בס״ד
Différences
entre Juifs et Gôyim
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Les
traditions halakhiques et `aggadhiques montrent clairement qu'il
existe une grande différence entre le statut spirituel d'un juif et
celui d'un Gôy. D'un point de vue halakhique, les Juifs sont
astreints aux six cent treize Miswôth de la Tôroh, tandis
que les Gôyim sont astreints à seulement sept. De plus, notre
liturgie regorge de déclarations soulignant l'élection du peuple
juif. Par exemple, « qui nous a sanctifiés par Ses
commandements et nous a commandé de... » ; « Qui
nous a choisis parmi tous les peuples et nous a donné Sa Tôroh » ;
« Qui choisit Son peuple Israël avec amour ».
Dans
cet article, nous tenterons d'identifier la source de cette
distinction spirituelle fondamentale. Est-ce essentiel et intégré à
la substance même du juif ou du Gôy dès la naissance, ou est-ce
quelque chose qui s'acquiert par l'éducation et la formation ?
- Distinction essentielle
- Le Séphar Hakkouzori
R.
Yahoudhoh Halléwi explique dans le Séphar
Hakkouzori1
que la différence entre un juif et un Gôy est essentielle et vaste.
Il soutient que la base de la `amounoh n'est pas le
raisonnement philosophique abstrait, mais plutôt l'expérience de la
révélation au Sinaï. Cela le conduit à la conclusion que Hashshém
ית׳
n'a
pas donné accès aux vérités religieuses aux Gôyim parce qu'Il
n'a jamais voulu que la Tôroh et son programme spirituel soient pour
toute l'humanité, mais plutôt exclusivement pour le peuple juif.
C'est parce que les Juifs sont différents des Gôyim dans leur
essence ; seul le peuple juif a le potentiel d'atteindre les
sommets spirituels qui constituent le but de l'observance de la
Tôroh.
R.
Yahoudhoh Halléwi explique que, tout comme les
plantes sont qualitativement plus grandes que les objets inanimés
parce qu'elles sont vivantes, et les animaux sont qualitativement
plus grands que les plantes parce qu'ils ont une âme animée, et les
humains sont qualitativement plus grands que les animaux parce qu'ils
ont un intellect, de la même manière, les Juifs sont
qualitativement plus grands que les Gôyim parce qu'ils ont la
qualité du Divin (ענין
אלוהי « ´inyan
`alôhi »). `odhom Hori`shôn ע״ה
a
été créé avec cette qualité Divine, et il l'a transmise au plus
grand de ses descendants, et ainsi de suite jusqu'à Nôah,
jusqu'à `avrohom ע״ה.
`avrohom n'a transmis cette qualité qu'à Yishoq ע״ה,
et Yishoq qu'à Ya´aqôv ע״ה,
mais Ya´aqôv a transmis le ´inyan `alôhi à
tous ses descendants. Depuis lors, le peuple juif tout entier est
caractérisé par cet « ADN spirituel », ce qui le rend
essentiellement et fondamentalement différent des autres êtres
humains.
R.
Yahoudhoh Halléwi conclut donc que tout comme un
rocher ne peut pas devenir une plante, et une plante ne peut pas
devenir un animal, et un animal ne peut pas devenir un humain, de
même un Gôy est un type de créature fondamentalement différent
d'un Juif et ne pourra donc jamais devenir un Juif à part entière.
Un converti, selon R. Yahoudhoh Halléwi, peut
devenir sage et pieux et partager une partie de la bonté spirituelle
accordée au peuple juif, mais il ne peut jamais être pleinement
égal à un Juif et ne peut jamais atteindre le niveau de la
prophétie. Il lui manquera toujours le ´inyan `alôhi,
car sa nature essentielle ne peut jamais être changée.
Ceux
qui appartiennent à cette école de pensée n'acceptent pas les
convertis au sein du peuple juif, ou ne les considèrent pas égaux
aux Juifs de naissance.
- Séphar Hattanya`
R.
Shné`our Zalman de Liady, fondateur de la Hasidhouth
HaBa''D-Loubavitch, dans le Tanya`2,
établit une distinction encore plus forte entre la nature
essentielle d'un Juif et celle d'un Gôy. Il explique qu'un Juif a
deux âmes - une âme Divine, qui en quelque sorte fait partie de la
substance de Hashshém Lui-même, et une âme animale, qui descend de
la Qalippath Nôgha´, le mal qui contient en lui
un mélange de lumière Divine. Par conséquent, explique-t-il, tout
bon trait de caractère trouvé chez un Juif reflète la bonté
essentielle trouvée dans son âme. L'âme d'un Gôy, cependant,
d'après le Tanya`, est purement animale et non Divine. Elle descend
des forces du mal qui n'ont aucun potentiel de bonté en elles. Par
conséquent, toutes les bonnes actions accomplies par des Gôyim sont
faites pour des arrière-pensées et ne peuvent pas refléter la
bonté essentielle.
Selon
cette philosophie, un Gôy n'est pas simplement une forme de vie
inférieure, mais il est essentiellement et irrémédiablement
mauvais; sa substance dérive de la Sitro` `ahro`, les forces
du mal qui menacent toute bonté et pureté dans le monde.3
S'il en est ainsi, le phénomène de conversion est alors difficile à
comprendre. Si l'âme d'un Gôy est purement maléfique sans
potentiel de Divin, alors comment cette âme peut-elle devenir
juive ?
Deux
réponses à cette énigme se trouvent dans les écrits d'un
descendant et dernier successeur du Ba´al Hattanya`, R. Menachem
Mendel Shneerson, le septième Rabbi de Loubavitch.
Une
réponse, basée sur le Zôhar4,
est que tandis qu'une âme Gôyoh ne peut jamais devenir juive, un
Gôy qui se convertit reçoit une âme entièrement nouvelle du Ciel;
son identité antérieure est remplacée par une âme juive sainte.
Cela correspond au principe halakhique selon lequel un converti a le
statut de nouveau-né. Selon cette théorie, il est logique qu'un
converti acquière une nouvelle identité halakhique, car il est en
réalité une personne différente de ce qu'il était avant sa
conversion. Le Zôhar ajoute, cependant, que si la nouvelle âme
reçue par un converti descend du Divin, elle n'est néanmoins pas
équivalente à l'âme d'un individu né juif.5
Une
deuxième explication offerte par le Rabbi de Loubavitch, basée sur
les écrits du Hyda''`6,
est qu'un vrai Gôy ne peut jamais se convertir, car il n'y a aucun
potentiel de bonté dans son âme. Par contre, si un Gôy parvient
à se convertir, c'est alors que ce converti représente une
étincelle Divine qui, pour une raison quelconque, est descendu dans
un corps Gôy au lieu d'un corps Juif, et finit se convertit afin de
révéler et de réaliser sa véritable essence.7
Ceux
qui appartiennent à cette école de pensée vont généralement
éviter d'avoir quoique ce soit à faire avec les conversions, et
tentent souvent de décourager les Gôyim qui voudraient se
convertir, car ils ne les considèrent pas égaux aux Juifs de
naissance. Par contre, ceux qui souscrivent à la deuxième
explication du Rabbi de Loubavitch, ne vont pas s'impliquer avec les
Gôyim qui désirent se convertir, mais si ces Gôyim vont jusqu'au
bout du processus ils les acceptent et considèrent que s'ils ont
réussi à se convertir c'est qu'ils avaient en fait, depuis
toujours, une âme juive.
- Le Rambo''m (Maïmonide) : aucune différence essentielle
Ce
que le Kouzori et le Tanya` ont en commun, c'est la perspective selon
laquelle un Juif et un Gôy sont différents depuis la naissance et
que cette différence réside dans la substance essentielle de leur
être. Le Rambo''m ז״ל,
toutefois, a une approche très différente pour comprendre le
caractère unique du peuple juif.
Dans
une lettre envoyée à son Talmidh, le converti ´ôvadhyoh, le
Rambo''m répond à la question de ´ôvadhyoh de savoir s'il serait
approprié pour lui de réciter la liturgie standard, y compris des
phrases telles que « notre
D.ieu et le D.ieu de nos ancêtres »,
« Qui
nous a choisis parmi les peuples »
et « Qui
a légué la terre à nos ancêtres »,
étant donné que ces expressions se réfèrent aux ancêtres du
peuple juif, et non aux ancêtres Gôyim de ´ôvadhyoh. Le Rambo''m
répond, en se basant sur le Talmoudh Yaroushlami8,
qu'un converti devrait réciter les mêmes formulations liturgiques
qu'un Juif de naissance. Il explique que `avrohom `ovinou a été
appelé אַב-הֲמוֹן
גּוֹיִם « le
père de nombreuses nations »
(Baré`shith
17: 5)
parce
que tous les convertis à travers les générations sont considérés
comme des enfants de `avrohom `ovinou.
Le
vrai sens de la paternité, selon le Rambo''m, n'est pas la
transmission de l'ADN ou de tout autre type de nature essentielle,
mais plutôt l'éducation et l'instruction. Un père est celui qui
enseigne et transmet un héritage intellectuel, et un enfant est un
étudiant qui reçoit cette tradition. `avrohom
´ovinou est donc notre ancêtre non pas parce que nous descendons
biologiquement de lui, mais parce qu'il a enseigné la croyance du
monothéisme et du style de vie Divin, et nous avons appris cette
philosophie d'une chaîne de traditions qui nous ramène à lui.
Selon
le Rambo''m, la différence entre un Juif et un Gôy ne vient pas de
la façon dont on a été créé, mais
de leurs croyances et de la tradition philosophique par laquelle
chacun vit sa vie. Par conséquent, un converti qui apprend la Tôroh
est tout autant un descendant des Patriarches qu'un Juif de naissance
qui apprend la Tôroh.
Le
Rambo''m soutient donc que même
un Gôy qui ne s'est pas converti a un potentiel de bonté qui est
essentiellement similaire à celui d'un Juif.
Tout être humain a le potentiel d'utiliser son libre arbitre pour
perfectionner ses traits de caractère et être aussi juste que
Môshah Rabbénou ע״ה.9
Bien sûr, le Rambo''m admet que les traits de caractère des Juifs
sont nettement plus raffinés que ceux des Gôyim. Cependant,
cela n'est pas dû à une différence essentielle dans leur âme,
mais plutôt aux effets éducatifs de la Tôroh.
Le Rambo''m souligne10 :
La
cruauté et l'effronterie ne se trouvent que parmi les Gôyim
incirconcis, tandis que les descendants de `avrohom `ovinou, les
Juifs qui ont été honorés par la bonté de la Tôroh et ses lois
et statuts justes, sont miséricordieux envers tous.
Cette
formulation implique que le caractère miséricordieux d'un Juif
découle de l'influence morale de la Tôroh et de ses lois, et la
cruauté d'un Gôy est due à la culture de ´avôdhoh
Zoroh dans laquelle il baigne.
Tout
comme le Rambo''m ne limite pas le potentiel de perfection morale aux
seuls Juifs, il ne limite pas la capacité de réalisation
spirituelle au peuple juif. Dans un passage célèbre à la fin du
livre de Zaro´im
dans son Mishnéh Tôroh, le Rambo''m enseigne que non seulement la
tribu de Léwi reçoit une allocation de Hashshém afin de soutenir
leurs efforts spirituels; mais qu'en fait, tout individu dans le
monde entier, si son esprit le motive et son intellect le guide à
consacrer sa vie à la ´avôdhath
Hashshém, sera sanctifié avec une sainteté exaltée, et Hashshém
pourvoira à ses besoins comme Il a pourvu à ceux des Kôhanim
et Lawiyim
dans la Tôroh. Il
est à noter que le Rambo''m ne restreint pas ce mode de vie
idéaliste et cette intense Providence Divine aux seuls Juifs, mais
inclut explicitement chaque être humain dans le monde dans cette
suggestion ambitieuse.
Il est probable qu'il ait été inspiré par la Gamoro`11,
qui déclare que même un Gôy qui apprend la Tôroh équivaut à un
Kôhén Godhôl.12
Il semble clair de ce passage que tout être humain, qu'il soit Juif
ou Gôy, peut atteindre les plus hauts sommets de la spiritualité.
Ceux
qui croient qu'un Gôy est fondamentalement incapable de réalisation
spirituelle, comment interprètent-ils la comparaison faite dans le
Talmoudh entre un Gôy apprenant la Tôroh et un Kôhén Godhôl ?
Le Zôhar13
explique ce passage talmudique en se basant sur une autre déclaration
talmudique qui enseigne qu'un Talmidh Hokhom
Mamzér est préférable à un Kôhén Godhôl ´am Ho`oras.
Le Zôhar, reliant ces deux passages, explique qu'un Gôy qui apprend
la Tôroh n'était pas comparé à un Kôhén Godhôl ordinaire, mais
plutôt au Kôhén Godhôl ´am Ho`oras
susmentionné, dont la ´avôdhoh
dans le Béth Hammiqdosh est invalide et finalement sans valeur.
Ainsi, la véritable intention de la Gamoro`,
d'après le Zôhar, est d'enseigner que la Tôroh apprise par un Gôy
est considérée comme sans valeur (de la même manière que la
´avôdhoh
d'un Kôhén Godhôl ´am Ho`oras),
car un Gôy est incapable d'atteindre la vraie spiritualité.
- L'humain est chéri
Un
autre passage qui est interprété différemment par les penseurs des
deux côtés de ce débat est une Mishnoh dans `ovôth
3:14,
qui déclare : חָבִיב
אָדָם שֶׁנִּבְרָא בְצֶלֶם
« L'humain
(`odhom) est chéri, car il a été créé à l'image [de
Hashshém] ».
Le sens simple de cette Mishnoh ressort clairement à partir du
contraste avec l'enseignement qui vient juste après, qui déclare :
חֲבִיבִין
יִשְׂרָאֵל שֶׁנִּקְרְאוּ בָנִים
לַמָּקוֹם
« Les
Israélites sont chéris, car ils ont été appelés des fils pour
Hammoqôm ».
Si
cette partie de la Mishnoh traite spécifiquement du peuple juif,
alors sa première partie, qui prend soin de mentionner « l'humain »,
se réfère certainement à toute l'humanité.
C'est ce que conclut le Tôsophôth Yôm Tôv qui exprime son
étonnement vis-à-vis de quiconque tenterait d'interpréter cette
Mishnoh différemment. Cependant, R. Hayyim
Wita`l, le disciple du `ar''i, a soutenu que cette
Mishnoh ne se réfère qu'aux Juifs et non aux Gôyim,
en s'appuyant sur l'opinion de R. Shim´ôn exprimée dans le
contexte des Halokhôth
de l'impureté d'un cadavre, que seuls
les Juifs sont appelés `odhom (humain).14
- Se marier à un converti
Ce
débat fondamental affecte non seulement la vision que l'on a du
statut spirituel des Gôyim, mais aussi la question pratique du
statut des convertis. L'obligation d'aimer et de protéger un
converti est mentionnée à plusieurs reprises dans la Tôroh. On
pourrait conclure, comme l'a fait le Rambo''m, qu'un converti est
considéré à tous égards comme un Juif de naissance, et que nous
devons nous rapporter à lui de la même manière que nous le faisons
avec tout autre Juif.15
Dans cet esprit, R. Môshah Sternbuch, interrogé sur l'opportunité
d'épouser un converti, a répondu16
que chaque converti devrait être jugé en fonction de son niveau
spirituel individuel; il
ne faut pas refuser un véritable partenaire conjugal simplement en
raison de sa lignée.
R.
Manashshah
Klein, cependant, se basant sur l'opinion selon laquelle l'âme d'un
converti a un statut fondamentalement inférieur à celui d'un Juif
de naissance, tranche que même si l'on est obligé d'aimer un
converti, il est certainement inapproprié de se marier avec un
converti ou de conseiller un autre Juif de le faire. Il va jusqu'à
avertir que si
quelqu'un se marie avec un converti, ses enfants ne réussiront pas
religieusement parce qu'ils hériteront d'une impureté spirituelle
essentielle qui empêche l'apprentissage de la Tôroh et le
développement religieux.17
- Statut des Juifs non religieux
Ces
différentes approches sur l'élection juive affectent également
notre vision des Juifs non religieux. Le Rambo''m, qui attribue la
totalité de la différence entre Juif et Gôy à l'éducation,
conclut que tout
comme un Gôy qui apprend et suit la Tôroh est l'équivalent d'un
Juif, un Juif qui ne croit pas en la Tôroh est l'équivalent d'un
Gôy.
Dans la lettre susmentionnée au converti, R. ´ôvadhyoh, le
Rambo''m déclare explicitement que `avrohom `ovinou est le père de
« ses
descendants justes qui suivent son chemin et tous ses étudiants et
futurs convertis ».
L'implication claire est qu'un Juif de naissance qui ne suit pas le
chemin de `avrohom `ovinou ne peut pas rattacher sa lignée aux
patriarches Juifs, car il s'exclut du peuple juif de par sa non
observance de la Tôroh.
Plus
explicitement, dans son Commentaire sur la Mishnoh18,
après avoir énuméré les treize principes de la foi juive, le
Rambo''m déclare explicitement que seul
celui qui croit en ces treize principes est considéré comme faisant
partie du peuple juif. Celui qui doute de ces principes, cependant,
n'est pas considéré comme faisant partie du collectif juif et ne
reçoit ni une portion du monde à venir ni l'amour fraternel de ses
frères Juifs dans ce monde.
- Conclusion
Nous
avons vu deux conceptions très différentes de la différence entre
Juifs et Gôyim. Le Séphar Hakkouzori et le Tanya` voient une
différence essentielle entre Juif et Gôy, exprimée comme une
supériorité qualitative par le Kouzori et comme le contraste entre
le bien et le mal par le Tanya`. Le Rambo''m comprend, lui, que tous
les êtres humains sont essentiellement semblables et que la nature
exaltée de l'âme juive résulte de l'influence éducative de la
Tôroh et des Miswôth.
Cette Mahlôqath
affecte la façon dont nous percevons les Gôyim, les convertis et
les Juifs renégats.
11:26-43,
95-115
2Chapitres
1-2
3Cette
idée tire ses racines dans le Zôhar, Introduction, page 13a
4Introduction,
page 13a
5`iggarôth
Qôdhash, Volume 9 Section 2666
6Midhbar
Qadhémôth, Partie 3, Section 3
7Tôrath
Manahém, Volume 22, pages 61-62
8Bikkourim
1:4
9Hilkôth
Tashouvoh 5:2
10Hilkôth
´avodhim 9:13
11Bavo`
Qammo` 38a ; Sanhédhrin 59a ; ´avôdhoh Zoroh
3a
12Il
convient de signaler que l'on parle ici d'un Gôy qui étudie et met
en pratique les parties de la Tôroh qui se rapportent à lui, à
savoir, les lois noahides
13Zôhar
Hodhosh, Routh 37b
14Yavomôth
61a ; Bavo` Masi´a`
114b ; Karithôth 6b. Le
Mahara''l, dans son commentaire Darakh Hahayyim sur cette
Mishnoh, adopte une approche médiane, expliquant que l'image Divine
se trouve dans toute l'humanité, mais ne trouve sa pleine
expression que dans le peuple juif.
15Le
R. Soloveitchik a écrit explicitement qu'un converti possède
exactement la même sainteté qu'un Juif de naissance (On
Repentance, pages 236-237)
17Mishnéh
Halokhôth 9:236-237 ; 10:239
18Sanhédhrin
10a