13:6). De nombreux chrétiens ont offert ce verset comme preuve
que le ṬoNo’’Kh fait référence à la crucifixion de Jésus. Cependant, il suffit simplement
de lire le chapitre entier de Zacharie 13 pour qu’il devienne clair que
le passage parle d'un faux prophète. (Voir l’article intitulé « De
faux prophètes, des fermiers…et des play-boys ».)
Un
autre verset du ṬoNo’’Kh cité pour soutenir la croyance que Jésus était le
Messie se trouve dans le 41ème Psaume : « Oui, mon ami
familier, en qui j'avais confiance, qui mangeait de mon pain, a levé le talon
contre moi » (Psaume 41: 9). Ce verset n'est pas seulement cité
dans d'innombrables tracts missionnaires, mais le « Nouveau Testament »
lui-même cite ce verset comme ayant été accompli lors de la trahison de Jésus
par Judas Iscariot (Jean 13:18). La question cruciale ici est de savoir
si, en vérité, le Psaume 41 est une prophétie messianique. A-t-il été écrit
pour donner au peuple juif les informations vitales dont il aura besoin pour
aider à identifier son Messie ? Ou est-ce simplement un autre exemple de « lecture
de Jésus » dans le ṬoNo’’Kh pour étayer une croyance en lui obtenue
indépendamment du témoignage du ṬoNo’’Kh. Ayant déjà tiré la « flèche de Jésus »,
le chrétien dessine alors sa cible et déclare que ce verset serait une
prophétie messianique car il semble résonner avec la vie de Jésus. Cette
exploitation malicieuse des Écritures peut être confirmée en lisant
attentivement tout le Psaume et en demandant : Comment quelqu'un aurait-il
pu le comprendre avant l'avènement du christianisme ? Y a-t-il une raison
pour laquelle quelqu'un vivant dix ans avant la naissance de Jésus l'aurait
compris comme une prophétie messianique ? Y a-t-il une raison pour
laquelle quelqu'un le lisant avant Jésus aurait même pensé que c'était une
prophétie ? En lisant attentivement le Psaume 41, il devient
difficile de comprendre comment un chrétien pourrait envisager la possibilité
qu'il se réfère à Jésus. C'est parce que la personne même qui s'exclame avoir
été trahie par un ami proche (verset 9) implore un peu plus tôt Hashshém :
« J'ai dit : Hashshém, sois miséricordieux envers moi; guéris mon âme;
car j'ai péché contre Toi » (verset 4). En d’autres mots, l’auteur
de ce Psaume affirme lui-même la raison pour laquelle il a été trahi : c’est
en raison du péché que lui-même a commis contre Hashshém, et il reconnait donc
que cette trahison de son ami proche n’est que le fruit de sa propre trahison
envers Hashshém ! Quel chrétien ou disciple de Jésus pourrait dire que Jésus
a péché pour se faire trahir par son disciple ? Vous voyez, vous pouvez
citer un passage hors contexte pour lui faire dire ce que vous voulez, alors
que le contexte démasque clairement votre imposture ! Qui est donc aveugle ?
Ce
sont deux exemples très clairs de la façon dont la lecture du ṬoNo’’KH avec des
« lunettes de couleur Jésus » a conduit à sortir des passages hors de
leur contexte afin de trouver des « textes de preuves ».
Un
autre exemple se trouve dans le deuxième chapitre de Matthieu. On nous dit que
Joseph a été averti de quitter Bethléem parce qu'Hérode tenterait de tuer
Jésus. Joseph prend Jésus et Marie et s'enfuit en Egypte. Matthieu affirme
alors que cela a eu lieu pour accomplir une prophétie messianique du ṬoNo’’Kh :
Il resta là jusqu'à la mort d'Hérode : pour que s'accomplisse ce qui avait
été dit de la part du Seigneur par le prophète, en disant: « D'Égypte
j'ai appelé Mon fils » (Matthieu 2:15). Cependant, si nous
examinons la source de la citation de Matthieu, nous voyons qu’il a
sérieusement déformé sa signification : « Quand Israël était un enfant,
alors Je l’ai aimé, et hors d’Égypte, J’ai appelé mon fils » (Osée
11: 1). Le 11ème chapitre d’Osée décrit les débuts de l'histoire
du peuple juif après que Hashshém les a délivrés de l'exil égyptien. Tout au
long de cette histoire, le peuple juif est considéré comme le fils de Hashshém
(Exode 4:22). Matthieu, ici, ignore ce contexte et déforme le vrai sens
du verset en affirmant qu'il s'agissait en fait d'une prophétie sur l’enfance
de Jésus. Il est clair que Matthieu ne peut obscurcir le sens réel qu'en ne
citant que la dernière moitié du verset, en laissant de côté le début, qui
clarifie qu'il parle d'Israël.
Plus
loin dans le deuxième chapitre de Matthieu, on nous dit qu'Hérode était en
colère lorsque les sages ne l'ont pas informé de l'endroit où se trouvait
Jésus. Afin d'étouffer la menace messianique dans l'œuf, Hérode envoie une
force pour tuer tous les bébés garçons de deux ans et moins à Bethléem et dans
toutes les villes environnantes. Matthieu poursuit en affirmant que cette histoire
était prévue dans les Écritures juives : « Puis s'accomplit ce qui
avait été dit par Jérémie le prophète en disant : A Rama une voix fut entendue,
des lamentations et des pleurs et un grand deuil, Rachel pleurant pour ses
enfants et refusant d’être réconfortée, car ils ne sont plus » (Matthieu
2: 17-18). Ici, Matthieu cite le verset entier, mais déforme néanmoins sa
signification réelle. En examinant le contexte original de ce verset du 31ème
chapitre de Jérémie, nous voyons que Roḥél ע״ה (Rachel) ne pleurait pas pour les enfants qui ont été
assassinés, mais pour les enfants qui étaient encore en vie, mais emmenés en
captivité : « Ainsi dit Hashshém : Retiens ta voix de
pleurer, et tes yeux de verser des larmes. Car ton travail sera récompensé, dit
Hashshém, et ils reviendront du pays de l'ennemi. Et il y a un espoir à la fin,
dit Hashshém, que tes enfants reviendront à leur propre frontière » (Jérémie
31: 16-17). Comme vous le voyez, ce passage n’a rien à voir avec le
massacre d’enfants, mais par le déracinement des Israélites de leur terre et
leur envoie en exil !
Ce ne
sont que quelques exemples, mais la soumission de tous les textes de preuve
chrétiens à ce type d'examen conduit à des résultats similaires.
Inévitablement, ils sont tous construits sur un raisonnement circulaire qui
cite ces versets hors contexte afin de trouver des prophéties présumées sur Jésus.
Soyez
honnêtes avec vous-mêmes ! Si vous n’aviez pas lu le « Nouveau
Testament » au préalable, jamais vous n’auriez été si manipulables, au
point de croire que ces textes se réfèrent à Jésus. Quand vous lisez la
supercherie qu’est le « Nouveau Testament », et êtes quelqu’un de
sincère et d’intelligent, et prenez la peine de vérifier dans son contexte
chaque passage du ṬoNo’’Kh cité comme preuve, vous parviendrez à la vérité
évidente qu’il est donc logique et normal que nous, les Juifs, ne croyons pas
en la fable de la messianité de Jésus. Nous n’avons pas été aveuglés par
Hashshém ; au contraire, nos yeux sont grands ouverts pour reconnaître la
fausseté du « Nouveau Testament ».
Notre
problème n’est pas que vous croyiez que Jésus serait le Messie d’après VOS
critères ; notre problème est que vous prenez NOS textes, que vous les
falsifiez et les utilisiez pour soutenir VOS croyances, et qu’après vous
prétendiez que ce serait NOUS qui serions aveugles sur le sens de NOS textes !
Reconnaissez que c’est totalement ridicule !