בס״ד
Porter
un Shaytel est de la pure farce !
Mon
opinion est que le Shaytel1
est interdit sous toutes ses formes et couleurs et que c'est une
méthode du ´Érav Rav pour souiller le peuple d'Israël.
Certains
grands Rabbonim des générations passées ont permis l'usage de
Shaytelakh. Mais c'était parce qu'avec l'émancipation dez Juifs, de
nombreuses femmes ne désiraient plus se couvrir la tête d'un
foulard. Pour remédier à cela, ils ont alors permis d'utiliser des
Shaytelakh. Mais les Shaytelakh de ces temps-là étaient laids et
ressemblaient très peu à des cheveux humains. De nombreuses
personnes, parmi lesquelles des Hasîdîm
appartenant à des communautés tout à fait honorables, utilisent de
travers ces opinions pour justifier leur recourt aux Shaytelakh
modernes.
Les
perruques des générations passées étaient horribles et
ressemblaient souvent à de la fourrure étrangère que l'on avait
déposée sur la tête. Les perruques d'aujourd'hui sont créées au
moyen de technologies très sophistiquées et ressemblent exactement
à de vrais cheveux. En outre, au look réaliste des Shaytelakh
d'aujourd'hui s'ajoute le fait qu'ils sont souvent coupés et
modélisés pour ressembler aux styles impurs, impudiques et
inappropriés de la culture occidentale moderne.
Le
Shaytel est sans aucun doute l'une des coutumes de la vie juive
moderne la plus étrange. Peu importe les nombreux articles ridicules
que de nombreuses Rebbetzin et blogs religieux rédigent pour
justifier et rationaliser cette pratique, elle n'est pas normale, ni
saine.
Le
Shaytel est tout sauf Sanî´outh (pudique). Ce qui est
ironique, puisque l'une des raisons du principe de « Kîssouy
HaRô`sh » (couvrir la tête) est la pudeur. Toutes ces
personnes qui défendent le Shaytel, lorsqu'on leur demande pourquoi
les femmes Juives doivent couvrir leurs cheveux, répondent très
justement que dans le Judaïsme, les cheveux de la femme sont
considérés érotogènes et sensuels. Mais comment éviter alors de
séduire en remplaçant ses cheveux naturels par des cheveux ayant
poussé sur les têtes d'autres femmes, et qui s'avèrent souvent
être plus beaux encore que ses propres cheveux ? Cela n'a aucun
sens, et l'argument moral est totalement absent !
Mais
le problème est pire encore, parce que lorsqu'on confronte les
défenseurs du Shaytel sur ces paradoxes, la réponse qu'ils
apportent est « Je ne fais que suivre la Halokhoh ! »
C'est totalement faux ! La raison première pour laquelle la
majorité des femmes portent le Shaytel est afin d'être vues comme
« Madame tout le monde », ne pas être « confondues »
avec des Musulmanes si elles portaient le foulard ! C'est une
réalité lorsqu'on prend la peine de discuter avec les femmes Juives
qui refusent de porter le foulard plutôt que la perruque. Porter le
Shaytel n'a donc rien à voir avec la Halokhoh, mais est simplement
une mesure sociale. Le Shaytel n'a pas de place dans le Judaïsme !
C'est une corruption de notre culture, de nos traditions ! Nos
femmes n'ont jamais porté de Shaytelakh, mais des foulards et des
voiles.
Le
Shaytel représente tout ce qui ne va pas dans le Judaïsme Orthodoxe
d'aujourd'hui ! Une pratique sans tête ni queue, déconnectée
de la moralité de notre religion, suivie par un troupeau de moutons
qui n'ont plus de cerveau pour réfléchir et voir que quelque chose
ne va pas dans cette pratique. Et tout cela est fait au nom de la
Halokhoh !
Ces
derniers jours, lorsqu'on regarde ce qui se passe au sein du Judaïsme
Orthodoxe d'aujourd'hui, que ce soit chez les « Modern
Orthodox » ou chez les « Harédîm »,
on peut se demander ce que signifie encore le terme « Halokhoh ».
Mais une chose est certaine, le Shaytel et tout ce qui va avec, n'a
rien à voir avec la Tôroh et le Judaïsme. Ce n'est pas beau, ce
n'est pas spirituel, ce n'est pas inspirant, et ce n'est pas bien !
Comme
cela avait été dit dans l'article intitulé « Renverser
la hiérarchie », les Juifs Orthodoxes ont inventé la
doctrine des « Grands de la Génération », qu'ils ne
suivent en réalité que lorsque leurs avis vont dans le sens de ce
qu'ils veulent entendre. Autrement, même les paroles de ces pseudos
« Grands de la Génération » sont ignorées. Le port du
Shaytel est un autre exemple pour illustrer cette hypocrisie, car
voici quelques-uns des Rabbonim Harédim les plus
influents, qui ont tous condamnés à l'unisson l'usage des
Shaytelakh modernes, mais dont les paroles sont tout simplement
ignorées par la masse, qui préfèrent n'en faire qu'à sa tête, et
écouter les pseudos « Grands de la Génération » que
lorsque cela les arrange :.
Rabbi
Shalômôh Zalman Auerbach
|
Avant,
quand une femme portait un Shaytel, cela se voyait par tous, même
de très loin, que c'était une perruque. Elle avait une apparence
qui ressemblait à des fibres de lin, comme de la paille.
Aujourd'hui, à cause de nos énormes péchés, on ne peut faire
la différence, si c'est une perruque ou pas. Par
conséquent, le port du Shaytel est abominable à mes yeux.
On peut comparer cela à quelqu'un qui fait tout ce qu'il peut
pour qu'on en arrive à la conclusion que sa nourriture est Traif.
De même, ces femmes font tout ce qu'elles peuvent pour qu'on en
arrive à la conclusion que leurs cheveux ne sont pas couverts.
Par conséquent, c'est très dégoûtant
à mes yeux.
|
Rabbi
Sholôm Shabadran
|
Les
opinions permettant l'usage de Shaytelakh ne faisaient référence
qu'aux Shaytelakh qui ressemblaient à des poils de bouc. Les
Shaytelakh d'aujourd'hui font ressembler les femmes mariées à
des femmes célibataires, comme si elles marchaient la tête
découverte.2
Qui a permis un tel acte de Prisouth3 ?
C'est une Houspoh4
qui dépasse toutes les limites ! Une telle chose n'a jamais
été permise par les Rabbins. Il n'est même pas croyable qu'un
Rov ou un craignant D.ieu puisse permettre une chose si impure !
|
Rabbi
Shamou`él HaLéwî Vosner
|
Les
filles d'Israêl doivent faire extrêmement attention au
commandement leur enjoignant de couvrir leur tête, qui est un
Da`oraytho`. Pour l'amour de la sainteté des âmes du peuple
Juif, elles doivent être très Sanî´outh. Elles ne
doivent pas, Hos
WaSholôm, porter les diverses perruques modernes qui ne
sont pas différentes du fait de marcher la tête découverte.
Malheureusement,
à cause de nos nombreux péchés, beaucoup de femmes qui couvrent
leurs cheveux ne ressemblent pas du tout à des femmes Harédîyôth,
mais plutôt à une simple femme de la rue qui n'a rien dans la
tête. Elle ne ressemble pas à une Bath Yisro`él, ni à la femme
d'un Bèn Tôroh. Elle est plutôt comme une fille [ordinaire] de
Paris.
|
Rabbi
Hayîm Kanievsky
|
« La
raison pour laquelle les Rabbins antérieurs ont permis les
Shaytelakh était parce qu'on pouvait faire la différence. Si on
ne peut pas faire la différence, on doit être strict. »
Quand
on lui a montré un certain nombre de Shaytelakh modernes, il a
dit : « Ce ne sont pas de tels Shaytelakh dont les
Rabbins qui ont permis parlaient, et les Pôsqîm n'ont jamais eu
de divergences à ce sujet. Les Shaytelakh qui ressemblent à des
cheveux naturels sont interdits à cause du Marith 'Ayin, tout
comme les perruques qui n'ont pas totalement une apparence
naturelle. Si à cause de leur forme elles amènent les hommes à
regarder et à avoir des pensées impures, les Rabbins de notre
générations doivent en interdire l'usage ».
|
Le
Hozzôn `Îsh et
le Steipler Go`ôn
|
Ils
étaient tous les deux opposés au port du Shaytel et faisaient la
promotion de la Mithpohath5,
comme cela se voit de la décision prise par le Steipler Go`ôn de
ne pas acheter de Shaytelakh à ses filles pour leur mariage. Il
lança également de nombreux avertissements à Rabbi Gadalyoh
Nadel, un disciple du Hozzôn
`Îsh, pour qu'il s'y oppose et combatte celles qui en
portent.
|
Le
Brisker Rov
|
Il
préférait le port de la Mithpohath. Son fils, Rabbi Dowîd
Saloveitchik, a rapporté en son nom que « Le Hétér6
du Shaytel était faible ! »
|
Rabbi
Menahem Shach
|
Il
préférait le port de la Mithpohath, comme l'ont attesté
de nombreux Talmidéi Hakhomim. Il insista également
pour que sa femme ne porte qu'une Mithpohath, mais jamais
de Shaytel.
|
Rabbi
Shamou`él Auerbach, fils du Rav Shalômôh Zalman Auerbach
|
« Mon
père désirait ardemment que les filles d'Israël couvrent plus
particulièrement leurs têtes avec une Mithpohath. Il
souffrit énormément à cause du fait que les Shaytelakh
s'étaient répandus à travers la communauté juive. »
Ailleurs,
il écrit : « J'ai déjà rendu célèbre l'élément
important qui est l'un des fondements de la sainteté et de la
pureté du peuple Juif, de la beauté et du charisme des filles
d'Israël : à savoir, que les femmes Juives doivent couvrir
leurs têtes avec une Mithpohath. Filles d'Israël, soyez
fortes ! Ne soyez pas embarrassées par celles qui vous
humilient et vous rendent faibles. Ramenez vers vos têtes la
fierté de la beauté et de la Sanî´outh et vous serez
bénies en vous réalisant et par la paix de la sainteté ».
|
Rabbi
Yôséf Sholôm Elyashiv
|
On
lui demanda un jour si nous pouvions faire confiance aux vendeurs
de perruques qui affirment que leurs perruques peuvent être
portées. Il a répondu : « Rasho´îm7 !
Menteurs ! Il ne faut pas les croire ! »
À
une autre occasion, il a déclaré : « Il est pourtant
une chose claire que couvrir sa tête avec une Mithpohath
est de loin mieux qu'utiliser un Shaytel ».
Le
Rov bénissait systématiquement toutes les femmes qui avaient
fait le choix d'abandonner leurs Shaytelakh. Il donna la
permission de répandre en son nom que « les Shaytelakh
d'aujourd'hui sont une abomination ! »
|
Rabbi
Nissim Karelitz
|
Dans
une lettre, il écrit : « Aux filles pures d'Israël,
heureuses êtes-vous pour avoir sanctifié le Nom des Cieux. Notre
cœur était dans la joie d'entendre que bon nombre de femmes ont
accepté sur elles de retourner à la tradition originelle du
peuple Juif et de couvrir leur tête avec une Mithpohath
plutôt qu'un Shaytel, étant donné que la majorité des nouveaux
Shaytelakh ne respectent pas les critères de Sanî´outh ».
|
Le
Viznitser Rebbe
|
Je
viens renforcer ces femmes vaillantes qui sont passées d'un
Shaytel à une Mithpohath, et je les bénis
|
Rabbi
Doun Segal
|
Nous
voyons qu'en ce qui concerne les Shaytelakh, HaShem a pitié de
nous et cause de nombreuses catastrophes afin qu'on s'en éloigne.
Là maintenant, les Cieux proclament : « Éloignez-vous
de la ´Avôdoh Zoroh ! »
Il
est évident que nous devons nous améliorer dans ce domaine. Plus
particulièrement parce que nous sommes témoins de nombreux
accidents, Hos
WaSholôm ! Ce n'est pas simple. Cela doit être une
demande des Cieux que nous ne portions pas de Shaytelakh.
Beaucoup
d'hommes viennent me voir et disent qu'ils ont échoué au test de
la tentation des femmes Harédîyôth
qui se promènent dans ces Shaytelakh et vêtements. C'est
horrible ! Qui peut prendre sur lui la responsabilité d'une
pensée impure ? Penser à la femme d'un homme est comme un
feu. Nous sommes témoins de la destruction de nombreuses choses
saintes ces derniers temps. Givald8 !!!
Nous devons corriger et mettre fin au problème du Shaytel !
|
Rabbi
Sender Arlinger
|
Les
Shaytelakh d'aujourd'hui, qui ne sont ni Koshér, ni Sanî´outh,
se sont répandus. Ils excitent le Yésér Horo´ plus
intensément encore que des cheveux naturels. La preuve en est que
même les femmes non-Juives en portent pour le style. Il s'avère
que la raison même pour laquelle la Tôroh nous a ordonné de
couvrir les cheveux pour la Sanî´outh a été annulée.
Il semble clair que tous les Pôsqîm qui ont permis l'usage du
Shaytel retireraient complètement aujourd'hui leur Hétér et
mettraient sans aucun doute un certain nombre de limites afin
d'empêcher l'usage de ces Shaytelakh. Les Shaytelakh qui furent
permis ne se rapprochaient en rien des Shaytelakh qui existent à
présent.
|
Pasaq
Halokhoh du Béith Dîn Sadaq de la ´Éidoh
HaHarédîth de Yarousholayim
|
Il
est bien connu et reçu de génération en génération par les
anciens résidents de Yarousholayim ´Îr Haqqôdash,
puisse-t-elle être rebâtie prochainement, `Omén, qu'ils ont
suivi l'opinion des Pôsqîm qui interdisent aux femmes de porter
des perruques.
Sans
entrer dans les arguments de ces Pôsqîm, et sans s'attarder sur
ce qui est devenu normal de nos jours, à cause de nos nombreux
péchés, à savoir que des femmes mariées portent des perruques
qui leur font paraître comme des femmes célibataires, il
convient de noter que ces sortes de perruques ne possèdent aucune
autorisation dans les écrits des Pôsqîm.
Et
à présent, nous sommes venus vous révéler à travers ce Pasaq
notre opinion, l'opinion de la Tôroh : les cheveux qui
viennent d'Inde sont coupés afin d'être offerts à la ´Avôdoh
Zoroh, dans leurs maisons d’idolâtrie. Et nous savons qu'ils
sont fortement attachés à la ´Avôdoh Zoroh. Nous
interdisons donc d'en tirer profit !
Pour
ceux qui écouteront, puissent-ils être heureux et que de bonnes
bénédictions tombent sur eux.
Le
Béith Dîn Sadaq, ici, à Yarousholayim ´Îr
Haqqôdash.
Môshah
Sternbuch
Môshah
Halberstam
Yishoq
Touvia Weiss
Meri
Bransdofer
`Avrohom
Yishoq Ullman
|
Le
Rambam זצ״ל
et
le Séfèr HaHinoukh attestent effectivement que la pratique
des idolâtres consistant à couper leurs cheveux afin de les
consacrer à une idole est très ancienne.
Rabbi
´Ôvadyoh Yôséf
|
Concernant
les femmes qui portent des perruques, il a affirmé « elle
et sa perruque brûleront en enfer ! »
Il
a ajouté que si une femme porte une perruque à l'intérieur
d'une Synagogue, elle et son mari doivent être excommuniés :
« Comment peut-elle prier à Rô`sh HaShonoh, alors qu'elle
porte une perruque ? Si la femme aspire à avoir des enfants
intègres, qu'elle retire la perruque ; sinon, elle aura des
enfants impertinents ».
|
Le
Baba Salé, Rabbi Yisro`él Abouhasera
|
Et
la femme qui porte des perruques, même une petite, elle est en
train de préparer le bucher sur lequel elle sera brûlée dans le
Geihinnom !
|
Rabbi
Môshah Sternbuch
|
Concernant
la question que beaucoup posent au sujet des perruques fabriquées
à partir de cheveux Européens, il a été démontré que la
majorité d'entre elles sont en fait fabriquées à partir de
cheveux Indiens provenant de la ´Avôdoh Zoroh.
|
J'ai
une liste de 91 Gadôlim parmi les Pôsqîm de tous les pays
et de toutes les époques qui ont interdit l'usage de la perruque
sous toutes ses formes, tailles, couleurs, origines, etc.
En
outre, si vous pensiez qu'il y avait des exagérations dans le
business de la Kashrouth, sachez que c'est pire encore dans le
business des « Shaytelakh orthodoxes ». En effet, un
Shaytel peut coûter entre 1000 et 5000 € ! Vérifiez par
vous-mêmes :
- http://sheitel.com (site « orthodoxe » de vente de Shaytelakh)
- http://www.mcwigs.com (ce site n'est pas Juif, mais à la page d'accueil, ils se vantent de vendre tous les jours des perruques à des femmes de confession juive. Ils font partie des plus grands fournisseurs de perruques à la communauté juive. Aucune de leurs perruques n'est Sanî´outh)
- http://www.lenaswigs.com (site « orthodoxe » de vente de Shaytelakh. Là, on touche le fond de la l'impudicité rien qu'en voyant les perruques des trois femmes qui servent de modèles sur leur page d'accueil)
Conclusion :
L'opinion
des Pôsqîm est sans équivoque : il faut utiliser une
Mithpohath et non un Shaytel.
Voici
à présent un nombre de raisons supplémentaires pour lesquelles il
convient d'utiliser une Mithpohath plutôt qu'un Shaytel :
- l'écrasante majorité des Pôsqîm interdisent catégoriquement de porter un Shaytel
- toute personne sincère et clairvoyante n'a pas besoin de dessin pour comprendre qu'un Shaytel est tout sauf pudique
- il est plus facile d'empêcher ses cheveux de glisser avec une Mithpohath. Même lorsque des cheveux glissent, la femme le remarque et peut les remettre dans la Mithpohath, tandis qu'avec un Shaytel, la femme ne le remarque même pas
- les perruques d'antan n'étaient pas faites de cheveux pour la plupart d'entre elles (par exemple, les Égyptiens portaient des perruques constituées de plantes tressées ou de crin). Comment une femme peut-elle croire qu'elle réalise la Miswoh de couvrir ses cheveux en les couvrant...avec des cheveux, qui souvent proviennent de la tête de femmes idolâtres ?
- de nombreux Rabbins ont démontré que les étiquettes de « Kashrouth » qui affirment que la perruque ne contient pas de cheveux venus d'Inde sont mensongers
- la Tôroh interdit de provoquer un Hilloul HaShem devant les non-Juifs, mais exhorte au contraire à provoquer un Qiddoush HaShem parmi eux. Or, le Shaytel peut être une cause de Hilloul HaShem, car lorsque les non-Juifs voient que des Harédim/Hasîdîm portent des Shaytelakh, qui sont même plus beaux que des cheveux naturels, ils comprennent de là que la Tôroh peut être négligée pour des considérations personnelles (car la vérité est que la quasi totalité des femmes religieuses qui portent le Shaytel le font pour ne pas porter le foulard, par crainte d'être confondues à des Musulmanes, ce qui n'est pas une raison valable pour ne pas porter le foulard), alors que les non-Juifs savent pertinemment bien qu'une femme Juive est sensée porter un foulard
- le Shaytel est une des raisons pour lesquelles les non-Juifs ne nous prennent pas au sérieux
- une Mithpohath est de loin moins cher qu'un Shaytel. Plutôt que de gaspiller votre argent pour un Shaytel à 800, 900, 1000 € ou plus, donnez l'intégralité de cette somme à la Sadoqoh. Ce sera un meilleur investissement.
1Perruque
3Débauche.
4Acte
de culot.
5Le
foulard.
6La
permission
7Impies.
8Ça
suffit !