בס״ד
Introduction
aux Shava´ Miswôth Bané
Nôah
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Au
commencement, Hashshém ית׳
a
établi un ensemble de règles, avec `odhom et Hawwoh ע״ה
dans
le Gan ´édhan, afin de garantir la justice sur terre. Ces règles
furent données à `odhom Hori`shôn, et à travers lui à tous les
humains. Du temps de Nôah ע״ה,
Hashshém ajouta une règle supplémentaire. Ces règles incombaient
(et incombent encore) à tous les humains, sans distinction de race
ou de couleur. Elles sont au nombre de sept, et sont ce qu'on appelle
שבע
מצוות בני נח « Shava´
Miswôth Bané
Nôah – Les Sept Commandements des Enfants de
Nôah ».
Le
Talmoudh délimite les lois de Nôah :1
Nos
Rabbins ont enseigné : sept préceptes furent ordonnés aux
fils de Nôah : les lois sociales2,
s'abstenir du blasphème, de l’idolâtrie, de l'immoralité
sexuelle, de l'effusion de sang, du vol, et de la consommation de la
chair arrachée d'un animal vivant.
Ces
sept lois stipulent donc que :
- le meurtre est interdit ;
- le vol est interdit ;
- les relations sexuelles immorales sont interdites ;
- consommer la chair d'un animal vivant est interdit ;
- l’idolâtrie est interdite ;
- maudire le Nom de Hashshém est interdit ;
- l'humanité a reçu l'ordre d'établir des tribunaux de justice et de faire appliquer la justice.
Un
Gôy qui accepte ces sept lois et les met méticuleusement en
pratique est appelé גר
תושב « Gér
Tôshov », terme qui signifie littéralement « un
étranger résident ».3
Il est un étranger ayant droit de résidence en Terre d'Israël au
milieu des Juifs, étant donné qu'il respecte l'alliance de lois que
Hashshém a faite avec toute
l'humanité. Son obéissance à ces sept lois, qui forment les
principes élémentaires d'une humanité civilisée lui permet d'être
un citoyen « étranger » qui peut jouir de tous les
droits et privilèges de la loi sociale israélite.
Un
Gôy qui accepte ces sept lois et les met méticuleusement en
pratique aura une part dans le ´ôlom Habbo` (le Monde-à-Venir),
pourvu qu'il les accepte et les met en
pratique parce que Hashshém l'a ordonné dans Sa Tôroh !
Mais si son observance est basée sur la raison, il n'est pas un Gér
Tôshov. Il n'est pas suffisant d'y obéir parce qu'elles sont
rationnelles ou logiques. Il faut le faire avec la pleine conscience
que c'est parce que Hashshém l'a ordonné !
C'est
une obligation qui incombe à chaque israélite d'enseigner aux Gôyim
à mettre en pratique les lois noahides ! Le Rambo''m ז״ל
tranche
explicitement la Halokhoh suivante :4
Môshah
Rabbénou n'a confié la Tôroh et les Miswôth qu'à
Yisro`él, ainsi qu'il est dit5 :
« c'est l'héritage de l'assemblée de Ya´aqôv »,
et à tout celui qui désire se convertir parmi les autres
peuples, ainsi qu'il est dit6 :
« Comme vous, ainsi {sera} le converti ».
Toutefois, celui qui ne l'a pas désiré, ils ne le forcent pas à
accepter la Tôroh et les Miswôth. Et de même, Môshah
Rabbénou ordonna, par la bouche de la Puissance, de contraindre
tous les habitants du monde à accepter toutes les Miswôth
que s'est vu ordonner Nôah. Et tout celui qui n'accepte
pas sera exécuté ! Et celui qui les accepte est celui qui
est appelé « Gér Tôshov » en tout lieu. Et
il a besoin d'accepter sur lui {ces Miswôth} en présence
de trois Havérim7.
Et tout celui qui accepte sur lui de se faire circoncire et douze
mois sont passés sur lui et il n'a pas été circoncis, voici,
celui-ci est comme une sorte faisant partie des peuples.
|
מֹשֶׁה
רַבֵּנוּ לֹא הִנְחִיל הַתּוֹרָה
וְהַמִּצְווֹת אֵלָא לְיִשְׂרָאֵל,
שֶׁנֶּאֱמָר
"מוֹרָשָׁה,
קְהִלַּת
יַעֲקֹב",
וּלְכָל
הָרוֹצֶה לְהִתְגַּיַּר מִשְּׁאָר
הָאֻמּוֹת,
שֶׁנֶּאֱמָר
"כָּכֶם
כַּגֵּר".
אֲבָל
מִי שֶׁלֹּא רָצָה,
אֵין
כּוֹפִין אוֹתוֹ לְקַבַּל תּוֹרָה
וּמִצְווֹת.
וְכֵן
צִוָּה מֹשֶׁה רַבֵּנוּ מִפִּי
הַגְּבוּרָה,
לָכֹף
אֶת כָּל בָּאֵי הָעוֹלָם לְקַבַּל
כָּל מִצְווֹת שֶׁנִּצְטַוָּה נוֹחַ,
וְכָל
מִי שֶׁלֹּא קִבַּל,
יֵהָרֵג.
וְהַמְּקַבֵּל
אוֹתָם--הוּא
הַנִּקְרָא גֵּר תּוֹשָׁב בְּכָל
מָקוֹם,
וְצָרִיךְ
לְקַבַּל עָלָיו בִּפְנֵי שְׁלוֹשָׁה
חֲבֵרִים.
וְכָל
הַמְּקַבֵּל עָלָיו לָמוּל,
וְעָבְרוּ
עָלָיו שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ וְלֹא
מָל--הֲרֵי
זֶה כְּמִין שֶׁבָּאֻמּוֹת.
|
Chaque
israélite a donc une obligation religieuse remontant à Môshah
Rabbénou ע״ה
d'enseigner
ces lois noahides à toute l'humanité. Or, peu de Juifs
aujourd'hui accomplissent leur devoir d'instruction et expansion des
lois noahides dans le monde. Et la conséquence fâcheuse de cela est
que l’idolâtrie et l'insoumission à Hashshém perdurent, alors
que l'humanité entière est appelée à reconnaître Hashshém et à
Le servir. En tant que Juifs, nous avons été appelés à être une
lumière pour les Gôyim afin de leur montrer la voie menant à
Hashshém. Nous ne pouvons pas nous plaindre des mauvaises mœurs des
Gôyim qui nous entourent, et du fait que l'islam et le christianisme
prospèrent, alors que dans le même temps nous refusons notre
mission de contraindre les nations du monde à accepter les lois
noahides.
Il
est faux de penser que puisque les Bané Yisro`él
ont reçu 613 Miswôth alors que les Bané
Noah n'en ont reçu que 7 signifie que les israélites sont
plus bénis ou ont une valeur spirituelle de 613 contre 7. En fait,
les Sept Miswôth des Bané Noah
sont des catégories de commandements, chacune étant
subdivisée en d'innombrables autres lois et détails. Par
conséquent, la disparité numérique ne reflète en rien la valeur
spirituelle supposée de ces deux systèmes d'adoration du Créateur.
Les
Sept Lois Noahides sont toutes formulées dans le sens de
l'interdiction, à l'exception de l'obligation d'établir des lois
sociales, des tribunaux et des sanctions pour s'assurer de
l'application de la justice dans la société.
Il
convient de noter que le Talmoudh mentionne le fait qu'en plus de ces
Sept Lois Noahides, plusieurs Rabbonim imposaient aux Noahides
de prendre sur eux d'autres interdictions :8
Ribbi
Hanino` ban Gamli`él a dit : « Aussi
le fait de ne pas consommer du sang extrait d'un animal vivant ».
Ribbi Hidqo` ajoutait l'émasculation. Ribbi Shim´ôn
ajoutait la sorcellerie. Ribbi Yôsé a dit : « Les
Gôyim furent interdits [de s'adonner] à quoi que ce soit qui serait
mentionné dans la Poroshoh sur la sorcellerie... »
En
fait, ce ne sont pas des ajouts. Ce que le Talmoudh veut nous faire
comprendre, c'est qu'il n'y a pas sept commandements à respecter,
mais sept catégories, car chaque catégorie est composée de
nombreuses lois et interdictions. Selon l'opinion communément
acceptée, les sept catégories de commandements noahides se
divisent en au moins soixante-six lois que les non-Juifs ont
l'obligation de respecter. En plus de ces lois, les Noahides
ont traditionnellement accepté sur eux l'accomplissement de Miswôth
telles que l'honneur des parents ou encore celle de la Sadhoqoh.
En
outre, puisque Nôah a reçu le commandement de remplir la
terre, nous apprenons qu'il est du devoir moral de chaque individu de
reproduire la race humaine en faisant autant d'enfants que possible.
Le
Talmoudh9
nous donne également la sanction qu'encourent les Gérim Tôshovim
qui transgresseraient l'une des lois noahides : la peine
de mort. Et plus spécifiquement pour l'immoralité sexuelle,
l'effusion de sang, le blasphème et l’idolâtrie.
Voici
à présent la liste des 66 commandements reconnus qui entrent dans
les sept catégories des lois noahides :
- Le meurtre
1)
Se tuer et tuer les autres (pas de meurtre, ni assassinat ;
pas de suicide ; pas d’infanticide ; et certains ajoutent
même l’interdiction du Loshôn Hora´ dans la catégorie du
meurtre)
- Le vol
2)
Le vol
3)
Le cambriolage
4)
Le fait de repousser les bornes de son voisin ou d’un lieu
5)
La triche
6)
Refuser de rembourser un montant d’argent que l'on doit à
autrui
7)
Surestimer ou surtaxer un produit
8)
La convoitise
9)
Le désir néfaste (on peut l'inclure avec la convoitise)
10)
Un laboureur10
devrait être autorisé (sous certaines conditions) à manger du
fruit qui se trouve sur le lieu où il travaille
11)
Interdiction pour le laboureur de manger de tels fruits si
certaines conditions ne sont pas remplies
12)
Interdiction pour le laboureur de ramener des fruits chez lui
sans autorisation explicite ou implicite
13)
Le kidnapping
14)
L’usage de fausses unités de poids et de mesures
15)
Interdiction de posséder chez soi de fausses balances avec de
fausses unités de poids et de mesures11
16)
Interdiction d’être inexacte dans l’emploi des poids et des
mesures
17)
Le voleur doit rendre l’objet volé ou dédommager sa victime
- Les relations interdites
18)
Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec sa
mère
19)
Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec sa
sœur
20)
Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec la
femme de son père
21)
Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec la
femme d’un autre homme
22)
Interdiction pour un homme de copuler avec un animal
23)
Interdiction pour une femme de s'accoupler avec un animal
24)
Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec son
père
25)
Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec un
être du même sexe
26)
Interdiction pour un homme/une femme d’avoir une union avec la
sœur de son père
27)
Interdiction de s’engager dans un comportement qui pourrait
mener à une union illicite (Le Shoulhon ´oroukh consacre
aussi tout un chapitre à l'interdiction d’avoir des pensées
d'immoralité sexuelle et au fait de décharger sa semence en vain.
Dans cette catégorie, certains incluent les mariages blancs ou qui
sont contractés par pur bénéfice12,
qui constituent des unions illicites. On y ajoute aussi
l’interdiction de castration ou le fait d’accoupler ensemble des
animaux de races différentes).
- La chair d’une créature vivante
28)
Ne pas manger un membre arraché d’un animal vivant
- L’idolâtrie
29)
Ne pas même concevoir dans ses pensées l'existence d'un autre
dieu que Hashshém
30)
Interdiction de fabriquer une image taillée (et même de se la
faire faire par quelqu’un d’autre)
31)
Interdiction de fabriquer des idoles destinées à être
utilisées par d’autres personnes
32)
Ne pas fabriquer de statues de choses interdites (même si elles
ont un but décoratif)
33)
Interdiction de s’agenouiller devant une idole (et de ne pas
offrir de sacrifice à ces idoles, de ne pas faire couler de
libations pour ces idoles, de ne pas brûler de l’encens pour ces
idoles, même si ce n’est pas la coutume d’agir ainsi à l’égard
de telles idoles)
34)
Interdiction de rendre un culte à une idole selon les coutumes
en vigueur pour le service de cette idole
35)
Interdiction de faire passer ses enfants par le feu (selon le
service d’adoration à Môlakh)
36)
Interdiction de pratiquer `ôv (enchantement, prédiction de
l'avenir)
37)
Interdiction de pratiquer Yidda´ôni
(sorcellerie, divination, magie)
38)
Interdiction de s’adonner à l’idolâtrie (en pensée, en
fait, en parole ou en pratiquant une coutume qui pourrait nous amener
à l’idolâtrie)
- Le blasphème
39)
Reconnaître l’existence de Hashshém13
40)
Craindre Hashshém
41)
Prier Hashshém
42)
Sanctifier le nom de Hashshém.
C’est ce que l’on appelle faire un Qiddoush
Hashshém
43)
Interdiction de provoquer la
désacralisation du nom de Hashshém. C’est ce que l’on appelle
faire un Hilloul
Hashshém
44)
Étudier la Tôroh14
45)
Il faut honorer les érudits de la Tôroh15,
et reconnaître l'autorité des enseignants et se soumettre à eux
46)
Interdiction de blasphémer par quelque moyen que ce soit (à
cette liste, on ajoute le grave péché consistant à ne pas
reconnaître l’unicité, la singularité de Hashshém ; de ne
pas honorer son père et sa mère ; de pratiquer la sorcellerie,
la magie, la nécromancie, les sorts, les enchantements et le fait
d’être medium)
- La justice
47)
Nommer des juges et des
magistrats dans toutes les communautés, ou les consulter
48)
Régler les litiges équitablement selon la loi mise en place
49)
Vérifier en profondeur les témoignages des témoins (ne pas
croire que sur parole)
50)
Ne pas tolérer les manquements de la justice (il faut
s’offusquer lorsque les cours ne rendent pas justice)
51)
Interdiction pour le juge d’accepter un cadeau ou un pot-de-vin
d’une partie quelconque
52)
Interdiction pour le juge de ne montrer des marques d’honneur
et de respect qu’à l’égard d’une des parties
53)
Interdiction pour le juge de craindre les menaces d’une des
parties
54)
Interdiction pour le juge de favoriser ou d’avoir compassion du
pauvre durant un procès
55)
Interdiction pour le juge de discriminer un plaignant parce que
celui-ci est connu pour être un pécheur (même les pécheurs ont
droit à la justice)
56)
Interdiction pour un juge (sauf en cas de manque de preuves) de
ne pas prononcer une peine pour un meurtrier ou un coupable
57)
Interdiction pour le juge de discriminer un étranger ou un
orphelin
58)
Interdiction pour un juge d’écouter une partie en l’absence
de l’autre
59)
Interdiction de nommer un juge qui manque de connaissance à
l’égard de la Loi
60)
Interdiction pour un tribunal de tuer un innocent
61)
Interdiction d’incriminer quelqu’un sur base de preuves
indirectes
62)
Interdiction de punir un crime commis par coercition (sous la
contrainte)
63)
Le tribunal doit pratiquer la peine de mort
64)
Interdiction de se faire justice soi-même en tuant un malfaiteur
passible de la peine de mort (il n’y a pas consensus sur ce point)
65)
Il est obligatoire d’aller témoigner dans un tribunal
66)
Interdiction de faire un faux témoignage au sein d’un tribunal
Ce
qui rajoute du crédit aux Lois Noahides est qu'elles sont
compatibles avec les Dix Paroles, qui sont :
- La croyance de l'existence de Hashshém
- l'interdiction de l’idolâtrie
- l'interdiction d'employer le Nom de Hashshém en vain
- l'obligation du respect du Shabboth
- l'honneur dû aux parents
- l'interdiction du meurtre
- l'interdiction de l'adultère
- l'interdiction du vol
- l'interdiction de porter contre autrui un faux témoignage
- l'interdiction de convoiter ou de désirer ce qui appartient à autrui.
Dès
le premier coup d’œil, les Dix Paroles incluent cinq des sept Lois
Noahides. Deux de ces cinq lois sont quasiment formulées de
la même manière que dans les Dix Paroles, alors que les trois
autres sont des énonciations spécifiques d'une généralité. Ces
cinq lois communes sont :
Lois
Noahides
|
Dix
Paroles
|
|
2ème
parole
|
|
1ère
et 3ème paroles
|
|
7ème
parole
|
|
6ème
parole
|
|
8ème
parole
|
Cela
nous indique que les 4ème, 5ème, 9ème
et 10ème paroles ne furent pas incluses dans les Sept
Lois Noahides, au sens « littéral ». Mais une
analyse plus minutieuse des Lois Noahides indiquent qu'il y a
de bonnes raisons de croire qu'elles peuvent et doivent être
incluses indirectement :
- Désobéir à la 4ème parole peut à juste titre être considéré comme un blasphème et/ou de l’idolâtrie, et violerait donc une ou deux lois noahides.
- Étant donné que l'honneur dû aux parents est un microcosme de l'honneur dû à Hashshém, y désobéir est une forme « mineure » de blasphème contre Hashshém, et va donc à l'encontre d'une loi de Nôah.
- Désobéir à la 9ème parole va à l'encontre de l'obligation de la justice, et pourrait même être compté dans l'interdiction du blasphème, car cela cause un Hilloul Hashshém. C'est donc la transgression d'au moins une loi de Nôah.
- Désobéir à la 10ème parole peut amener à la transgression de l'interdiction de l'immoralité sexuelle, du vol ou du meurtre. Cela peut donc causer la transgression potentielle de trois lois noahides, sans oublier celle de l’idolâtrie.
Une
analyse plus poussée de la signification sous-jacente des Lois
Noahides démontre donc qu'elles sont compatibles avec les Dix
Paroles. On peut donc voir les Lois Noahides comme un système
« simplifié » des Dix Paroles.
Il
nous reste deux lois noahides, celle interdisant la
consommation du membre arraché d'un animal vivant et celle
enjoignant à établir un système de justice, qui ne sont pas
incluses dans les Dix Paroles. Nous pourrions dire concernant cette
dernière que la transgression de chacune des Dix Paroles entraîne des sanctions, tout comme la transgression de n'importe laquelle des
lois noahides. Et qui dit sanction dit forcément système de
justice. Si vous avez une idée de la façon de rattacher
l'interdiction de consommer le membre arraché d'un animal vivant aux
Dix Paroles, vos remarques seront les bienvenues !
1Sanhédhrin
56a
2C'est-à-dire,
établir des tribunaux chargés d'exercer et de faire respecter la
justice, ainsi que le fait de faire preuve de justice sociale.
3Talmoudh,
´avôdhoh Zoroh 64b ; Mishnéh Tôroh, Hilkôth
Malokhim 8:13
4Mishnéh
Tôroh, Hilkôth Malokhim 8:12-13
5Davorim
33:4
6Bamidhbor
15:15
7Trois
Israélites connus pour leur Yir`ath Shomayim. Ils ne doivent pas
nécessairement être des Rabbonim.
8Sanhédhrin
56a
9Ibid.
57a
10Synonyme
de tout travailleur qui travaille généralement en-dehors de chez
lui ou de sa ville.
11Si
elles sont inutilisables ou qu'elles servent juste à décorer, il
est permis de les avoir à la maison.
12Par
exemple, les mariages blancs pour obtenir des papiers.
13Par
conséquent, même un athée qui a de belles valeurs reste un
blasphémateur.
14Ne
pas l'étudier est considéré être une révolte ouverte contre la
Parole Divine. C'est donc un blasphème.
15Les
Talmidhé Hakhomim.